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Home » AUSTRALIE » INSOLITE AUSTRALIE » Les requins confondent bien les surfers avec leurs proies animales

Les requins confondent bien les surfers avec leurs proies animales

AFP AFP
octobre 28, 2021
Temps de lecture: 3 mins
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Les requins s’en prenant à des surfeurs ou des baigneurs ont une vue si mauvaise que des scientifiques en ont conclu qu’ils les confondaient probablement avec leurs proies habituelles, les pinnipèdes tels que les otaries, selon une étude mercredi.

« Du point de vue d’un requin blanc, ni le mouvement ni la forme ne permettent une distinction visuelle sans équivoque entre les pinnipèdes et les humains », écrivent les auteurs de l’article paru dans Interface, une revue de la Royal Society. Ils en concluent que leurs travaux « soutiennent la théorie de l’erreur d’identification pour expliquer certaines morsures ».

« C’est la première étude à tester cette théorie du point de vue visuel d’un requin blanc », explique à l’AFP sa principale auteure, Laura Ryan, chercheuse au département de sciences biologiques de l’Université australienne Macquarie.

Les attaques de requins restent rares (moins de soixante dans le monde en 2020), selon un département spécialisé de l’Université de Floride. Mais elles entretiennent, selon l’étude, un climat de peur « disproportionné », associé à l’ignorance sur les motivations de l’animal, notamment quand l’attaque n’est pas provoquée. Avec parfois pour conséquence des campagnes de chasse qui nuisent aussi à d’autres espèces.

Le plus souvent incriminés, les requins blanc, tigre et bouledogue, s’en prennent en majorité à des surfeurs.

Si le requin blanc est réputé détecter des sons et odeurs à grande distance, de près on suppose qu’il fait surtout confiance à sa vue pour repérer et viser une proie.

– Insensible à la couleur –

Or le système visuel du requin est quasiment insensible à la couleur et a une très mauvaise capacité à distinguer les détails d’une forme. Son pouvoir de résolution, jusqu’à six fois inférieur à celui d’un humain, est encore plus faible chez les jeunes requins blancs, qui représentent le plus grand risque de morsures fatales pour les surfeurs, selon l’étude.

Pour tester la théorie de l’erreur d’identification, l’équipe de Macquarie a effectué des « vidéos prises du point de vue du requin, et les a traitées avec un programme de façon à mimer le système visuel du requin », et particulièrement sa capacité à distinguer une forme et son mouvement, explique la scientifique.

Pour cela, ils ont enregistré depuis le fond d’un bassin les images et vidéos d’un lion de mer et d’une otarie à fourrure, un mets de choix pour le squale, qui passeraient près de la surface, à quelques mètres au-dessus d’un requin. Ils ont ensuite comparé leurs signaux à ceux de nageurs et de surfeurs pagayant avec leurs bras, et avec ou sans battements de jambes, sur les trois grands types de planches de surf (longboard, shortboard et hybride).

Du point de vue d’un jeune requin blanc, les signaux de mouvement d’un nageur comme ceux d’un surfeur pagayant sur sa planche sont quasiment impossibles à distinguer de ceux d’un pinnipède, selon l’étude.

A fortiori dans l’eau de mer, où la visibilité serait moindre que dans le bassin utilisé pour l’expérience.

Quant à la forme, un pinnipède aux nageoires repliées ressemble plus à un nageur ou à un surfeur sur sa shortboard qu’à un pinnipède aux nageoires déployées. « Les longboards ressemblent moins à une otarie », selon Me Ryan, qui remarque pour autant qu’il « y a eu des incidents de morsures sur des longboards ».

Les chercheurs vont maintenant essayer de déterminer si un « changement des signaux visuels de proies potentielles serait une technique efficace de protection contre les requins blancs », poursuit la scientifique.

Avec pour impératif des solutions qui « empêchent non seulement les morsures de requins, mais qui ne mettent pas en danger d’autres espèces marines ».

Les requins s’en prenant à des surfeurs ou des baigneurs ont une vue si mauvaise que des scientifiques en ont conclu qu’ils les confondaient probablement avec leurs proies habituelles, les pinnipèdes tels que les otaries, selon une étude mercredi.

« Du point de vue d’un requin blanc, ni le mouvement ni la forme ne permettent une distinction visuelle sans équivoque entre les pinnipèdes et les humains », écrivent les auteurs de l’article paru dans Interface, une revue de la Royal Society. Ils en concluent que leurs travaux « soutiennent la théorie de l’erreur d’identification pour expliquer certaines morsures ».

« C’est la première étude à tester cette théorie du point de vue visuel d’un requin blanc », explique à l’AFP sa principale auteure, Laura Ryan, chercheuse au département de sciences biologiques de l’Université australienne Macquarie.

Les attaques de requins restent rares (moins de soixante dans le monde en 2020), selon un département spécialisé de l’Université de Floride. Mais elles entretiennent, selon l’étude, un climat de peur « disproportionné », associé à l’ignorance sur les motivations de l’animal, notamment quand l’attaque n’est pas provoquée. Avec parfois pour conséquence des campagnes de chasse qui nuisent aussi à d’autres espèces.

Le plus souvent incriminés, les requins blanc, tigre et bouledogue, s’en prennent en majorité à des surfeurs.

Si le requin blanc est réputé détecter des sons et odeurs à grande distance, de près on suppose qu’il fait surtout confiance à sa vue pour repérer et viser une proie.

– Insensible à la couleur –

Or le système visuel du requin est quasiment insensible à la couleur et a une très mauvaise capacité à distinguer les détails d’une forme. Son pouvoir de résolution, jusqu’à six fois inférieur à celui d’un humain, est encore plus faible chez les jeunes requins blancs, qui représentent le plus grand risque de morsures fatales pour les surfeurs, selon l’étude.

Pour tester la théorie de l’erreur d’identification, l’équipe de Macquarie a effectué des « vidéos prises du point de vue du requin, et les a traitées avec un programme de façon à mimer le système visuel du requin », et particulièrement sa capacité à distinguer une forme et son mouvement, explique la scientifique.

Pour cela, ils ont enregistré depuis le fond d’un bassin les images et vidéos d’un lion de mer et d’une otarie à fourrure, un mets de choix pour le squale, qui passeraient près de la surface, à quelques mètres au-dessus d’un requin. Ils ont ensuite comparé leurs signaux à ceux de nageurs et de surfeurs pagayant avec leurs bras, et avec ou sans battements de jambes, sur les trois grands types de planches de surf (longboard, shortboard et hybride).

Du point de vue d’un jeune requin blanc, les signaux de mouvement d’un nageur comme ceux d’un surfeur pagayant sur sa planche sont quasiment impossibles à distinguer de ceux d’un pinnipède, selon l’étude.

A fortiori dans l’eau de mer, où la visibilité serait moindre que dans le bassin utilisé pour l’expérience.

Quant à la forme, un pinnipède aux nageoires repliées ressemble plus à un nageur ou à un surfeur sur sa shortboard qu’à un pinnipède aux nageoires déployées. « Les longboards ressemblent moins à une otarie », selon Me Ryan, qui remarque pour autant qu’il « y a eu des incidents de morsures sur des longboards ».

Les chercheurs vont maintenant essayer de déterminer si un « changement des signaux visuels de proies potentielles serait une technique efficace de protection contre les requins blancs », poursuit la scientifique.

Avec pour impératif des solutions qui « empêchent non seulement les morsures de requins, mais qui ne mettent pas en danger d’autres espèces marines ».

Les requins s’en prenant à des surfeurs ou des baigneurs ont une vue si mauvaise que des scientifiques en ont conclu qu’ils les confondaient probablement avec leurs proies habituelles, les pinnipèdes tels que les otaries, selon une étude mercredi.

« Du point de vue d’un requin blanc, ni le mouvement ni la forme ne permettent une distinction visuelle sans équivoque entre les pinnipèdes et les humains », écrivent les auteurs de l’article paru dans Interface, une revue de la Royal Society. Ils en concluent que leurs travaux « soutiennent la théorie de l’erreur d’identification pour expliquer certaines morsures ».

« C’est la première étude à tester cette théorie du point de vue visuel d’un requin blanc », explique à l’AFP sa principale auteure, Laura Ryan, chercheuse au département de sciences biologiques de l’Université australienne Macquarie.

Les attaques de requins restent rares (moins de soixante dans le monde en 2020), selon un département spécialisé de l’Université de Floride. Mais elles entretiennent, selon l’étude, un climat de peur « disproportionné », associé à l’ignorance sur les motivations de l’animal, notamment quand l’attaque n’est pas provoquée. Avec parfois pour conséquence des campagnes de chasse qui nuisent aussi à d’autres espèces.

Le plus souvent incriminés, les requins blanc, tigre et bouledogue, s’en prennent en majorité à des surfeurs.

Si le requin blanc est réputé détecter des sons et odeurs à grande distance, de près on suppose qu’il fait surtout confiance à sa vue pour repérer et viser une proie.

– Insensible à la couleur –

Or le système visuel du requin est quasiment insensible à la couleur et a une très mauvaise capacité à distinguer les détails d’une forme. Son pouvoir de résolution, jusqu’à six fois inférieur à celui d’un humain, est encore plus faible chez les jeunes requins blancs, qui représentent le plus grand risque de morsures fatales pour les surfeurs, selon l’étude.

Pour tester la théorie de l’erreur d’identification, l’équipe de Macquarie a effectué des « vidéos prises du point de vue du requin, et les a traitées avec un programme de façon à mimer le système visuel du requin », et particulièrement sa capacité à distinguer une forme et son mouvement, explique la scientifique.

Pour cela, ils ont enregistré depuis le fond d’un bassin les images et vidéos d’un lion de mer et d’une otarie à fourrure, un mets de choix pour le squale, qui passeraient près de la surface, à quelques mètres au-dessus d’un requin. Ils ont ensuite comparé leurs signaux à ceux de nageurs et de surfeurs pagayant avec leurs bras, et avec ou sans battements de jambes, sur les trois grands types de planches de surf (longboard, shortboard et hybride).

Du point de vue d’un jeune requin blanc, les signaux de mouvement d’un nageur comme ceux d’un surfeur pagayant sur sa planche sont quasiment impossibles à distinguer de ceux d’un pinnipède, selon l’étude.

A fortiori dans l’eau de mer, où la visibilité serait moindre que dans le bassin utilisé pour l’expérience.

Quant à la forme, un pinnipède aux nageoires repliées ressemble plus à un nageur ou à un surfeur sur sa shortboard qu’à un pinnipède aux nageoires déployées. « Les longboards ressemblent moins à une otarie », selon Me Ryan, qui remarque pour autant qu’il « y a eu des incidents de morsures sur des longboards ».

Les chercheurs vont maintenant essayer de déterminer si un « changement des signaux visuels de proies potentielles serait une technique efficace de protection contre les requins blancs », poursuit la scientifique.

Avec pour impératif des solutions qui « empêchent non seulement les morsures de requins, mais qui ne mettent pas en danger d’autres espèces marines ».

Les requins s’en prenant à des surfeurs ou des baigneurs ont une vue si mauvaise que des scientifiques en ont conclu qu’ils les confondaient probablement avec leurs proies habituelles, les pinnipèdes tels que les otaries, selon une étude mercredi.

« Du point de vue d’un requin blanc, ni le mouvement ni la forme ne permettent une distinction visuelle sans équivoque entre les pinnipèdes et les humains », écrivent les auteurs de l’article paru dans Interface, une revue de la Royal Society. Ils en concluent que leurs travaux « soutiennent la théorie de l’erreur d’identification pour expliquer certaines morsures ».

« C’est la première étude à tester cette théorie du point de vue visuel d’un requin blanc », explique à l’AFP sa principale auteure, Laura Ryan, chercheuse au département de sciences biologiques de l’Université australienne Macquarie.

Les attaques de requins restent rares (moins de soixante dans le monde en 2020), selon un département spécialisé de l’Université de Floride. Mais elles entretiennent, selon l’étude, un climat de peur « disproportionné », associé à l’ignorance sur les motivations de l’animal, notamment quand l’attaque n’est pas provoquée. Avec parfois pour conséquence des campagnes de chasse qui nuisent aussi à d’autres espèces.

Le plus souvent incriminés, les requins blanc, tigre et bouledogue, s’en prennent en majorité à des surfeurs.

Si le requin blanc est réputé détecter des sons et odeurs à grande distance, de près on suppose qu’il fait surtout confiance à sa vue pour repérer et viser une proie.

– Insensible à la couleur –

Or le système visuel du requin est quasiment insensible à la couleur et a une très mauvaise capacité à distinguer les détails d’une forme. Son pouvoir de résolution, jusqu’à six fois inférieur à celui d’un humain, est encore plus faible chez les jeunes requins blancs, qui représentent le plus grand risque de morsures fatales pour les surfeurs, selon l’étude.

Pour tester la théorie de l’erreur d’identification, l’équipe de Macquarie a effectué des « vidéos prises du point de vue du requin, et les a traitées avec un programme de façon à mimer le système visuel du requin », et particulièrement sa capacité à distinguer une forme et son mouvement, explique la scientifique.

Pour cela, ils ont enregistré depuis le fond d’un bassin les images et vidéos d’un lion de mer et d’une otarie à fourrure, un mets de choix pour le squale, qui passeraient près de la surface, à quelques mètres au-dessus d’un requin. Ils ont ensuite comparé leurs signaux à ceux de nageurs et de surfeurs pagayant avec leurs bras, et avec ou sans battements de jambes, sur les trois grands types de planches de surf (longboard, shortboard et hybride).

Du point de vue d’un jeune requin blanc, les signaux de mouvement d’un nageur comme ceux d’un surfeur pagayant sur sa planche sont quasiment impossibles à distinguer de ceux d’un pinnipède, selon l’étude.

A fortiori dans l’eau de mer, où la visibilité serait moindre que dans le bassin utilisé pour l’expérience.

Quant à la forme, un pinnipède aux nageoires repliées ressemble plus à un nageur ou à un surfeur sur sa shortboard qu’à un pinnipède aux nageoires déployées. « Les longboards ressemblent moins à une otarie », selon Me Ryan, qui remarque pour autant qu’il « y a eu des incidents de morsures sur des longboards ».

Les chercheurs vont maintenant essayer de déterminer si un « changement des signaux visuels de proies potentielles serait une technique efficace de protection contre les requins blancs », poursuit la scientifique.

Avec pour impératif des solutions qui « empêchent non seulement les morsures de requins, mais qui ne mettent pas en danger d’autres espèces marines ».

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« Du point de vue d’un requin blanc, ni le mouvement ni la forme ne permettent une distinction visuelle sans équivoque entre les pinnipèdes et les humains », écrivent les auteurs de l’article paru dans Interface, une revue de la Royal Society. Ils en concluent que leurs travaux « soutiennent la théorie de l’erreur d’identification pour expliquer certaines morsures ».

« C’est la première étude à tester cette théorie du point de vue visuel d’un requin blanc », explique à l’AFP sa principale auteure, Laura Ryan, chercheuse au département de sciences biologiques de l’Université australienne Macquarie.

Les attaques de requins restent rares (moins de soixante dans le monde en 2020), selon un département spécialisé de l’Université de Floride. Mais elles entretiennent, selon l’étude, un climat de peur « disproportionné », associé à l’ignorance sur les motivations de l’animal, notamment quand l’attaque n’est pas provoquée. Avec parfois pour conséquence des campagnes de chasse qui nuisent aussi à d’autres espèces.

Le plus souvent incriminés, les requins blanc, tigre et bouledogue, s’en prennent en majorité à des surfeurs.

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– Insensible à la couleur –

Or le système visuel du requin est quasiment insensible à la couleur et a une très mauvaise capacité à distinguer les détails d’une forme. Son pouvoir de résolution, jusqu’à six fois inférieur à celui d’un humain, est encore plus faible chez les jeunes requins blancs, qui représentent le plus grand risque de morsures fatales pour les surfeurs, selon l’étude.

Pour tester la théorie de l’erreur d’identification, l’équipe de Macquarie a effectué des « vidéos prises du point de vue du requin, et les a traitées avec un programme de façon à mimer le système visuel du requin », et particulièrement sa capacité à distinguer une forme et son mouvement, explique la scientifique.

Pour cela, ils ont enregistré depuis le fond d’un bassin les images et vidéos d’un lion de mer et d’une otarie à fourrure, un mets de choix pour le squale, qui passeraient près de la surface, à quelques mètres au-dessus d’un requin. Ils ont ensuite comparé leurs signaux à ceux de nageurs et de surfeurs pagayant avec leurs bras, et avec ou sans battements de jambes, sur les trois grands types de planches de surf (longboard, shortboard et hybride).

Du point de vue d’un jeune requin blanc, les signaux de mouvement d’un nageur comme ceux d’un surfeur pagayant sur sa planche sont quasiment impossibles à distinguer de ceux d’un pinnipède, selon l’étude.

A fortiori dans l’eau de mer, où la visibilité serait moindre que dans le bassin utilisé pour l’expérience.

Quant à la forme, un pinnipède aux nageoires repliées ressemble plus à un nageur ou à un surfeur sur sa shortboard qu’à un pinnipède aux nageoires déployées. « Les longboards ressemblent moins à une otarie », selon Me Ryan, qui remarque pour autant qu’il « y a eu des incidents de morsures sur des longboards ».

Les chercheurs vont maintenant essayer de déterminer si un « changement des signaux visuels de proies potentielles serait une technique efficace de protection contre les requins blancs », poursuit la scientifique.

Avec pour impératif des solutions qui « empêchent non seulement les morsures de requins, mais qui ne mettent pas en danger d’autres espèces marines ».

Les requins s’en prenant à des surfeurs ou des baigneurs ont une vue si mauvaise que des scientifiques en ont conclu qu’ils les confondaient probablement avec leurs proies habituelles, les pinnipèdes tels que les otaries, selon une étude mercredi.

« Du point de vue d’un requin blanc, ni le mouvement ni la forme ne permettent une distinction visuelle sans équivoque entre les pinnipèdes et les humains », écrivent les auteurs de l’article paru dans Interface, une revue de la Royal Society. Ils en concluent que leurs travaux « soutiennent la théorie de l’erreur d’identification pour expliquer certaines morsures ».

« C’est la première étude à tester cette théorie du point de vue visuel d’un requin blanc », explique à l’AFP sa principale auteure, Laura Ryan, chercheuse au département de sciences biologiques de l’Université australienne Macquarie.

Les attaques de requins restent rares (moins de soixante dans le monde en 2020), selon un département spécialisé de l’Université de Floride. Mais elles entretiennent, selon l’étude, un climat de peur « disproportionné », associé à l’ignorance sur les motivations de l’animal, notamment quand l’attaque n’est pas provoquée. Avec parfois pour conséquence des campagnes de chasse qui nuisent aussi à d’autres espèces.

Le plus souvent incriminés, les requins blanc, tigre et bouledogue, s’en prennent en majorité à des surfeurs.

Si le requin blanc est réputé détecter des sons et odeurs à grande distance, de près on suppose qu’il fait surtout confiance à sa vue pour repérer et viser une proie.

– Insensible à la couleur –

Or le système visuel du requin est quasiment insensible à la couleur et a une très mauvaise capacité à distinguer les détails d’une forme. Son pouvoir de résolution, jusqu’à six fois inférieur à celui d’un humain, est encore plus faible chez les jeunes requins blancs, qui représentent le plus grand risque de morsures fatales pour les surfeurs, selon l’étude.

Pour tester la théorie de l’erreur d’identification, l’équipe de Macquarie a effectué des « vidéos prises du point de vue du requin, et les a traitées avec un programme de façon à mimer le système visuel du requin », et particulièrement sa capacité à distinguer une forme et son mouvement, explique la scientifique.

Pour cela, ils ont enregistré depuis le fond d’un bassin les images et vidéos d’un lion de mer et d’une otarie à fourrure, un mets de choix pour le squale, qui passeraient près de la surface, à quelques mètres au-dessus d’un requin. Ils ont ensuite comparé leurs signaux à ceux de nageurs et de surfeurs pagayant avec leurs bras, et avec ou sans battements de jambes, sur les trois grands types de planches de surf (longboard, shortboard et hybride).

Du point de vue d’un jeune requin blanc, les signaux de mouvement d’un nageur comme ceux d’un surfeur pagayant sur sa planche sont quasiment impossibles à distinguer de ceux d’un pinnipède, selon l’étude.

A fortiori dans l’eau de mer, où la visibilité serait moindre que dans le bassin utilisé pour l’expérience.

Quant à la forme, un pinnipède aux nageoires repliées ressemble plus à un nageur ou à un surfeur sur sa shortboard qu’à un pinnipède aux nageoires déployées. « Les longboards ressemblent moins à une otarie », selon Me Ryan, qui remarque pour autant qu’il « y a eu des incidents de morsures sur des longboards ».

Les chercheurs vont maintenant essayer de déterminer si un « changement des signaux visuels de proies potentielles serait une technique efficace de protection contre les requins blancs », poursuit la scientifique.

Avec pour impératif des solutions qui « empêchent non seulement les morsures de requins, mais qui ne mettent pas en danger d’autres espèces marines ».

Les requins s’en prenant à des surfeurs ou des baigneurs ont une vue si mauvaise que des scientifiques en ont conclu qu’ils les confondaient probablement avec leurs proies habituelles, les pinnipèdes tels que les otaries, selon une étude mercredi.

« Du point de vue d’un requin blanc, ni le mouvement ni la forme ne permettent une distinction visuelle sans équivoque entre les pinnipèdes et les humains », écrivent les auteurs de l’article paru dans Interface, une revue de la Royal Society. Ils en concluent que leurs travaux « soutiennent la théorie de l’erreur d’identification pour expliquer certaines morsures ».

« C’est la première étude à tester cette théorie du point de vue visuel d’un requin blanc », explique à l’AFP sa principale auteure, Laura Ryan, chercheuse au département de sciences biologiques de l’Université australienne Macquarie.

Les attaques de requins restent rares (moins de soixante dans le monde en 2020), selon un département spécialisé de l’Université de Floride. Mais elles entretiennent, selon l’étude, un climat de peur « disproportionné », associé à l’ignorance sur les motivations de l’animal, notamment quand l’attaque n’est pas provoquée. Avec parfois pour conséquence des campagnes de chasse qui nuisent aussi à d’autres espèces.

Le plus souvent incriminés, les requins blanc, tigre et bouledogue, s’en prennent en majorité à des surfeurs.

Si le requin blanc est réputé détecter des sons et odeurs à grande distance, de près on suppose qu’il fait surtout confiance à sa vue pour repérer et viser une proie.

– Insensible à la couleur –

Or le système visuel du requin est quasiment insensible à la couleur et a une très mauvaise capacité à distinguer les détails d’une forme. Son pouvoir de résolution, jusqu’à six fois inférieur à celui d’un humain, est encore plus faible chez les jeunes requins blancs, qui représentent le plus grand risque de morsures fatales pour les surfeurs, selon l’étude.

Pour tester la théorie de l’erreur d’identification, l’équipe de Macquarie a effectué des « vidéos prises du point de vue du requin, et les a traitées avec un programme de façon à mimer le système visuel du requin », et particulièrement sa capacité à distinguer une forme et son mouvement, explique la scientifique.

Pour cela, ils ont enregistré depuis le fond d’un bassin les images et vidéos d’un lion de mer et d’une otarie à fourrure, un mets de choix pour le squale, qui passeraient près de la surface, à quelques mètres au-dessus d’un requin. Ils ont ensuite comparé leurs signaux à ceux de nageurs et de surfeurs pagayant avec leurs bras, et avec ou sans battements de jambes, sur les trois grands types de planches de surf (longboard, shortboard et hybride).

Du point de vue d’un jeune requin blanc, les signaux de mouvement d’un nageur comme ceux d’un surfeur pagayant sur sa planche sont quasiment impossibles à distinguer de ceux d’un pinnipède, selon l’étude.

A fortiori dans l’eau de mer, où la visibilité serait moindre que dans le bassin utilisé pour l’expérience.

Quant à la forme, un pinnipède aux nageoires repliées ressemble plus à un nageur ou à un surfeur sur sa shortboard qu’à un pinnipède aux nageoires déployées. « Les longboards ressemblent moins à une otarie », selon Me Ryan, qui remarque pour autant qu’il « y a eu des incidents de morsures sur des longboards ».

Les chercheurs vont maintenant essayer de déterminer si un « changement des signaux visuels de proies potentielles serait une technique efficace de protection contre les requins blancs », poursuit la scientifique.

Avec pour impératif des solutions qui « empêchent non seulement les morsures de requins, mais qui ne mettent pas en danger d’autres espèces marines ».

Les requins s’en prenant à des surfeurs ou des baigneurs ont une vue si mauvaise que des scientifiques en ont conclu qu’ils les confondaient probablement avec leurs proies habituelles, les pinnipèdes tels que les otaries, selon une étude mercredi.

« Du point de vue d’un requin blanc, ni le mouvement ni la forme ne permettent une distinction visuelle sans équivoque entre les pinnipèdes et les humains », écrivent les auteurs de l’article paru dans Interface, une revue de la Royal Society. Ils en concluent que leurs travaux « soutiennent la théorie de l’erreur d’identification pour expliquer certaines morsures ».

« C’est la première étude à tester cette théorie du point de vue visuel d’un requin blanc », explique à l’AFP sa principale auteure, Laura Ryan, chercheuse au département de sciences biologiques de l’Université australienne Macquarie.

Les attaques de requins restent rares (moins de soixante dans le monde en 2020), selon un département spécialisé de l’Université de Floride. Mais elles entretiennent, selon l’étude, un climat de peur « disproportionné », associé à l’ignorance sur les motivations de l’animal, notamment quand l’attaque n’est pas provoquée. Avec parfois pour conséquence des campagnes de chasse qui nuisent aussi à d’autres espèces.

Le plus souvent incriminés, les requins blanc, tigre et bouledogue, s’en prennent en majorité à des surfeurs.

Si le requin blanc est réputé détecter des sons et odeurs à grande distance, de près on suppose qu’il fait surtout confiance à sa vue pour repérer et viser une proie.

– Insensible à la couleur –

Or le système visuel du requin est quasiment insensible à la couleur et a une très mauvaise capacité à distinguer les détails d’une forme. Son pouvoir de résolution, jusqu’à six fois inférieur à celui d’un humain, est encore plus faible chez les jeunes requins blancs, qui représentent le plus grand risque de morsures fatales pour les surfeurs, selon l’étude.

Pour tester la théorie de l’erreur d’identification, l’équipe de Macquarie a effectué des « vidéos prises du point de vue du requin, et les a traitées avec un programme de façon à mimer le système visuel du requin », et particulièrement sa capacité à distinguer une forme et son mouvement, explique la scientifique.

Pour cela, ils ont enregistré depuis le fond d’un bassin les images et vidéos d’un lion de mer et d’une otarie à fourrure, un mets de choix pour le squale, qui passeraient près de la surface, à quelques mètres au-dessus d’un requin. Ils ont ensuite comparé leurs signaux à ceux de nageurs et de surfeurs pagayant avec leurs bras, et avec ou sans battements de jambes, sur les trois grands types de planches de surf (longboard, shortboard et hybride).

Du point de vue d’un jeune requin blanc, les signaux de mouvement d’un nageur comme ceux d’un surfeur pagayant sur sa planche sont quasiment impossibles à distinguer de ceux d’un pinnipède, selon l’étude.

A fortiori dans l’eau de mer, où la visibilité serait moindre que dans le bassin utilisé pour l’expérience.

Quant à la forme, un pinnipède aux nageoires repliées ressemble plus à un nageur ou à un surfeur sur sa shortboard qu’à un pinnipède aux nageoires déployées. « Les longboards ressemblent moins à une otarie », selon Me Ryan, qui remarque pour autant qu’il « y a eu des incidents de morsures sur des longboards ».

Les chercheurs vont maintenant essayer de déterminer si un « changement des signaux visuels de proies potentielles serait une technique efficace de protection contre les requins blancs », poursuit la scientifique.

Avec pour impératif des solutions qui « empêchent non seulement les morsures de requins, mais qui ne mettent pas en danger d’autres espèces marines ».

Tags: requin
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