Le président de Nauru, David Adeang, a déclaré à l’AFP que son pays vendait sa citoyenneté pour financer sa retraite face à la montée des eaux, ouvrant ainsi la voie à un programme controversé de « passeport doré » alors que les autres financements pour le climat se tarissent.
Cette nation insulaire de faible altitude, qui compte environ 13 000 habitants, prévoit une relocalisation massive à l’intérieur des terres, alors que la mer commence à ronger sa frange côtière fertile.
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