« Plus d’emplois pour les femmes, de meilleure qualité et rémunérés au même niveau que les hommes », ont-il plaidé dans une déclaration commune publiée à l’issue d’une réunion à Catane en Sicile.
Cette déclaration « va au-delà de l’objectif de réduction de 25% de l’écart entre le taux d’activité » des femmes et des hommes d’ici 2025 fixé en 2014 par les dirigeants des pays du G20 lors d’un sommet à Brisbane en Australie, indiquent-ils.
« Le nouvel engagement » du G20 « consiste à promouvoir l’emploi des femmes, en accordant une attention particulière à la qualité des emplois, à la rémunération et à la lutte contre les écarts de salaires », assurent les ministres, sans toutefois chiffrer ces objectifs.
« Les femmes ont souffert plus que les hommes des conséquences de la pandémie, car elles occupent plus fréquemment des emplois précaires ou temporaires », a déclaré devant la presse le ministre italien du Travail Andrea Orlando, dont le pays préside le G20.
« Non seulement en termes de chômage plus élevé, mais aussi parce qu’elles sont surreprésentées parmi les travailleurs en première ligne dans la lutte contre la pandémie et donc plus exposées au risque de contagion », a-t-il ajouté.
Les ministres du Travail sont également convenus de la nécessité de « renforcer le système de protection sociale » afin de mieux tenir compte des « travailleurs temporaires, travailleurs indépendants à faible revenu, mais aussi des travailleurs informels et des migrants », privés de filet de sécurité en cas de chômage.
Ils ont en outre appelé de leurs vœux une « réglementation des formes de travail de plus en plus répandues comme le travail à distance et le travail via des plateformes numériques ».
« Plus d’emplois pour les femmes, de meilleure qualité et rémunérés au même niveau que les hommes », ont-il plaidé dans une déclaration commune publiée à l’issue d’une réunion à Catane en Sicile.
Cette déclaration « va au-delà de l’objectif de réduction de 25% de l’écart entre le taux d’activité » des femmes et des hommes d’ici 2025 fixé en 2014 par les dirigeants des pays du G20 lors d’un sommet à Brisbane en Australie, indiquent-ils.
« Le nouvel engagement » du G20 « consiste à promouvoir l’emploi des femmes, en accordant une attention particulière à la qualité des emplois, à la rémunération et à la lutte contre les écarts de salaires », assurent les ministres, sans toutefois chiffrer ces objectifs.
« Les femmes ont souffert plus que les hommes des conséquences de la pandémie, car elles occupent plus fréquemment des emplois précaires ou temporaires », a déclaré devant la presse le ministre italien du Travail Andrea Orlando, dont le pays préside le G20.
« Non seulement en termes de chômage plus élevé, mais aussi parce qu’elles sont surreprésentées parmi les travailleurs en première ligne dans la lutte contre la pandémie et donc plus exposées au risque de contagion », a-t-il ajouté.
Les ministres du Travail sont également convenus de la nécessité de « renforcer le système de protection sociale » afin de mieux tenir compte des « travailleurs temporaires, travailleurs indépendants à faible revenu, mais aussi des travailleurs informels et des migrants », privés de filet de sécurité en cas de chômage.
Ils ont en outre appelé de leurs vœux une « réglementation des formes de travail de plus en plus répandues comme le travail à distance et le travail via des plateformes numériques ».
« Plus d’emplois pour les femmes, de meilleure qualité et rémunérés au même niveau que les hommes », ont-il plaidé dans une déclaration commune publiée à l’issue d’une réunion à Catane en Sicile.
Cette déclaration « va au-delà de l’objectif de réduction de 25% de l’écart entre le taux d’activité » des femmes et des hommes d’ici 2025 fixé en 2014 par les dirigeants des pays du G20 lors d’un sommet à Brisbane en Australie, indiquent-ils.
« Le nouvel engagement » du G20 « consiste à promouvoir l’emploi des femmes, en accordant une attention particulière à la qualité des emplois, à la rémunération et à la lutte contre les écarts de salaires », assurent les ministres, sans toutefois chiffrer ces objectifs.
« Les femmes ont souffert plus que les hommes des conséquences de la pandémie, car elles occupent plus fréquemment des emplois précaires ou temporaires », a déclaré devant la presse le ministre italien du Travail Andrea Orlando, dont le pays préside le G20.
« Non seulement en termes de chômage plus élevé, mais aussi parce qu’elles sont surreprésentées parmi les travailleurs en première ligne dans la lutte contre la pandémie et donc plus exposées au risque de contagion », a-t-il ajouté.
Les ministres du Travail sont également convenus de la nécessité de « renforcer le système de protection sociale » afin de mieux tenir compte des « travailleurs temporaires, travailleurs indépendants à faible revenu, mais aussi des travailleurs informels et des migrants », privés de filet de sécurité en cas de chômage.
Ils ont en outre appelé de leurs vœux une « réglementation des formes de travail de plus en plus répandues comme le travail à distance et le travail via des plateformes numériques ».
« Plus d’emplois pour les femmes, de meilleure qualité et rémunérés au même niveau que les hommes », ont-il plaidé dans une déclaration commune publiée à l’issue d’une réunion à Catane en Sicile.
Cette déclaration « va au-delà de l’objectif de réduction de 25% de l’écart entre le taux d’activité » des femmes et des hommes d’ici 2025 fixé en 2014 par les dirigeants des pays du G20 lors d’un sommet à Brisbane en Australie, indiquent-ils.
« Le nouvel engagement » du G20 « consiste à promouvoir l’emploi des femmes, en accordant une attention particulière à la qualité des emplois, à la rémunération et à la lutte contre les écarts de salaires », assurent les ministres, sans toutefois chiffrer ces objectifs.
« Les femmes ont souffert plus que les hommes des conséquences de la pandémie, car elles occupent plus fréquemment des emplois précaires ou temporaires », a déclaré devant la presse le ministre italien du Travail Andrea Orlando, dont le pays préside le G20.
« Non seulement en termes de chômage plus élevé, mais aussi parce qu’elles sont surreprésentées parmi les travailleurs en première ligne dans la lutte contre la pandémie et donc plus exposées au risque de contagion », a-t-il ajouté.
Les ministres du Travail sont également convenus de la nécessité de « renforcer le système de protection sociale » afin de mieux tenir compte des « travailleurs temporaires, travailleurs indépendants à faible revenu, mais aussi des travailleurs informels et des migrants », privés de filet de sécurité en cas de chômage.
Ils ont en outre appelé de leurs vœux une « réglementation des formes de travail de plus en plus répandues comme le travail à distance et le travail via des plateformes numériques ».
« Plus d’emplois pour les femmes, de meilleure qualité et rémunérés au même niveau que les hommes », ont-il plaidé dans une déclaration commune publiée à l’issue d’une réunion à Catane en Sicile.
Cette déclaration « va au-delà de l’objectif de réduction de 25% de l’écart entre le taux d’activité » des femmes et des hommes d’ici 2025 fixé en 2014 par les dirigeants des pays du G20 lors d’un sommet à Brisbane en Australie, indiquent-ils.
« Le nouvel engagement » du G20 « consiste à promouvoir l’emploi des femmes, en accordant une attention particulière à la qualité des emplois, à la rémunération et à la lutte contre les écarts de salaires », assurent les ministres, sans toutefois chiffrer ces objectifs.
« Les femmes ont souffert plus que les hommes des conséquences de la pandémie, car elles occupent plus fréquemment des emplois précaires ou temporaires », a déclaré devant la presse le ministre italien du Travail Andrea Orlando, dont le pays préside le G20.
« Non seulement en termes de chômage plus élevé, mais aussi parce qu’elles sont surreprésentées parmi les travailleurs en première ligne dans la lutte contre la pandémie et donc plus exposées au risque de contagion », a-t-il ajouté.
Les ministres du Travail sont également convenus de la nécessité de « renforcer le système de protection sociale » afin de mieux tenir compte des « travailleurs temporaires, travailleurs indépendants à faible revenu, mais aussi des travailleurs informels et des migrants », privés de filet de sécurité en cas de chômage.
Ils ont en outre appelé de leurs vœux une « réglementation des formes de travail de plus en plus répandues comme le travail à distance et le travail via des plateformes numériques ».
« Plus d’emplois pour les femmes, de meilleure qualité et rémunérés au même niveau que les hommes », ont-il plaidé dans une déclaration commune publiée à l’issue d’une réunion à Catane en Sicile.
Cette déclaration « va au-delà de l’objectif de réduction de 25% de l’écart entre le taux d’activité » des femmes et des hommes d’ici 2025 fixé en 2014 par les dirigeants des pays du G20 lors d’un sommet à Brisbane en Australie, indiquent-ils.
« Le nouvel engagement » du G20 « consiste à promouvoir l’emploi des femmes, en accordant une attention particulière à la qualité des emplois, à la rémunération et à la lutte contre les écarts de salaires », assurent les ministres, sans toutefois chiffrer ces objectifs.
« Les femmes ont souffert plus que les hommes des conséquences de la pandémie, car elles occupent plus fréquemment des emplois précaires ou temporaires », a déclaré devant la presse le ministre italien du Travail Andrea Orlando, dont le pays préside le G20.
« Non seulement en termes de chômage plus élevé, mais aussi parce qu’elles sont surreprésentées parmi les travailleurs en première ligne dans la lutte contre la pandémie et donc plus exposées au risque de contagion », a-t-il ajouté.
Les ministres du Travail sont également convenus de la nécessité de « renforcer le système de protection sociale » afin de mieux tenir compte des « travailleurs temporaires, travailleurs indépendants à faible revenu, mais aussi des travailleurs informels et des migrants », privés de filet de sécurité en cas de chômage.
Ils ont en outre appelé de leurs vœux une « réglementation des formes de travail de plus en plus répandues comme le travail à distance et le travail via des plateformes numériques ».
« Plus d’emplois pour les femmes, de meilleure qualité et rémunérés au même niveau que les hommes », ont-il plaidé dans une déclaration commune publiée à l’issue d’une réunion à Catane en Sicile.
Cette déclaration « va au-delà de l’objectif de réduction de 25% de l’écart entre le taux d’activité » des femmes et des hommes d’ici 2025 fixé en 2014 par les dirigeants des pays du G20 lors d’un sommet à Brisbane en Australie, indiquent-ils.
« Le nouvel engagement » du G20 « consiste à promouvoir l’emploi des femmes, en accordant une attention particulière à la qualité des emplois, à la rémunération et à la lutte contre les écarts de salaires », assurent les ministres, sans toutefois chiffrer ces objectifs.
« Les femmes ont souffert plus que les hommes des conséquences de la pandémie, car elles occupent plus fréquemment des emplois précaires ou temporaires », a déclaré devant la presse le ministre italien du Travail Andrea Orlando, dont le pays préside le G20.
« Non seulement en termes de chômage plus élevé, mais aussi parce qu’elles sont surreprésentées parmi les travailleurs en première ligne dans la lutte contre la pandémie et donc plus exposées au risque de contagion », a-t-il ajouté.
Les ministres du Travail sont également convenus de la nécessité de « renforcer le système de protection sociale » afin de mieux tenir compte des « travailleurs temporaires, travailleurs indépendants à faible revenu, mais aussi des travailleurs informels et des migrants », privés de filet de sécurité en cas de chômage.
Ils ont en outre appelé de leurs vœux une « réglementation des formes de travail de plus en plus répandues comme le travail à distance et le travail via des plateformes numériques ».
« Plus d’emplois pour les femmes, de meilleure qualité et rémunérés au même niveau que les hommes », ont-il plaidé dans une déclaration commune publiée à l’issue d’une réunion à Catane en Sicile.
Cette déclaration « va au-delà de l’objectif de réduction de 25% de l’écart entre le taux d’activité » des femmes et des hommes d’ici 2025 fixé en 2014 par les dirigeants des pays du G20 lors d’un sommet à Brisbane en Australie, indiquent-ils.
« Le nouvel engagement » du G20 « consiste à promouvoir l’emploi des femmes, en accordant une attention particulière à la qualité des emplois, à la rémunération et à la lutte contre les écarts de salaires », assurent les ministres, sans toutefois chiffrer ces objectifs.
« Les femmes ont souffert plus que les hommes des conséquences de la pandémie, car elles occupent plus fréquemment des emplois précaires ou temporaires », a déclaré devant la presse le ministre italien du Travail Andrea Orlando, dont le pays préside le G20.
« Non seulement en termes de chômage plus élevé, mais aussi parce qu’elles sont surreprésentées parmi les travailleurs en première ligne dans la lutte contre la pandémie et donc plus exposées au risque de contagion », a-t-il ajouté.
Les ministres du Travail sont également convenus de la nécessité de « renforcer le système de protection sociale » afin de mieux tenir compte des « travailleurs temporaires, travailleurs indépendants à faible revenu, mais aussi des travailleurs informels et des migrants », privés de filet de sécurité en cas de chômage.
Ils ont en outre appelé de leurs vœux une « réglementation des formes de travail de plus en plus répandues comme le travail à distance et le travail via des plateformes numériques ».
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