Le typhon Rai, le plus puissant à frapper les Philippines cette année, a fait au moins 375 morts, ravageant des régions entières où un ravitaillement en eau potable et en nourriture devenait de plus en plus urgent lundi.
La tempête a arraché des toits, déraciné des arbres, renversé des poteaux électriques, démoli des maisons en bois et inondé des villages.
« Notre situation est tellement désespérée », se désole Ferry Asuncion, vendeur de rue dans la ville durement frappée de Surigao. Les populations ont besoin « d’eau potable et de nourriture ».
Au moins 375 personnes ont été tuées, plus de 500 blessées et 56 sont portées disparues à la suite du passage dévastateur de Rai dans les régions méridionales et centrales de l’archipel, selon la police nationale.
Plus de 380.000 personnes ont fui leurs domiciles jeudi alors que le typhon touchait terre au centre du pays.
La tempête a rappelé le « super typhon » Haiyan qui s’était abattu sur l’archipel en 2013. Ce cyclone, le plus meurtrier jamais enregistré dans le pays, avait fait plus de 7.300 morts ou disparus.
Rai a touché les Philippines tardivement dans l’année, tandis que la saison des cyclones s’étend généralement de juillet à octobre.
Le pays dispose d’un système de gestion des catastrophes qui avertit de l’approche d’une tempête permettant aux populations menacées de rejoindre des centres d’évacuation avant que le cyclone n’atteigne les côtes.
Mais ce nouveau typhon frappe fortement un secteur du tourisme qui peinait déjà à se remettre de la pandémie de Covid-19.
L’une des îles les plus durement touchées par Rai est Bohol – connue notamment pour ses tarsiers, un primate présent dans l’archipel – où au moins 94 personnes sont décédées, selon le gouverneur provincial Arthur Yap, qui actualise son propre bilan sur sa page Facebook.
– ‘Iles rasées’ –
Des destructions importantes ont également été enregistrées sur les îles de Siargao, Dinagat et Mindanao, les plus touchées jeudi lorsque les vents ont soufflé à 195 kilomètres heure.
« Les îles Dinagat ont été entièrement rasées », s’est désolé dimanche Jeffrey Crisostomo, responsable presse de la province comptant au moins 14 morts.
Un signal de détresse « S.O.S » était peint sur une route de la ville touristique General Luna sur l’île de Siargao, où surfeurs et vacanciers avaient afflué avant Noël.
« Il n’y a plus d’eau, nous avons une pénurie d’eau, le premier jour, il y avait déjà des pillages dans notre quartier », a raconté Marja O’Donnell, propriétaire d’un complexe hôtelier à Siargao, à CNN Philippines.
Les communications dans plusieurs parties des zones affectées ont été coupées, rendant difficiles les efforts des secouristes pour évaluer l’étendue des dégâts.
L’électricité est également hors service, affectant les stations de remplissage d’eau et les distributeurs automatiques de billets.
Des milliers de militaires, policiers, gardes-côtes et pompiers ont été déployés et de la nourriture, de l’eau et des fournitures médicales acheminées par des garde-côtes. Du matériel pour dégager les routes bloquées par des poteaux électriques et arbres tombés a également été envoyé.
Mais certaines victimes se plaignaient d’une réponse gouvernementale pas à la hauteur.
« Personne ne se montre, je ne sais pas où sont les politiques et les candidats (aux élections de l’an prochain) », s’emporte Levi Lisondra, retraité de Surigao City, à l’extrémité nord de Mindanao.
Le président Rodrigo Duterte s’est rendu dans certaines zones affectées samedi, promettant un fonds d’aide de deux milliards de pesos (35 millions d’euros).
Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année qui détruisent généralement récoltes, habitations et infrastructures dans des régions déjà pauvres.
Le typhon Rai, le plus puissant à frapper les Philippines cette année, a fait au moins 375 morts, ravageant des régions entières où un ravitaillement en eau potable et en nourriture devenait de plus en plus urgent lundi.
La tempête a arraché des toits, déraciné des arbres, renversé des poteaux électriques, démoli des maisons en bois et inondé des villages.
« Notre situation est tellement désespérée », se désole Ferry Asuncion, vendeur de rue dans la ville durement frappée de Surigao. Les populations ont besoin « d’eau potable et de nourriture ».
Au moins 375 personnes ont été tuées, plus de 500 blessées et 56 sont portées disparues à la suite du passage dévastateur de Rai dans les régions méridionales et centrales de l’archipel, selon la police nationale.
Plus de 380.000 personnes ont fui leurs domiciles jeudi alors que le typhon touchait terre au centre du pays.
La tempête a rappelé le « super typhon » Haiyan qui s’était abattu sur l’archipel en 2013. Ce cyclone, le plus meurtrier jamais enregistré dans le pays, avait fait plus de 7.300 morts ou disparus.
Rai a touché les Philippines tardivement dans l’année, tandis que la saison des cyclones s’étend généralement de juillet à octobre.
Le pays dispose d’un système de gestion des catastrophes qui avertit de l’approche d’une tempête permettant aux populations menacées de rejoindre des centres d’évacuation avant que le cyclone n’atteigne les côtes.
Mais ce nouveau typhon frappe fortement un secteur du tourisme qui peinait déjà à se remettre de la pandémie de Covid-19.
L’une des îles les plus durement touchées par Rai est Bohol – connue notamment pour ses tarsiers, un primate présent dans l’archipel – où au moins 94 personnes sont décédées, selon le gouverneur provincial Arthur Yap, qui actualise son propre bilan sur sa page Facebook.
– ‘Iles rasées’ –
Des destructions importantes ont également été enregistrées sur les îles de Siargao, Dinagat et Mindanao, les plus touchées jeudi lorsque les vents ont soufflé à 195 kilomètres heure.
« Les îles Dinagat ont été entièrement rasées », s’est désolé dimanche Jeffrey Crisostomo, responsable presse de la province comptant au moins 14 morts.
Un signal de détresse « S.O.S » était peint sur une route de la ville touristique General Luna sur l’île de Siargao, où surfeurs et vacanciers avaient afflué avant Noël.
« Il n’y a plus d’eau, nous avons une pénurie d’eau, le premier jour, il y avait déjà des pillages dans notre quartier », a raconté Marja O’Donnell, propriétaire d’un complexe hôtelier à Siargao, à CNN Philippines.
Les communications dans plusieurs parties des zones affectées ont été coupées, rendant difficiles les efforts des secouristes pour évaluer l’étendue des dégâts.
L’électricité est également hors service, affectant les stations de remplissage d’eau et les distributeurs automatiques de billets.
Des milliers de militaires, policiers, gardes-côtes et pompiers ont été déployés et de la nourriture, de l’eau et des fournitures médicales acheminées par des garde-côtes. Du matériel pour dégager les routes bloquées par des poteaux électriques et arbres tombés a également été envoyé.
Mais certaines victimes se plaignaient d’une réponse gouvernementale pas à la hauteur.
« Personne ne se montre, je ne sais pas où sont les politiques et les candidats (aux élections de l’an prochain) », s’emporte Levi Lisondra, retraité de Surigao City, à l’extrémité nord de Mindanao.
Le président Rodrigo Duterte s’est rendu dans certaines zones affectées samedi, promettant un fonds d’aide de deux milliards de pesos (35 millions d’euros).
Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année qui détruisent généralement récoltes, habitations et infrastructures dans des régions déjà pauvres.
Le typhon Rai, le plus puissant à frapper les Philippines cette année, a fait au moins 375 morts, ravageant des régions entières où un ravitaillement en eau potable et en nourriture devenait de plus en plus urgent lundi.
La tempête a arraché des toits, déraciné des arbres, renversé des poteaux électriques, démoli des maisons en bois et inondé des villages.
« Notre situation est tellement désespérée », se désole Ferry Asuncion, vendeur de rue dans la ville durement frappée de Surigao. Les populations ont besoin « d’eau potable et de nourriture ».
Au moins 375 personnes ont été tuées, plus de 500 blessées et 56 sont portées disparues à la suite du passage dévastateur de Rai dans les régions méridionales et centrales de l’archipel, selon la police nationale.
Plus de 380.000 personnes ont fui leurs domiciles jeudi alors que le typhon touchait terre au centre du pays.
La tempête a rappelé le « super typhon » Haiyan qui s’était abattu sur l’archipel en 2013. Ce cyclone, le plus meurtrier jamais enregistré dans le pays, avait fait plus de 7.300 morts ou disparus.
Rai a touché les Philippines tardivement dans l’année, tandis que la saison des cyclones s’étend généralement de juillet à octobre.
Le pays dispose d’un système de gestion des catastrophes qui avertit de l’approche d’une tempête permettant aux populations menacées de rejoindre des centres d’évacuation avant que le cyclone n’atteigne les côtes.
Mais ce nouveau typhon frappe fortement un secteur du tourisme qui peinait déjà à se remettre de la pandémie de Covid-19.
L’une des îles les plus durement touchées par Rai est Bohol – connue notamment pour ses tarsiers, un primate présent dans l’archipel – où au moins 94 personnes sont décédées, selon le gouverneur provincial Arthur Yap, qui actualise son propre bilan sur sa page Facebook.
– ‘Iles rasées’ –
Des destructions importantes ont également été enregistrées sur les îles de Siargao, Dinagat et Mindanao, les plus touchées jeudi lorsque les vents ont soufflé à 195 kilomètres heure.
« Les îles Dinagat ont été entièrement rasées », s’est désolé dimanche Jeffrey Crisostomo, responsable presse de la province comptant au moins 14 morts.
Un signal de détresse « S.O.S » était peint sur une route de la ville touristique General Luna sur l’île de Siargao, où surfeurs et vacanciers avaient afflué avant Noël.
« Il n’y a plus d’eau, nous avons une pénurie d’eau, le premier jour, il y avait déjà des pillages dans notre quartier », a raconté Marja O’Donnell, propriétaire d’un complexe hôtelier à Siargao, à CNN Philippines.
Les communications dans plusieurs parties des zones affectées ont été coupées, rendant difficiles les efforts des secouristes pour évaluer l’étendue des dégâts.
L’électricité est également hors service, affectant les stations de remplissage d’eau et les distributeurs automatiques de billets.
Des milliers de militaires, policiers, gardes-côtes et pompiers ont été déployés et de la nourriture, de l’eau et des fournitures médicales acheminées par des garde-côtes. Du matériel pour dégager les routes bloquées par des poteaux électriques et arbres tombés a également été envoyé.
Mais certaines victimes se plaignaient d’une réponse gouvernementale pas à la hauteur.
« Personne ne se montre, je ne sais pas où sont les politiques et les candidats (aux élections de l’an prochain) », s’emporte Levi Lisondra, retraité de Surigao City, à l’extrémité nord de Mindanao.
Le président Rodrigo Duterte s’est rendu dans certaines zones affectées samedi, promettant un fonds d’aide de deux milliards de pesos (35 millions d’euros).
Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année qui détruisent généralement récoltes, habitations et infrastructures dans des régions déjà pauvres.
Le typhon Rai, le plus puissant à frapper les Philippines cette année, a fait au moins 375 morts, ravageant des régions entières où un ravitaillement en eau potable et en nourriture devenait de plus en plus urgent lundi.
La tempête a arraché des toits, déraciné des arbres, renversé des poteaux électriques, démoli des maisons en bois et inondé des villages.
« Notre situation est tellement désespérée », se désole Ferry Asuncion, vendeur de rue dans la ville durement frappée de Surigao. Les populations ont besoin « d’eau potable et de nourriture ».
Au moins 375 personnes ont été tuées, plus de 500 blessées et 56 sont portées disparues à la suite du passage dévastateur de Rai dans les régions méridionales et centrales de l’archipel, selon la police nationale.
Plus de 380.000 personnes ont fui leurs domiciles jeudi alors que le typhon touchait terre au centre du pays.
La tempête a rappelé le « super typhon » Haiyan qui s’était abattu sur l’archipel en 2013. Ce cyclone, le plus meurtrier jamais enregistré dans le pays, avait fait plus de 7.300 morts ou disparus.
Rai a touché les Philippines tardivement dans l’année, tandis que la saison des cyclones s’étend généralement de juillet à octobre.
Le pays dispose d’un système de gestion des catastrophes qui avertit de l’approche d’une tempête permettant aux populations menacées de rejoindre des centres d’évacuation avant que le cyclone n’atteigne les côtes.
Mais ce nouveau typhon frappe fortement un secteur du tourisme qui peinait déjà à se remettre de la pandémie de Covid-19.
L’une des îles les plus durement touchées par Rai est Bohol – connue notamment pour ses tarsiers, un primate présent dans l’archipel – où au moins 94 personnes sont décédées, selon le gouverneur provincial Arthur Yap, qui actualise son propre bilan sur sa page Facebook.
– ‘Iles rasées’ –
Des destructions importantes ont également été enregistrées sur les îles de Siargao, Dinagat et Mindanao, les plus touchées jeudi lorsque les vents ont soufflé à 195 kilomètres heure.
« Les îles Dinagat ont été entièrement rasées », s’est désolé dimanche Jeffrey Crisostomo, responsable presse de la province comptant au moins 14 morts.
Un signal de détresse « S.O.S » était peint sur une route de la ville touristique General Luna sur l’île de Siargao, où surfeurs et vacanciers avaient afflué avant Noël.
« Il n’y a plus d’eau, nous avons une pénurie d’eau, le premier jour, il y avait déjà des pillages dans notre quartier », a raconté Marja O’Donnell, propriétaire d’un complexe hôtelier à Siargao, à CNN Philippines.
Les communications dans plusieurs parties des zones affectées ont été coupées, rendant difficiles les efforts des secouristes pour évaluer l’étendue des dégâts.
L’électricité est également hors service, affectant les stations de remplissage d’eau et les distributeurs automatiques de billets.
Des milliers de militaires, policiers, gardes-côtes et pompiers ont été déployés et de la nourriture, de l’eau et des fournitures médicales acheminées par des garde-côtes. Du matériel pour dégager les routes bloquées par des poteaux électriques et arbres tombés a également été envoyé.
Mais certaines victimes se plaignaient d’une réponse gouvernementale pas à la hauteur.
« Personne ne se montre, je ne sais pas où sont les politiques et les candidats (aux élections de l’an prochain) », s’emporte Levi Lisondra, retraité de Surigao City, à l’extrémité nord de Mindanao.
Le président Rodrigo Duterte s’est rendu dans certaines zones affectées samedi, promettant un fonds d’aide de deux milliards de pesos (35 millions d’euros).
Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année qui détruisent généralement récoltes, habitations et infrastructures dans des régions déjà pauvres.
Le typhon Rai, le plus puissant à frapper les Philippines cette année, a fait au moins 375 morts, ravageant des régions entières où un ravitaillement en eau potable et en nourriture devenait de plus en plus urgent lundi.
La tempête a arraché des toits, déraciné des arbres, renversé des poteaux électriques, démoli des maisons en bois et inondé des villages.
« Notre situation est tellement désespérée », se désole Ferry Asuncion, vendeur de rue dans la ville durement frappée de Surigao. Les populations ont besoin « d’eau potable et de nourriture ».
Au moins 375 personnes ont été tuées, plus de 500 blessées et 56 sont portées disparues à la suite du passage dévastateur de Rai dans les régions méridionales et centrales de l’archipel, selon la police nationale.
Plus de 380.000 personnes ont fui leurs domiciles jeudi alors que le typhon touchait terre au centre du pays.
La tempête a rappelé le « super typhon » Haiyan qui s’était abattu sur l’archipel en 2013. Ce cyclone, le plus meurtrier jamais enregistré dans le pays, avait fait plus de 7.300 morts ou disparus.
Rai a touché les Philippines tardivement dans l’année, tandis que la saison des cyclones s’étend généralement de juillet à octobre.
Le pays dispose d’un système de gestion des catastrophes qui avertit de l’approche d’une tempête permettant aux populations menacées de rejoindre des centres d’évacuation avant que le cyclone n’atteigne les côtes.
Mais ce nouveau typhon frappe fortement un secteur du tourisme qui peinait déjà à se remettre de la pandémie de Covid-19.
L’une des îles les plus durement touchées par Rai est Bohol – connue notamment pour ses tarsiers, un primate présent dans l’archipel – où au moins 94 personnes sont décédées, selon le gouverneur provincial Arthur Yap, qui actualise son propre bilan sur sa page Facebook.
– ‘Iles rasées’ –
Des destructions importantes ont également été enregistrées sur les îles de Siargao, Dinagat et Mindanao, les plus touchées jeudi lorsque les vents ont soufflé à 195 kilomètres heure.
« Les îles Dinagat ont été entièrement rasées », s’est désolé dimanche Jeffrey Crisostomo, responsable presse de la province comptant au moins 14 morts.
Un signal de détresse « S.O.S » était peint sur une route de la ville touristique General Luna sur l’île de Siargao, où surfeurs et vacanciers avaient afflué avant Noël.
« Il n’y a plus d’eau, nous avons une pénurie d’eau, le premier jour, il y avait déjà des pillages dans notre quartier », a raconté Marja O’Donnell, propriétaire d’un complexe hôtelier à Siargao, à CNN Philippines.
Les communications dans plusieurs parties des zones affectées ont été coupées, rendant difficiles les efforts des secouristes pour évaluer l’étendue des dégâts.
L’électricité est également hors service, affectant les stations de remplissage d’eau et les distributeurs automatiques de billets.
Des milliers de militaires, policiers, gardes-côtes et pompiers ont été déployés et de la nourriture, de l’eau et des fournitures médicales acheminées par des garde-côtes. Du matériel pour dégager les routes bloquées par des poteaux électriques et arbres tombés a également été envoyé.
Mais certaines victimes se plaignaient d’une réponse gouvernementale pas à la hauteur.
« Personne ne se montre, je ne sais pas où sont les politiques et les candidats (aux élections de l’an prochain) », s’emporte Levi Lisondra, retraité de Surigao City, à l’extrémité nord de Mindanao.
Le président Rodrigo Duterte s’est rendu dans certaines zones affectées samedi, promettant un fonds d’aide de deux milliards de pesos (35 millions d’euros).
Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année qui détruisent généralement récoltes, habitations et infrastructures dans des régions déjà pauvres.
Le typhon Rai, le plus puissant à frapper les Philippines cette année, a fait au moins 375 morts, ravageant des régions entières où un ravitaillement en eau potable et en nourriture devenait de plus en plus urgent lundi.
La tempête a arraché des toits, déraciné des arbres, renversé des poteaux électriques, démoli des maisons en bois et inondé des villages.
« Notre situation est tellement désespérée », se désole Ferry Asuncion, vendeur de rue dans la ville durement frappée de Surigao. Les populations ont besoin « d’eau potable et de nourriture ».
Au moins 375 personnes ont été tuées, plus de 500 blessées et 56 sont portées disparues à la suite du passage dévastateur de Rai dans les régions méridionales et centrales de l’archipel, selon la police nationale.
Plus de 380.000 personnes ont fui leurs domiciles jeudi alors que le typhon touchait terre au centre du pays.
La tempête a rappelé le « super typhon » Haiyan qui s’était abattu sur l’archipel en 2013. Ce cyclone, le plus meurtrier jamais enregistré dans le pays, avait fait plus de 7.300 morts ou disparus.
Rai a touché les Philippines tardivement dans l’année, tandis que la saison des cyclones s’étend généralement de juillet à octobre.
Le pays dispose d’un système de gestion des catastrophes qui avertit de l’approche d’une tempête permettant aux populations menacées de rejoindre des centres d’évacuation avant que le cyclone n’atteigne les côtes.
Mais ce nouveau typhon frappe fortement un secteur du tourisme qui peinait déjà à se remettre de la pandémie de Covid-19.
L’une des îles les plus durement touchées par Rai est Bohol – connue notamment pour ses tarsiers, un primate présent dans l’archipel – où au moins 94 personnes sont décédées, selon le gouverneur provincial Arthur Yap, qui actualise son propre bilan sur sa page Facebook.
– ‘Iles rasées’ –
Des destructions importantes ont également été enregistrées sur les îles de Siargao, Dinagat et Mindanao, les plus touchées jeudi lorsque les vents ont soufflé à 195 kilomètres heure.
« Les îles Dinagat ont été entièrement rasées », s’est désolé dimanche Jeffrey Crisostomo, responsable presse de la province comptant au moins 14 morts.
Un signal de détresse « S.O.S » était peint sur une route de la ville touristique General Luna sur l’île de Siargao, où surfeurs et vacanciers avaient afflué avant Noël.
« Il n’y a plus d’eau, nous avons une pénurie d’eau, le premier jour, il y avait déjà des pillages dans notre quartier », a raconté Marja O’Donnell, propriétaire d’un complexe hôtelier à Siargao, à CNN Philippines.
Les communications dans plusieurs parties des zones affectées ont été coupées, rendant difficiles les efforts des secouristes pour évaluer l’étendue des dégâts.
L’électricité est également hors service, affectant les stations de remplissage d’eau et les distributeurs automatiques de billets.
Des milliers de militaires, policiers, gardes-côtes et pompiers ont été déployés et de la nourriture, de l’eau et des fournitures médicales acheminées par des garde-côtes. Du matériel pour dégager les routes bloquées par des poteaux électriques et arbres tombés a également été envoyé.
Mais certaines victimes se plaignaient d’une réponse gouvernementale pas à la hauteur.
« Personne ne se montre, je ne sais pas où sont les politiques et les candidats (aux élections de l’an prochain) », s’emporte Levi Lisondra, retraité de Surigao City, à l’extrémité nord de Mindanao.
Le président Rodrigo Duterte s’est rendu dans certaines zones affectées samedi, promettant un fonds d’aide de deux milliards de pesos (35 millions d’euros).
Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année qui détruisent généralement récoltes, habitations et infrastructures dans des régions déjà pauvres.
Le typhon Rai, le plus puissant à frapper les Philippines cette année, a fait au moins 375 morts, ravageant des régions entières où un ravitaillement en eau potable et en nourriture devenait de plus en plus urgent lundi.
La tempête a arraché des toits, déraciné des arbres, renversé des poteaux électriques, démoli des maisons en bois et inondé des villages.
« Notre situation est tellement désespérée », se désole Ferry Asuncion, vendeur de rue dans la ville durement frappée de Surigao. Les populations ont besoin « d’eau potable et de nourriture ».
Au moins 375 personnes ont été tuées, plus de 500 blessées et 56 sont portées disparues à la suite du passage dévastateur de Rai dans les régions méridionales et centrales de l’archipel, selon la police nationale.
Plus de 380.000 personnes ont fui leurs domiciles jeudi alors que le typhon touchait terre au centre du pays.
La tempête a rappelé le « super typhon » Haiyan qui s’était abattu sur l’archipel en 2013. Ce cyclone, le plus meurtrier jamais enregistré dans le pays, avait fait plus de 7.300 morts ou disparus.
Rai a touché les Philippines tardivement dans l’année, tandis que la saison des cyclones s’étend généralement de juillet à octobre.
Le pays dispose d’un système de gestion des catastrophes qui avertit de l’approche d’une tempête permettant aux populations menacées de rejoindre des centres d’évacuation avant que le cyclone n’atteigne les côtes.
Mais ce nouveau typhon frappe fortement un secteur du tourisme qui peinait déjà à se remettre de la pandémie de Covid-19.
L’une des îles les plus durement touchées par Rai est Bohol – connue notamment pour ses tarsiers, un primate présent dans l’archipel – où au moins 94 personnes sont décédées, selon le gouverneur provincial Arthur Yap, qui actualise son propre bilan sur sa page Facebook.
– ‘Iles rasées’ –
Des destructions importantes ont également été enregistrées sur les îles de Siargao, Dinagat et Mindanao, les plus touchées jeudi lorsque les vents ont soufflé à 195 kilomètres heure.
« Les îles Dinagat ont été entièrement rasées », s’est désolé dimanche Jeffrey Crisostomo, responsable presse de la province comptant au moins 14 morts.
Un signal de détresse « S.O.S » était peint sur une route de la ville touristique General Luna sur l’île de Siargao, où surfeurs et vacanciers avaient afflué avant Noël.
« Il n’y a plus d’eau, nous avons une pénurie d’eau, le premier jour, il y avait déjà des pillages dans notre quartier », a raconté Marja O’Donnell, propriétaire d’un complexe hôtelier à Siargao, à CNN Philippines.
Les communications dans plusieurs parties des zones affectées ont été coupées, rendant difficiles les efforts des secouristes pour évaluer l’étendue des dégâts.
L’électricité est également hors service, affectant les stations de remplissage d’eau et les distributeurs automatiques de billets.
Des milliers de militaires, policiers, gardes-côtes et pompiers ont été déployés et de la nourriture, de l’eau et des fournitures médicales acheminées par des garde-côtes. Du matériel pour dégager les routes bloquées par des poteaux électriques et arbres tombés a également été envoyé.
Mais certaines victimes se plaignaient d’une réponse gouvernementale pas à la hauteur.
« Personne ne se montre, je ne sais pas où sont les politiques et les candidats (aux élections de l’an prochain) », s’emporte Levi Lisondra, retraité de Surigao City, à l’extrémité nord de Mindanao.
Le président Rodrigo Duterte s’est rendu dans certaines zones affectées samedi, promettant un fonds d’aide de deux milliards de pesos (35 millions d’euros).
Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année qui détruisent généralement récoltes, habitations et infrastructures dans des régions déjà pauvres.
Le typhon Rai, le plus puissant à frapper les Philippines cette année, a fait au moins 375 morts, ravageant des régions entières où un ravitaillement en eau potable et en nourriture devenait de plus en plus urgent lundi.
La tempête a arraché des toits, déraciné des arbres, renversé des poteaux électriques, démoli des maisons en bois et inondé des villages.
« Notre situation est tellement désespérée », se désole Ferry Asuncion, vendeur de rue dans la ville durement frappée de Surigao. Les populations ont besoin « d’eau potable et de nourriture ».
Au moins 375 personnes ont été tuées, plus de 500 blessées et 56 sont portées disparues à la suite du passage dévastateur de Rai dans les régions méridionales et centrales de l’archipel, selon la police nationale.
Plus de 380.000 personnes ont fui leurs domiciles jeudi alors que le typhon touchait terre au centre du pays.
La tempête a rappelé le « super typhon » Haiyan qui s’était abattu sur l’archipel en 2013. Ce cyclone, le plus meurtrier jamais enregistré dans le pays, avait fait plus de 7.300 morts ou disparus.
Rai a touché les Philippines tardivement dans l’année, tandis que la saison des cyclones s’étend généralement de juillet à octobre.
Le pays dispose d’un système de gestion des catastrophes qui avertit de l’approche d’une tempête permettant aux populations menacées de rejoindre des centres d’évacuation avant que le cyclone n’atteigne les côtes.
Mais ce nouveau typhon frappe fortement un secteur du tourisme qui peinait déjà à se remettre de la pandémie de Covid-19.
L’une des îles les plus durement touchées par Rai est Bohol – connue notamment pour ses tarsiers, un primate présent dans l’archipel – où au moins 94 personnes sont décédées, selon le gouverneur provincial Arthur Yap, qui actualise son propre bilan sur sa page Facebook.
– ‘Iles rasées’ –
Des destructions importantes ont également été enregistrées sur les îles de Siargao, Dinagat et Mindanao, les plus touchées jeudi lorsque les vents ont soufflé à 195 kilomètres heure.
« Les îles Dinagat ont été entièrement rasées », s’est désolé dimanche Jeffrey Crisostomo, responsable presse de la province comptant au moins 14 morts.
Un signal de détresse « S.O.S » était peint sur une route de la ville touristique General Luna sur l’île de Siargao, où surfeurs et vacanciers avaient afflué avant Noël.
« Il n’y a plus d’eau, nous avons une pénurie d’eau, le premier jour, il y avait déjà des pillages dans notre quartier », a raconté Marja O’Donnell, propriétaire d’un complexe hôtelier à Siargao, à CNN Philippines.
Les communications dans plusieurs parties des zones affectées ont été coupées, rendant difficiles les efforts des secouristes pour évaluer l’étendue des dégâts.
L’électricité est également hors service, affectant les stations de remplissage d’eau et les distributeurs automatiques de billets.
Des milliers de militaires, policiers, gardes-côtes et pompiers ont été déployés et de la nourriture, de l’eau et des fournitures médicales acheminées par des garde-côtes. Du matériel pour dégager les routes bloquées par des poteaux électriques et arbres tombés a également été envoyé.
Mais certaines victimes se plaignaient d’une réponse gouvernementale pas à la hauteur.
« Personne ne se montre, je ne sais pas où sont les politiques et les candidats (aux élections de l’an prochain) », s’emporte Levi Lisondra, retraité de Surigao City, à l’extrémité nord de Mindanao.
Le président Rodrigo Duterte s’est rendu dans certaines zones affectées samedi, promettant un fonds d’aide de deux milliards de pesos (35 millions d’euros).
Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année qui détruisent généralement récoltes, habitations et infrastructures dans des régions déjà pauvres.
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