Dans une interview à l’AFP à Bruxelles, M. Tehan a également souligné que Canberra souhaitait adoucir le climat des relations avec la France, furieuse d’avoir vu annulé un mégacontrat de vente de sous-marins conventionnels à l’Australie au profit de sous-marins nucléaires américains.
Bruxelles était l’avant-dernière étape d’une tournée qui a mené M. Tehan en Indonésie, en Inde et aux Emirats Arabes Unis, puis à des réunions ministérielles de l’OCDE en France et avec ses homologues du G20 en Italie.
Jeudi, il doit se rendre à Londres pour étudier et signer un accord commercial bilatéral de libre-échange entre l’Australie et la Grande-Bretagne qui avait été annoncé en juin.
A la question de savoir si la Grande-Bretagne s’en tiendrait à cet accord alors qu’elle veut à présent renégocier le protocole sur l’Irlande du Nord conclu dans le cadre de l’accord de 2019 avec l’UE sur le Brexit, le ministre australien a mis l’accent sur les liens historiques entre l’Australie et le Royaume uni.
« Nous avons bien sûr confiance en la Grande-Bretagne concernant ses traités, et nous continuerons à négocier en toute bonne foi avec eux », a-t-il déclaré. « Nous sommes de chers, de vieux amis ».
L’étape bruxelloise de M. Tehan devait initialement comprendre des discussions avec des responsables de l’UE sur un traité de libre-échange que l’Australie veut conclure avec l’UE.
Mais le 12e round de ces négociations a été repoussé à novembre, après que la France eut exprimé sa colère après l’annonce du partenariat conclu entre les Etats-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, baptisé AUKUS, qui a de facto annulé un contrat pour l’achat de sous-marins français d’une valeur de 55 milliards d’euros avec les Australiens.
Cette querelle a conduit Paris et Canberra au bord de la rupture.
Le Premier ministre australien Scott Morrison n’a pas pu jusqu’à présent avoir une conversation avec le président Emmanuel Macron à ce sujet et M. Tehan a été ignoré par son homologue français lorsqu’il se trouvait à Paris.
Le ministre australien a jugé « positif » le retour à Canberra de l’ambassadeur français qui avait été rappelé en septembre.
« Nous avons fait savoir clairement que nous sommes très désireux de discuter et de nouer le dialogue avec le gouvernement français », a-t-il assuré.
Il a également indiqué que les pourparlers sur l’accord commercial UE-Australie en étaient à leur dernier stade et qu’il espérait le voir conclu d’ici la fin de 2022.
La conférence de l’ONU sur le climat COP26 qui doit se tenir à Glasgow à partir du 31 octobre pourrait donner l’occasion aux dirigeants australiens de discuter avec les dirigeants européens.
Dans une interview à l’AFP à Bruxelles, M. Tehan a également souligné que Canberra souhaitait adoucir le climat des relations avec la France, furieuse d’avoir vu annulé un mégacontrat de vente de sous-marins conventionnels à l’Australie au profit de sous-marins nucléaires américains.
Bruxelles était l’avant-dernière étape d’une tournée qui a mené M. Tehan en Indonésie, en Inde et aux Emirats Arabes Unis, puis à des réunions ministérielles de l’OCDE en France et avec ses homologues du G20 en Italie.
Jeudi, il doit se rendre à Londres pour étudier et signer un accord commercial bilatéral de libre-échange entre l’Australie et la Grande-Bretagne qui avait été annoncé en juin.
A la question de savoir si la Grande-Bretagne s’en tiendrait à cet accord alors qu’elle veut à présent renégocier le protocole sur l’Irlande du Nord conclu dans le cadre de l’accord de 2019 avec l’UE sur le Brexit, le ministre australien a mis l’accent sur les liens historiques entre l’Australie et le Royaume uni.
« Nous avons bien sûr confiance en la Grande-Bretagne concernant ses traités, et nous continuerons à négocier en toute bonne foi avec eux », a-t-il déclaré. « Nous sommes de chers, de vieux amis ».
L’étape bruxelloise de M. Tehan devait initialement comprendre des discussions avec des responsables de l’UE sur un traité de libre-échange que l’Australie veut conclure avec l’UE.
Mais le 12e round de ces négociations a été repoussé à novembre, après que la France eut exprimé sa colère après l’annonce du partenariat conclu entre les Etats-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, baptisé AUKUS, qui a de facto annulé un contrat pour l’achat de sous-marins français d’une valeur de 55 milliards d’euros avec les Australiens.
Cette querelle a conduit Paris et Canberra au bord de la rupture.
Le Premier ministre australien Scott Morrison n’a pas pu jusqu’à présent avoir une conversation avec le président Emmanuel Macron à ce sujet et M. Tehan a été ignoré par son homologue français lorsqu’il se trouvait à Paris.
Le ministre australien a jugé « positif » le retour à Canberra de l’ambassadeur français qui avait été rappelé en septembre.
« Nous avons fait savoir clairement que nous sommes très désireux de discuter et de nouer le dialogue avec le gouvernement français », a-t-il assuré.
Il a également indiqué que les pourparlers sur l’accord commercial UE-Australie en étaient à leur dernier stade et qu’il espérait le voir conclu d’ici la fin de 2022.
La conférence de l’ONU sur le climat COP26 qui doit se tenir à Glasgow à partir du 31 octobre pourrait donner l’occasion aux dirigeants australiens de discuter avec les dirigeants européens.
Dans une interview à l’AFP à Bruxelles, M. Tehan a également souligné que Canberra souhaitait adoucir le climat des relations avec la France, furieuse d’avoir vu annulé un mégacontrat de vente de sous-marins conventionnels à l’Australie au profit de sous-marins nucléaires américains.
Bruxelles était l’avant-dernière étape d’une tournée qui a mené M. Tehan en Indonésie, en Inde et aux Emirats Arabes Unis, puis à des réunions ministérielles de l’OCDE en France et avec ses homologues du G20 en Italie.
Jeudi, il doit se rendre à Londres pour étudier et signer un accord commercial bilatéral de libre-échange entre l’Australie et la Grande-Bretagne qui avait été annoncé en juin.
A la question de savoir si la Grande-Bretagne s’en tiendrait à cet accord alors qu’elle veut à présent renégocier le protocole sur l’Irlande du Nord conclu dans le cadre de l’accord de 2019 avec l’UE sur le Brexit, le ministre australien a mis l’accent sur les liens historiques entre l’Australie et le Royaume uni.
« Nous avons bien sûr confiance en la Grande-Bretagne concernant ses traités, et nous continuerons à négocier en toute bonne foi avec eux », a-t-il déclaré. « Nous sommes de chers, de vieux amis ».
L’étape bruxelloise de M. Tehan devait initialement comprendre des discussions avec des responsables de l’UE sur un traité de libre-échange que l’Australie veut conclure avec l’UE.
Mais le 12e round de ces négociations a été repoussé à novembre, après que la France eut exprimé sa colère après l’annonce du partenariat conclu entre les Etats-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, baptisé AUKUS, qui a de facto annulé un contrat pour l’achat de sous-marins français d’une valeur de 55 milliards d’euros avec les Australiens.
Cette querelle a conduit Paris et Canberra au bord de la rupture.
Le Premier ministre australien Scott Morrison n’a pas pu jusqu’à présent avoir une conversation avec le président Emmanuel Macron à ce sujet et M. Tehan a été ignoré par son homologue français lorsqu’il se trouvait à Paris.
Le ministre australien a jugé « positif » le retour à Canberra de l’ambassadeur français qui avait été rappelé en septembre.
« Nous avons fait savoir clairement que nous sommes très désireux de discuter et de nouer le dialogue avec le gouvernement français », a-t-il assuré.
Il a également indiqué que les pourparlers sur l’accord commercial UE-Australie en étaient à leur dernier stade et qu’il espérait le voir conclu d’ici la fin de 2022.
La conférence de l’ONU sur le climat COP26 qui doit se tenir à Glasgow à partir du 31 octobre pourrait donner l’occasion aux dirigeants australiens de discuter avec les dirigeants européens.
Dans une interview à l’AFP à Bruxelles, M. Tehan a également souligné que Canberra souhaitait adoucir le climat des relations avec la France, furieuse d’avoir vu annulé un mégacontrat de vente de sous-marins conventionnels à l’Australie au profit de sous-marins nucléaires américains.
Bruxelles était l’avant-dernière étape d’une tournée qui a mené M. Tehan en Indonésie, en Inde et aux Emirats Arabes Unis, puis à des réunions ministérielles de l’OCDE en France et avec ses homologues du G20 en Italie.
Jeudi, il doit se rendre à Londres pour étudier et signer un accord commercial bilatéral de libre-échange entre l’Australie et la Grande-Bretagne qui avait été annoncé en juin.
A la question de savoir si la Grande-Bretagne s’en tiendrait à cet accord alors qu’elle veut à présent renégocier le protocole sur l’Irlande du Nord conclu dans le cadre de l’accord de 2019 avec l’UE sur le Brexit, le ministre australien a mis l’accent sur les liens historiques entre l’Australie et le Royaume uni.
« Nous avons bien sûr confiance en la Grande-Bretagne concernant ses traités, et nous continuerons à négocier en toute bonne foi avec eux », a-t-il déclaré. « Nous sommes de chers, de vieux amis ».
L’étape bruxelloise de M. Tehan devait initialement comprendre des discussions avec des responsables de l’UE sur un traité de libre-échange que l’Australie veut conclure avec l’UE.
Mais le 12e round de ces négociations a été repoussé à novembre, après que la France eut exprimé sa colère après l’annonce du partenariat conclu entre les Etats-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, baptisé AUKUS, qui a de facto annulé un contrat pour l’achat de sous-marins français d’une valeur de 55 milliards d’euros avec les Australiens.
Cette querelle a conduit Paris et Canberra au bord de la rupture.
Le Premier ministre australien Scott Morrison n’a pas pu jusqu’à présent avoir une conversation avec le président Emmanuel Macron à ce sujet et M. Tehan a été ignoré par son homologue français lorsqu’il se trouvait à Paris.
Le ministre australien a jugé « positif » le retour à Canberra de l’ambassadeur français qui avait été rappelé en septembre.
« Nous avons fait savoir clairement que nous sommes très désireux de discuter et de nouer le dialogue avec le gouvernement français », a-t-il assuré.
Il a également indiqué que les pourparlers sur l’accord commercial UE-Australie en étaient à leur dernier stade et qu’il espérait le voir conclu d’ici la fin de 2022.
La conférence de l’ONU sur le climat COP26 qui doit se tenir à Glasgow à partir du 31 octobre pourrait donner l’occasion aux dirigeants australiens de discuter avec les dirigeants européens.
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