Le président chinois de la session en cours du Comité du patrimoine mondial a nié dimanche toute politisation dans le possible placement sur la Liste « en danger » de la Grande barrière de Corail d’Australie, rejetant des accusations « infondées » de ce pays.
Le président de cette 44e session du Comité du patrimoine mondial de l’Unesco était interrogé lors d’une conférence de presse à Fuzhou (Chine), également transmise en ligne, sur « des allégations du gouvernement australien » selon lesquelles « la décision d’inscrire la Grande barrière était motivée par des raisons politiques, à la demande du gouvernement chinois ».
« La politique a subverti un processus approprié et le fait que le Comité du patrimoine mondial n’ait même pas anticipé cette inscription est consternant », a déclaré en juin la ministre de l’Environnement australienne Sussan Ley, après que les organismes consultatifs du Comité eurent préconisé de placer le premier récif au monde sur la liste des biens en péril.
Tout en reconnaissant les efforts faits par l’Australie, les experts ont estimé que la Grande Barrière s’était fortement détériorée, victime notamment de plusieurs épisodes de blanchiment massif de ses coraux.
« La recommandation de l’inclure dans la liste en péril a été faite à la suite d’une évaluation de l’UICN », l’Union internationale pour la conservation de la nature, un des trois organismes consultatifs, a rappelé M. Tian.
Elle a été formulée « sur la base de rapports et données fournis par l’Australie elle-même », a-t-il réitéré.
« Je suis convaincu que les membres du Comité (réuni jusqu’au 31 juillet, ndlr) prendront leurs décisions sur la base des recommandations des organismes consultatifs, donc sur une base scientifique, dans le plus grand respect (…) des règles de procédure de notre session », a-t-il conclu.
Les relations sino-australiennes se sont fortement dégradées après la demande par Canberra d’une enquête indépendante sur l’origine de la pandémie de coronavirus et l’exclusion du géant des télécoms chinois Huawei de la construction du réseau 5G australien.
Le président chinois de la session en cours du Comité du patrimoine mondial a nié dimanche toute politisation dans le possible placement sur la Liste « en danger » de la Grande barrière de Corail d’Australie, rejetant des accusations « infondées » de ce pays.
Le président de cette 44e session du Comité du patrimoine mondial de l’Unesco était interrogé lors d’une conférence de presse à Fuzhou (Chine), également transmise en ligne, sur « des allégations du gouvernement australien » selon lesquelles « la décision d’inscrire la Grande barrière était motivée par des raisons politiques, à la demande du gouvernement chinois ».
« La politique a subverti un processus approprié et le fait que le Comité du patrimoine mondial n’ait même pas anticipé cette inscription est consternant », a déclaré en juin la ministre de l’Environnement australienne Sussan Ley, après que les organismes consultatifs du Comité eurent préconisé de placer le premier récif au monde sur la liste des biens en péril.
Tout en reconnaissant les efforts faits par l’Australie, les experts ont estimé que la Grande Barrière s’était fortement détériorée, victime notamment de plusieurs épisodes de blanchiment massif de ses coraux.
« La recommandation de l’inclure dans la liste en péril a été faite à la suite d’une évaluation de l’UICN », l’Union internationale pour la conservation de la nature, un des trois organismes consultatifs, a rappelé M. Tian.
Elle a été formulée « sur la base de rapports et données fournis par l’Australie elle-même », a-t-il réitéré.
« Je suis convaincu que les membres du Comité (réuni jusqu’au 31 juillet, ndlr) prendront leurs décisions sur la base des recommandations des organismes consultatifs, donc sur une base scientifique, dans le plus grand respect (…) des règles de procédure de notre session », a-t-il conclu.
Les relations sino-australiennes se sont fortement dégradées après la demande par Canberra d’une enquête indépendante sur l’origine de la pandémie de coronavirus et l’exclusion du géant des télécoms chinois Huawei de la construction du réseau 5G australien.
Le président chinois de la session en cours du Comité du patrimoine mondial a nié dimanche toute politisation dans le possible placement sur la Liste « en danger » de la Grande barrière de Corail d’Australie, rejetant des accusations « infondées » de ce pays.
Le président de cette 44e session du Comité du patrimoine mondial de l’Unesco était interrogé lors d’une conférence de presse à Fuzhou (Chine), également transmise en ligne, sur « des allégations du gouvernement australien » selon lesquelles « la décision d’inscrire la Grande barrière était motivée par des raisons politiques, à la demande du gouvernement chinois ».
« La politique a subverti un processus approprié et le fait que le Comité du patrimoine mondial n’ait même pas anticipé cette inscription est consternant », a déclaré en juin la ministre de l’Environnement australienne Sussan Ley, après que les organismes consultatifs du Comité eurent préconisé de placer le premier récif au monde sur la liste des biens en péril.
Tout en reconnaissant les efforts faits par l’Australie, les experts ont estimé que la Grande Barrière s’était fortement détériorée, victime notamment de plusieurs épisodes de blanchiment massif de ses coraux.
« La recommandation de l’inclure dans la liste en péril a été faite à la suite d’une évaluation de l’UICN », l’Union internationale pour la conservation de la nature, un des trois organismes consultatifs, a rappelé M. Tian.
Elle a été formulée « sur la base de rapports et données fournis par l’Australie elle-même », a-t-il réitéré.
« Je suis convaincu que les membres du Comité (réuni jusqu’au 31 juillet, ndlr) prendront leurs décisions sur la base des recommandations des organismes consultatifs, donc sur une base scientifique, dans le plus grand respect (…) des règles de procédure de notre session », a-t-il conclu.
Les relations sino-australiennes se sont fortement dégradées après la demande par Canberra d’une enquête indépendante sur l’origine de la pandémie de coronavirus et l’exclusion du géant des télécoms chinois Huawei de la construction du réseau 5G australien.
Le président chinois de la session en cours du Comité du patrimoine mondial a nié dimanche toute politisation dans le possible placement sur la Liste « en danger » de la Grande barrière de Corail d’Australie, rejetant des accusations « infondées » de ce pays.
Le président de cette 44e session du Comité du patrimoine mondial de l’Unesco était interrogé lors d’une conférence de presse à Fuzhou (Chine), également transmise en ligne, sur « des allégations du gouvernement australien » selon lesquelles « la décision d’inscrire la Grande barrière était motivée par des raisons politiques, à la demande du gouvernement chinois ».
« La politique a subverti un processus approprié et le fait que le Comité du patrimoine mondial n’ait même pas anticipé cette inscription est consternant », a déclaré en juin la ministre de l’Environnement australienne Sussan Ley, après que les organismes consultatifs du Comité eurent préconisé de placer le premier récif au monde sur la liste des biens en péril.
Tout en reconnaissant les efforts faits par l’Australie, les experts ont estimé que la Grande Barrière s’était fortement détériorée, victime notamment de plusieurs épisodes de blanchiment massif de ses coraux.
« La recommandation de l’inclure dans la liste en péril a été faite à la suite d’une évaluation de l’UICN », l’Union internationale pour la conservation de la nature, un des trois organismes consultatifs, a rappelé M. Tian.
Elle a été formulée « sur la base de rapports et données fournis par l’Australie elle-même », a-t-il réitéré.
« Je suis convaincu que les membres du Comité (réuni jusqu’au 31 juillet, ndlr) prendront leurs décisions sur la base des recommandations des organismes consultatifs, donc sur une base scientifique, dans le plus grand respect (…) des règles de procédure de notre session », a-t-il conclu.
Les relations sino-australiennes se sont fortement dégradées après la demande par Canberra d’une enquête indépendante sur l’origine de la pandémie de coronavirus et l’exclusion du géant des télécoms chinois Huawei de la construction du réseau 5G australien.
Le président chinois de la session en cours du Comité du patrimoine mondial a nié dimanche toute politisation dans le possible placement sur la Liste « en danger » de la Grande barrière de Corail d’Australie, rejetant des accusations « infondées » de ce pays.
Le président de cette 44e session du Comité du patrimoine mondial de l’Unesco était interrogé lors d’une conférence de presse à Fuzhou (Chine), également transmise en ligne, sur « des allégations du gouvernement australien » selon lesquelles « la décision d’inscrire la Grande barrière était motivée par des raisons politiques, à la demande du gouvernement chinois ».
« La politique a subverti un processus approprié et le fait que le Comité du patrimoine mondial n’ait même pas anticipé cette inscription est consternant », a déclaré en juin la ministre de l’Environnement australienne Sussan Ley, après que les organismes consultatifs du Comité eurent préconisé de placer le premier récif au monde sur la liste des biens en péril.
Tout en reconnaissant les efforts faits par l’Australie, les experts ont estimé que la Grande Barrière s’était fortement détériorée, victime notamment de plusieurs épisodes de blanchiment massif de ses coraux.
« La recommandation de l’inclure dans la liste en péril a été faite à la suite d’une évaluation de l’UICN », l’Union internationale pour la conservation de la nature, un des trois organismes consultatifs, a rappelé M. Tian.
Elle a été formulée « sur la base de rapports et données fournis par l’Australie elle-même », a-t-il réitéré.
« Je suis convaincu que les membres du Comité (réuni jusqu’au 31 juillet, ndlr) prendront leurs décisions sur la base des recommandations des organismes consultatifs, donc sur une base scientifique, dans le plus grand respect (…) des règles de procédure de notre session », a-t-il conclu.
Les relations sino-australiennes se sont fortement dégradées après la demande par Canberra d’une enquête indépendante sur l’origine de la pandémie de coronavirus et l’exclusion du géant des télécoms chinois Huawei de la construction du réseau 5G australien.
Le président chinois de la session en cours du Comité du patrimoine mondial a nié dimanche toute politisation dans le possible placement sur la Liste « en danger » de la Grande barrière de Corail d’Australie, rejetant des accusations « infondées » de ce pays.
Le président de cette 44e session du Comité du patrimoine mondial de l’Unesco était interrogé lors d’une conférence de presse à Fuzhou (Chine), également transmise en ligne, sur « des allégations du gouvernement australien » selon lesquelles « la décision d’inscrire la Grande barrière était motivée par des raisons politiques, à la demande du gouvernement chinois ».
« La politique a subverti un processus approprié et le fait que le Comité du patrimoine mondial n’ait même pas anticipé cette inscription est consternant », a déclaré en juin la ministre de l’Environnement australienne Sussan Ley, après que les organismes consultatifs du Comité eurent préconisé de placer le premier récif au monde sur la liste des biens en péril.
Tout en reconnaissant les efforts faits par l’Australie, les experts ont estimé que la Grande Barrière s’était fortement détériorée, victime notamment de plusieurs épisodes de blanchiment massif de ses coraux.
« La recommandation de l’inclure dans la liste en péril a été faite à la suite d’une évaluation de l’UICN », l’Union internationale pour la conservation de la nature, un des trois organismes consultatifs, a rappelé M. Tian.
Elle a été formulée « sur la base de rapports et données fournis par l’Australie elle-même », a-t-il réitéré.
« Je suis convaincu que les membres du Comité (réuni jusqu’au 31 juillet, ndlr) prendront leurs décisions sur la base des recommandations des organismes consultatifs, donc sur une base scientifique, dans le plus grand respect (…) des règles de procédure de notre session », a-t-il conclu.
Les relations sino-australiennes se sont fortement dégradées après la demande par Canberra d’une enquête indépendante sur l’origine de la pandémie de coronavirus et l’exclusion du géant des télécoms chinois Huawei de la construction du réseau 5G australien.
Le président chinois de la session en cours du Comité du patrimoine mondial a nié dimanche toute politisation dans le possible placement sur la Liste « en danger » de la Grande barrière de Corail d’Australie, rejetant des accusations « infondées » de ce pays.
Le président de cette 44e session du Comité du patrimoine mondial de l’Unesco était interrogé lors d’une conférence de presse à Fuzhou (Chine), également transmise en ligne, sur « des allégations du gouvernement australien » selon lesquelles « la décision d’inscrire la Grande barrière était motivée par des raisons politiques, à la demande du gouvernement chinois ».
« La politique a subverti un processus approprié et le fait que le Comité du patrimoine mondial n’ait même pas anticipé cette inscription est consternant », a déclaré en juin la ministre de l’Environnement australienne Sussan Ley, après que les organismes consultatifs du Comité eurent préconisé de placer le premier récif au monde sur la liste des biens en péril.
Tout en reconnaissant les efforts faits par l’Australie, les experts ont estimé que la Grande Barrière s’était fortement détériorée, victime notamment de plusieurs épisodes de blanchiment massif de ses coraux.
« La recommandation de l’inclure dans la liste en péril a été faite à la suite d’une évaluation de l’UICN », l’Union internationale pour la conservation de la nature, un des trois organismes consultatifs, a rappelé M. Tian.
Elle a été formulée « sur la base de rapports et données fournis par l’Australie elle-même », a-t-il réitéré.
« Je suis convaincu que les membres du Comité (réuni jusqu’au 31 juillet, ndlr) prendront leurs décisions sur la base des recommandations des organismes consultatifs, donc sur une base scientifique, dans le plus grand respect (…) des règles de procédure de notre session », a-t-il conclu.
Les relations sino-australiennes se sont fortement dégradées après la demande par Canberra d’une enquête indépendante sur l’origine de la pandémie de coronavirus et l’exclusion du géant des télécoms chinois Huawei de la construction du réseau 5G australien.
Le président chinois de la session en cours du Comité du patrimoine mondial a nié dimanche toute politisation dans le possible placement sur la Liste « en danger » de la Grande barrière de Corail d’Australie, rejetant des accusations « infondées » de ce pays.
Le président de cette 44e session du Comité du patrimoine mondial de l’Unesco était interrogé lors d’une conférence de presse à Fuzhou (Chine), également transmise en ligne, sur « des allégations du gouvernement australien » selon lesquelles « la décision d’inscrire la Grande barrière était motivée par des raisons politiques, à la demande du gouvernement chinois ».
« La politique a subverti un processus approprié et le fait que le Comité du patrimoine mondial n’ait même pas anticipé cette inscription est consternant », a déclaré en juin la ministre de l’Environnement australienne Sussan Ley, après que les organismes consultatifs du Comité eurent préconisé de placer le premier récif au monde sur la liste des biens en péril.
Tout en reconnaissant les efforts faits par l’Australie, les experts ont estimé que la Grande Barrière s’était fortement détériorée, victime notamment de plusieurs épisodes de blanchiment massif de ses coraux.
« La recommandation de l’inclure dans la liste en péril a été faite à la suite d’une évaluation de l’UICN », l’Union internationale pour la conservation de la nature, un des trois organismes consultatifs, a rappelé M. Tian.
Elle a été formulée « sur la base de rapports et données fournis par l’Australie elle-même », a-t-il réitéré.
« Je suis convaincu que les membres du Comité (réuni jusqu’au 31 juillet, ndlr) prendront leurs décisions sur la base des recommandations des organismes consultatifs, donc sur une base scientifique, dans le plus grand respect (…) des règles de procédure de notre session », a-t-il conclu.
Les relations sino-australiennes se sont fortement dégradées après la demande par Canberra d’une enquête indépendante sur l’origine de la pandémie de coronavirus et l’exclusion du géant des télécoms chinois Huawei de la construction du réseau 5G australien.
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