A l’occasion de l’ouverture de l’exposition consacrée à David Bowie à Melbourne, « Let’s Dance » va être réédité en édition limitée.
L’exposition consacrée au chanteur, « David Bowie is », se déroulera du 16 juillet au 1 novembre à l’ACMI de Melbourne.
L’exposition itinérante consacrée à David Bowie a attiré 200.000 visiteurs en trois mois lors de son étape française à la Philharmonie de Paris (3 mars-31 mai) et a désormais dépassé le cap du million depuis son lancement à Londres en 2013.
La rétrospective « David Bowie Is », rassemblant photos, vidéos, textes, costumes et autres objets cultes du « Thin White Duke », va désormais être présentée à l’ACMI de Melbourne, en Australie (16 juillet-1er novembre 2015), puis au Groninger Museum à Groningen, aux Pays-Bas (15 décembre 2015-15 mars 2016).
Close depuis dimanche à minuit, l’exposition a attiré à la Philharmonie de Paris « 200.000 visiteurs en trois mois », a-t-on appris mardi auprès du nouvel établissement de la capitale, inauguré en janvier.
L’exposition, créée en 2013 au Victoria and Albert Museum à Londres et montrée depuis à Berlin, Toronto, Chicago et Sao Paulo, a accueilli à Paris début mai son « millionième » visiteur, un enseignant de la région de Niort (Deux-Sèvres) qui a reçu un catalogue spécialement dédicacé par David Bowie et sur lequel la star a rédigé un petit mot: « David Bowie est… impressionné par la façon dont vous avez calculé votre coup pour réussir à être le millionième. Bien joué ! »
Dans le détail, l’exposition a été vue pour le moment par 312.000 visiteurs à Londres, 146.500 à Toronto, 80.000 à Sao Paulo, 151.000 à Berlin et 193.000 à Chicago, selon le décompte du Victoria and Albert Museum. Avec les 200.000 à Paris, l’exposition a donc désormais accueilli près de 1,1 million d’amateurs.
Costumes extravagants utilisés sur scène ou dans ses clips, paroles de chansons manuscrites, pochettes d’albums, instruments du maître, photos, vidéos, croquis de jeunesse et évidemment extraits sonores: tous les univers de Bowie, de ses premiers accords de guitare au dernier album paru en 2013, en passant par ses tubes, ses influences, ses héritiers et ses films sont explorés dans une exposition d’une richesse impressionnante.
Les pièces proviennent en grande partie des archives de l’artiste, né en janvier 1947, dont les ventes de disques avoisinent les 140 millions.
« Ce résultat conforte le bilan positif de la première saison de la Philharmonie de Paris », se félicite l’établissement parisien, qui a annoncé fin mai avoir accueilli 550.000 visiteurs sur ses cinq premiers mois d’activité.
Après Bowie, la Philharmonie s’intéressera l’an prochain à un autre monument du rock, The Velvet Underground, le groupe mythique de Lou Reed et John Cale.
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