L’Australie a obtenu mardi la mise en place à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) d’un groupe d’experts chargés d’arbitrer le conflit commercial portant sur les droits de douane imposés par Pékin sur les vins australiens.
L’Australie avait porté plainte en juin contre la Chine auprès de l’OMC, pour tenter de lever ces barrières douanières qui ont quasiment fermé le plus important marché à l’exportation pour les vins australiens.
La plainte vise spécifiquement le vin en bouteille d’une contenance n’excédant pas 2 litres importé d’Australie, selon l’OMC.
L’Australie s’était progressivement hissée au rang de premier fournisseur de vin en Chine, mais la mise en place de ces droits de douane ont quasiment réduit à néant les ventes de vins australiens en Chine, qui représentent environ 1,1 milliard de dollars australiens (840 millions de dollars américains), d’après les chiffes officiels.
En septembre, l’Australie avait demandé à l’OMC d’établir un groupe spécial, mais cette demande avait été refusée par la Chine. Selon les règles de l’OMC, la deuxième demande de panel est automatiquement acceptée. Ce qui a été fait mardi.
Il faut toutefois plusieurs années pour que l’OMC rende ses décisions.
L’Australie a déjà porté plainte contre la Chine auprès de l’OMC pour des droits de douane sur ses exportations d’orge et conteste les sanctions prises contre toute une série d’autres produits. Canberra estime que ces sanctions relèvent d’une forme de « coercition économique ».
Beaucoup en Australie estiment qu’il s’agit avant tout de représailles contre le refus des investissements chinois dans des secteurs jugés stratégiques et contre les appels de l’Australie à une enquête sur les origines de l’épidémie de coronavirus, qui a débuté en Chine fin 2019.
La Chine, pour sa part, a également porté plainte auprès de l’OMC contre des droits de douane mis en place par l’Australie contre certains produits, parmi lesquels les roues de trains, les éoliennes, ou les éviers en acier inoxydable.
L’Australie a obtenu mardi la mise en place à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) d’un groupe d’experts chargés d’arbitrer le conflit commercial portant sur les droits de douane imposés par Pékin sur les vins australiens.
L’Australie avait porté plainte en juin contre la Chine auprès de l’OMC, pour tenter de lever ces barrières douanières qui ont quasiment fermé le plus important marché à l’exportation pour les vins australiens.
La plainte vise spécifiquement le vin en bouteille d’une contenance n’excédant pas 2 litres importé d’Australie, selon l’OMC.
L’Australie s’était progressivement hissée au rang de premier fournisseur de vin en Chine, mais la mise en place de ces droits de douane ont quasiment réduit à néant les ventes de vins australiens en Chine, qui représentent environ 1,1 milliard de dollars australiens (840 millions de dollars américains), d’après les chiffes officiels.
En septembre, l’Australie avait demandé à l’OMC d’établir un groupe spécial, mais cette demande avait été refusée par la Chine. Selon les règles de l’OMC, la deuxième demande de panel est automatiquement acceptée. Ce qui a été fait mardi.
Il faut toutefois plusieurs années pour que l’OMC rende ses décisions.
L’Australie a déjà porté plainte contre la Chine auprès de l’OMC pour des droits de douane sur ses exportations d’orge et conteste les sanctions prises contre toute une série d’autres produits. Canberra estime que ces sanctions relèvent d’une forme de « coercition économique ».
Beaucoup en Australie estiment qu’il s’agit avant tout de représailles contre le refus des investissements chinois dans des secteurs jugés stratégiques et contre les appels de l’Australie à une enquête sur les origines de l’épidémie de coronavirus, qui a débuté en Chine fin 2019.
La Chine, pour sa part, a également porté plainte auprès de l’OMC contre des droits de douane mis en place par l’Australie contre certains produits, parmi lesquels les roues de trains, les éoliennes, ou les éviers en acier inoxydable.
L’Australie a obtenu mardi la mise en place à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) d’un groupe d’experts chargés d’arbitrer le conflit commercial portant sur les droits de douane imposés par Pékin sur les vins australiens.
L’Australie avait porté plainte en juin contre la Chine auprès de l’OMC, pour tenter de lever ces barrières douanières qui ont quasiment fermé le plus important marché à l’exportation pour les vins australiens.
La plainte vise spécifiquement le vin en bouteille d’une contenance n’excédant pas 2 litres importé d’Australie, selon l’OMC.
L’Australie s’était progressivement hissée au rang de premier fournisseur de vin en Chine, mais la mise en place de ces droits de douane ont quasiment réduit à néant les ventes de vins australiens en Chine, qui représentent environ 1,1 milliard de dollars australiens (840 millions de dollars américains), d’après les chiffes officiels.
En septembre, l’Australie avait demandé à l’OMC d’établir un groupe spécial, mais cette demande avait été refusée par la Chine. Selon les règles de l’OMC, la deuxième demande de panel est automatiquement acceptée. Ce qui a été fait mardi.
Il faut toutefois plusieurs années pour que l’OMC rende ses décisions.
L’Australie a déjà porté plainte contre la Chine auprès de l’OMC pour des droits de douane sur ses exportations d’orge et conteste les sanctions prises contre toute une série d’autres produits. Canberra estime que ces sanctions relèvent d’une forme de « coercition économique ».
Beaucoup en Australie estiment qu’il s’agit avant tout de représailles contre le refus des investissements chinois dans des secteurs jugés stratégiques et contre les appels de l’Australie à une enquête sur les origines de l’épidémie de coronavirus, qui a débuté en Chine fin 2019.
La Chine, pour sa part, a également porté plainte auprès de l’OMC contre des droits de douane mis en place par l’Australie contre certains produits, parmi lesquels les roues de trains, les éoliennes, ou les éviers en acier inoxydable.
L’Australie a obtenu mardi la mise en place à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) d’un groupe d’experts chargés d’arbitrer le conflit commercial portant sur les droits de douane imposés par Pékin sur les vins australiens.
L’Australie avait porté plainte en juin contre la Chine auprès de l’OMC, pour tenter de lever ces barrières douanières qui ont quasiment fermé le plus important marché à l’exportation pour les vins australiens.
La plainte vise spécifiquement le vin en bouteille d’une contenance n’excédant pas 2 litres importé d’Australie, selon l’OMC.
L’Australie s’était progressivement hissée au rang de premier fournisseur de vin en Chine, mais la mise en place de ces droits de douane ont quasiment réduit à néant les ventes de vins australiens en Chine, qui représentent environ 1,1 milliard de dollars australiens (840 millions de dollars américains), d’après les chiffes officiels.
En septembre, l’Australie avait demandé à l’OMC d’établir un groupe spécial, mais cette demande avait été refusée par la Chine. Selon les règles de l’OMC, la deuxième demande de panel est automatiquement acceptée. Ce qui a été fait mardi.
Il faut toutefois plusieurs années pour que l’OMC rende ses décisions.
L’Australie a déjà porté plainte contre la Chine auprès de l’OMC pour des droits de douane sur ses exportations d’orge et conteste les sanctions prises contre toute une série d’autres produits. Canberra estime que ces sanctions relèvent d’une forme de « coercition économique ».
Beaucoup en Australie estiment qu’il s’agit avant tout de représailles contre le refus des investissements chinois dans des secteurs jugés stratégiques et contre les appels de l’Australie à une enquête sur les origines de l’épidémie de coronavirus, qui a débuté en Chine fin 2019.
La Chine, pour sa part, a également porté plainte auprès de l’OMC contre des droits de douane mis en place par l’Australie contre certains produits, parmi lesquels les roues de trains, les éoliennes, ou les éviers en acier inoxydable.
L’Australie a obtenu mardi la mise en place à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) d’un groupe d’experts chargés d’arbitrer le conflit commercial portant sur les droits de douane imposés par Pékin sur les vins australiens.
L’Australie avait porté plainte en juin contre la Chine auprès de l’OMC, pour tenter de lever ces barrières douanières qui ont quasiment fermé le plus important marché à l’exportation pour les vins australiens.
La plainte vise spécifiquement le vin en bouteille d’une contenance n’excédant pas 2 litres importé d’Australie, selon l’OMC.
L’Australie s’était progressivement hissée au rang de premier fournisseur de vin en Chine, mais la mise en place de ces droits de douane ont quasiment réduit à néant les ventes de vins australiens en Chine, qui représentent environ 1,1 milliard de dollars australiens (840 millions de dollars américains), d’après les chiffes officiels.
En septembre, l’Australie avait demandé à l’OMC d’établir un groupe spécial, mais cette demande avait été refusée par la Chine. Selon les règles de l’OMC, la deuxième demande de panel est automatiquement acceptée. Ce qui a été fait mardi.
Il faut toutefois plusieurs années pour que l’OMC rende ses décisions.
L’Australie a déjà porté plainte contre la Chine auprès de l’OMC pour des droits de douane sur ses exportations d’orge et conteste les sanctions prises contre toute une série d’autres produits. Canberra estime que ces sanctions relèvent d’une forme de « coercition économique ».
Beaucoup en Australie estiment qu’il s’agit avant tout de représailles contre le refus des investissements chinois dans des secteurs jugés stratégiques et contre les appels de l’Australie à une enquête sur les origines de l’épidémie de coronavirus, qui a débuté en Chine fin 2019.
La Chine, pour sa part, a également porté plainte auprès de l’OMC contre des droits de douane mis en place par l’Australie contre certains produits, parmi lesquels les roues de trains, les éoliennes, ou les éviers en acier inoxydable.
L’Australie a obtenu mardi la mise en place à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) d’un groupe d’experts chargés d’arbitrer le conflit commercial portant sur les droits de douane imposés par Pékin sur les vins australiens.
L’Australie avait porté plainte en juin contre la Chine auprès de l’OMC, pour tenter de lever ces barrières douanières qui ont quasiment fermé le plus important marché à l’exportation pour les vins australiens.
La plainte vise spécifiquement le vin en bouteille d’une contenance n’excédant pas 2 litres importé d’Australie, selon l’OMC.
L’Australie s’était progressivement hissée au rang de premier fournisseur de vin en Chine, mais la mise en place de ces droits de douane ont quasiment réduit à néant les ventes de vins australiens en Chine, qui représentent environ 1,1 milliard de dollars australiens (840 millions de dollars américains), d’après les chiffes officiels.
En septembre, l’Australie avait demandé à l’OMC d’établir un groupe spécial, mais cette demande avait été refusée par la Chine. Selon les règles de l’OMC, la deuxième demande de panel est automatiquement acceptée. Ce qui a été fait mardi.
Il faut toutefois plusieurs années pour que l’OMC rende ses décisions.
L’Australie a déjà porté plainte contre la Chine auprès de l’OMC pour des droits de douane sur ses exportations d’orge et conteste les sanctions prises contre toute une série d’autres produits. Canberra estime que ces sanctions relèvent d’une forme de « coercition économique ».
Beaucoup en Australie estiment qu’il s’agit avant tout de représailles contre le refus des investissements chinois dans des secteurs jugés stratégiques et contre les appels de l’Australie à une enquête sur les origines de l’épidémie de coronavirus, qui a débuté en Chine fin 2019.
La Chine, pour sa part, a également porté plainte auprès de l’OMC contre des droits de douane mis en place par l’Australie contre certains produits, parmi lesquels les roues de trains, les éoliennes, ou les éviers en acier inoxydable.
L’Australie a obtenu mardi la mise en place à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) d’un groupe d’experts chargés d’arbitrer le conflit commercial portant sur les droits de douane imposés par Pékin sur les vins australiens.
L’Australie avait porté plainte en juin contre la Chine auprès de l’OMC, pour tenter de lever ces barrières douanières qui ont quasiment fermé le plus important marché à l’exportation pour les vins australiens.
La plainte vise spécifiquement le vin en bouteille d’une contenance n’excédant pas 2 litres importé d’Australie, selon l’OMC.
L’Australie s’était progressivement hissée au rang de premier fournisseur de vin en Chine, mais la mise en place de ces droits de douane ont quasiment réduit à néant les ventes de vins australiens en Chine, qui représentent environ 1,1 milliard de dollars australiens (840 millions de dollars américains), d’après les chiffes officiels.
En septembre, l’Australie avait demandé à l’OMC d’établir un groupe spécial, mais cette demande avait été refusée par la Chine. Selon les règles de l’OMC, la deuxième demande de panel est automatiquement acceptée. Ce qui a été fait mardi.
Il faut toutefois plusieurs années pour que l’OMC rende ses décisions.
L’Australie a déjà porté plainte contre la Chine auprès de l’OMC pour des droits de douane sur ses exportations d’orge et conteste les sanctions prises contre toute une série d’autres produits. Canberra estime que ces sanctions relèvent d’une forme de « coercition économique ».
Beaucoup en Australie estiment qu’il s’agit avant tout de représailles contre le refus des investissements chinois dans des secteurs jugés stratégiques et contre les appels de l’Australie à une enquête sur les origines de l’épidémie de coronavirus, qui a débuté en Chine fin 2019.
La Chine, pour sa part, a également porté plainte auprès de l’OMC contre des droits de douane mis en place par l’Australie contre certains produits, parmi lesquels les roues de trains, les éoliennes, ou les éviers en acier inoxydable.
L’Australie a obtenu mardi la mise en place à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) d’un groupe d’experts chargés d’arbitrer le conflit commercial portant sur les droits de douane imposés par Pékin sur les vins australiens.
L’Australie avait porté plainte en juin contre la Chine auprès de l’OMC, pour tenter de lever ces barrières douanières qui ont quasiment fermé le plus important marché à l’exportation pour les vins australiens.
La plainte vise spécifiquement le vin en bouteille d’une contenance n’excédant pas 2 litres importé d’Australie, selon l’OMC.
L’Australie s’était progressivement hissée au rang de premier fournisseur de vin en Chine, mais la mise en place de ces droits de douane ont quasiment réduit à néant les ventes de vins australiens en Chine, qui représentent environ 1,1 milliard de dollars australiens (840 millions de dollars américains), d’après les chiffes officiels.
En septembre, l’Australie avait demandé à l’OMC d’établir un groupe spécial, mais cette demande avait été refusée par la Chine. Selon les règles de l’OMC, la deuxième demande de panel est automatiquement acceptée. Ce qui a été fait mardi.
Il faut toutefois plusieurs années pour que l’OMC rende ses décisions.
L’Australie a déjà porté plainte contre la Chine auprès de l’OMC pour des droits de douane sur ses exportations d’orge et conteste les sanctions prises contre toute une série d’autres produits. Canberra estime que ces sanctions relèvent d’une forme de « coercition économique ».
Beaucoup en Australie estiment qu’il s’agit avant tout de représailles contre le refus des investissements chinois dans des secteurs jugés stratégiques et contre les appels de l’Australie à une enquête sur les origines de l’épidémie de coronavirus, qui a débuté en Chine fin 2019.
La Chine, pour sa part, a également porté plainte auprès de l’OMC contre des droits de douane mis en place par l’Australie contre certains produits, parmi lesquels les roues de trains, les éoliennes, ou les éviers en acier inoxydable.
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