La Commission de gestion du Conseil national a décidé d’examiner « la légalité et l’opportunité de certains aspects de la procédure d’évaluation suivie pour le choix du nouvel avion de combat de l’armée suisse », précise le communiqué, ajoutant que sa sous-commission compétente entamera ses travaux en février 2022 et communiquera les résultats « en temps voulu ».
« Nous sommes favorables à un tel examen par le Parlement, auquel nous ne manquerons pas de prêter notre appui », a tweeté le Département fédéral de la défense.
La Suisse veut acquérir 36 F-35A pour environ 5 milliards de francs (4,75 milliards d’euros), une enveloppe autorisée de justesse lors d’un vote populaire.
Le choix du Conseil fédéral annoncé le 30 juin avait surpris par sa netteté: le F-35 est plus efficace et surtout moins cher, un point à rebrousse poil des critiques formulées depuis de nombreuses années en particulier par l’équivalent américain de la Cour de comptes, le GAO.
La ministre suisse de la Défense Viola Amherd avait alors souligné qu’au regard de la différence de coût, le Conseil fédéral n’avait pas réellement d’autre choix.
Outre le F-35A , qui est la version déjà en service dans l’armée de l’air américaine et de plusieurs pays européens, étaient également en lice le Rafale du français Dassault, le F/A 18 Super Hornet de Boeing et l’Eurofighter Typhoon du groupe européen Airbus.
La sous-commission doit se pencher particulièrement sur la méthode appliquée pour évaluer les avions en lice, la marge de manœuvre face au pays du fabricant et le respect des principes du droits des marchés publics.
Une autre épée de Damoclès menace le choix de l’appareil. Une coalition de gauche et d’un groupe antimilitariste ont lancé une pétition pour exiger un référendum sur le choix et semble en mesure de rassembler les 100.000 signatures nécessaires. Elle a 18 mois pour ce faire.
Hasard du calendrier, le directeur général de l’armement suisse, Martin Sonderegger, se rendra en Norvège le 17 novembre pour profiter de l’expérience d’Oslo concernant l’acquisition et l’exploitation de ses F-35, selon un communiqué d’Armasuisse (l’Office fédéral de l’armement) publié mardi.
Avion furtif dit de cinquième génération, le F-35 est produit par le numéro un mondial de l’armement, Lockheed Martin, et ses moteurs par un autre américain, Pratt et Whitney.
Polyvalent, l’appareil est présenté comme une merveille technologique, dont la mise au point a souffert de sa complexité, notamment pour la conception des programmes informatiques et l’intégration des différents systèmes.
La Commission de gestion du Conseil national a décidé d’examiner « la légalité et l’opportunité de certains aspects de la procédure d’évaluation suivie pour le choix du nouvel avion de combat de l’armée suisse », précise le communiqué, ajoutant que sa sous-commission compétente entamera ses travaux en février 2022 et communiquera les résultats « en temps voulu ».
« Nous sommes favorables à un tel examen par le Parlement, auquel nous ne manquerons pas de prêter notre appui », a tweeté le Département fédéral de la défense.
La Suisse veut acquérir 36 F-35A pour environ 5 milliards de francs (4,75 milliards d’euros), une enveloppe autorisée de justesse lors d’un vote populaire.
Le choix du Conseil fédéral annoncé le 30 juin avait surpris par sa netteté: le F-35 est plus efficace et surtout moins cher, un point à rebrousse poil des critiques formulées depuis de nombreuses années en particulier par l’équivalent américain de la Cour de comptes, le GAO.
La ministre suisse de la Défense Viola Amherd avait alors souligné qu’au regard de la différence de coût, le Conseil fédéral n’avait pas réellement d’autre choix.
Outre le F-35A , qui est la version déjà en service dans l’armée de l’air américaine et de plusieurs pays européens, étaient également en lice le Rafale du français Dassault, le F/A 18 Super Hornet de Boeing et l’Eurofighter Typhoon du groupe européen Airbus.
La sous-commission doit se pencher particulièrement sur la méthode appliquée pour évaluer les avions en lice, la marge de manœuvre face au pays du fabricant et le respect des principes du droits des marchés publics.
Une autre épée de Damoclès menace le choix de l’appareil. Une coalition de gauche et d’un groupe antimilitariste ont lancé une pétition pour exiger un référendum sur le choix et semble en mesure de rassembler les 100.000 signatures nécessaires. Elle a 18 mois pour ce faire.
Hasard du calendrier, le directeur général de l’armement suisse, Martin Sonderegger, se rendra en Norvège le 17 novembre pour profiter de l’expérience d’Oslo concernant l’acquisition et l’exploitation de ses F-35, selon un communiqué d’Armasuisse (l’Office fédéral de l’armement) publié mardi.
Avion furtif dit de cinquième génération, le F-35 est produit par le numéro un mondial de l’armement, Lockheed Martin, et ses moteurs par un autre américain, Pratt et Whitney.
Polyvalent, l’appareil est présenté comme une merveille technologique, dont la mise au point a souffert de sa complexité, notamment pour la conception des programmes informatiques et l’intégration des différents systèmes.
La Commission de gestion du Conseil national a décidé d’examiner « la légalité et l’opportunité de certains aspects de la procédure d’évaluation suivie pour le choix du nouvel avion de combat de l’armée suisse », précise le communiqué, ajoutant que sa sous-commission compétente entamera ses travaux en février 2022 et communiquera les résultats « en temps voulu ».
« Nous sommes favorables à un tel examen par le Parlement, auquel nous ne manquerons pas de prêter notre appui », a tweeté le Département fédéral de la défense.
La Suisse veut acquérir 36 F-35A pour environ 5 milliards de francs (4,75 milliards d’euros), une enveloppe autorisée de justesse lors d’un vote populaire.
Le choix du Conseil fédéral annoncé le 30 juin avait surpris par sa netteté: le F-35 est plus efficace et surtout moins cher, un point à rebrousse poil des critiques formulées depuis de nombreuses années en particulier par l’équivalent américain de la Cour de comptes, le GAO.
La ministre suisse de la Défense Viola Amherd avait alors souligné qu’au regard de la différence de coût, le Conseil fédéral n’avait pas réellement d’autre choix.
Outre le F-35A , qui est la version déjà en service dans l’armée de l’air américaine et de plusieurs pays européens, étaient également en lice le Rafale du français Dassault, le F/A 18 Super Hornet de Boeing et l’Eurofighter Typhoon du groupe européen Airbus.
La sous-commission doit se pencher particulièrement sur la méthode appliquée pour évaluer les avions en lice, la marge de manœuvre face au pays du fabricant et le respect des principes du droits des marchés publics.
Une autre épée de Damoclès menace le choix de l’appareil. Une coalition de gauche et d’un groupe antimilitariste ont lancé une pétition pour exiger un référendum sur le choix et semble en mesure de rassembler les 100.000 signatures nécessaires. Elle a 18 mois pour ce faire.
Hasard du calendrier, le directeur général de l’armement suisse, Martin Sonderegger, se rendra en Norvège le 17 novembre pour profiter de l’expérience d’Oslo concernant l’acquisition et l’exploitation de ses F-35, selon un communiqué d’Armasuisse (l’Office fédéral de l’armement) publié mardi.
Avion furtif dit de cinquième génération, le F-35 est produit par le numéro un mondial de l’armement, Lockheed Martin, et ses moteurs par un autre américain, Pratt et Whitney.
Polyvalent, l’appareil est présenté comme une merveille technologique, dont la mise au point a souffert de sa complexité, notamment pour la conception des programmes informatiques et l’intégration des différents systèmes.
La Commission de gestion du Conseil national a décidé d’examiner « la légalité et l’opportunité de certains aspects de la procédure d’évaluation suivie pour le choix du nouvel avion de combat de l’armée suisse », précise le communiqué, ajoutant que sa sous-commission compétente entamera ses travaux en février 2022 et communiquera les résultats « en temps voulu ».
« Nous sommes favorables à un tel examen par le Parlement, auquel nous ne manquerons pas de prêter notre appui », a tweeté le Département fédéral de la défense.
La Suisse veut acquérir 36 F-35A pour environ 5 milliards de francs (4,75 milliards d’euros), une enveloppe autorisée de justesse lors d’un vote populaire.
Le choix du Conseil fédéral annoncé le 30 juin avait surpris par sa netteté: le F-35 est plus efficace et surtout moins cher, un point à rebrousse poil des critiques formulées depuis de nombreuses années en particulier par l’équivalent américain de la Cour de comptes, le GAO.
La ministre suisse de la Défense Viola Amherd avait alors souligné qu’au regard de la différence de coût, le Conseil fédéral n’avait pas réellement d’autre choix.
Outre le F-35A , qui est la version déjà en service dans l’armée de l’air américaine et de plusieurs pays européens, étaient également en lice le Rafale du français Dassault, le F/A 18 Super Hornet de Boeing et l’Eurofighter Typhoon du groupe européen Airbus.
La sous-commission doit se pencher particulièrement sur la méthode appliquée pour évaluer les avions en lice, la marge de manœuvre face au pays du fabricant et le respect des principes du droits des marchés publics.
Une autre épée de Damoclès menace le choix de l’appareil. Une coalition de gauche et d’un groupe antimilitariste ont lancé une pétition pour exiger un référendum sur le choix et semble en mesure de rassembler les 100.000 signatures nécessaires. Elle a 18 mois pour ce faire.
Hasard du calendrier, le directeur général de l’armement suisse, Martin Sonderegger, se rendra en Norvège le 17 novembre pour profiter de l’expérience d’Oslo concernant l’acquisition et l’exploitation de ses F-35, selon un communiqué d’Armasuisse (l’Office fédéral de l’armement) publié mardi.
Avion furtif dit de cinquième génération, le F-35 est produit par le numéro un mondial de l’armement, Lockheed Martin, et ses moteurs par un autre américain, Pratt et Whitney.
Polyvalent, l’appareil est présenté comme une merveille technologique, dont la mise au point a souffert de sa complexité, notamment pour la conception des programmes informatiques et l’intégration des différents systèmes.
La Commission de gestion du Conseil national a décidé d’examiner « la légalité et l’opportunité de certains aspects de la procédure d’évaluation suivie pour le choix du nouvel avion de combat de l’armée suisse », précise le communiqué, ajoutant que sa sous-commission compétente entamera ses travaux en février 2022 et communiquera les résultats « en temps voulu ».
« Nous sommes favorables à un tel examen par le Parlement, auquel nous ne manquerons pas de prêter notre appui », a tweeté le Département fédéral de la défense.
La Suisse veut acquérir 36 F-35A pour environ 5 milliards de francs (4,75 milliards d’euros), une enveloppe autorisée de justesse lors d’un vote populaire.
Le choix du Conseil fédéral annoncé le 30 juin avait surpris par sa netteté: le F-35 est plus efficace et surtout moins cher, un point à rebrousse poil des critiques formulées depuis de nombreuses années en particulier par l’équivalent américain de la Cour de comptes, le GAO.
La ministre suisse de la Défense Viola Amherd avait alors souligné qu’au regard de la différence de coût, le Conseil fédéral n’avait pas réellement d’autre choix.
Outre le F-35A , qui est la version déjà en service dans l’armée de l’air américaine et de plusieurs pays européens, étaient également en lice le Rafale du français Dassault, le F/A 18 Super Hornet de Boeing et l’Eurofighter Typhoon du groupe européen Airbus.
La sous-commission doit se pencher particulièrement sur la méthode appliquée pour évaluer les avions en lice, la marge de manœuvre face au pays du fabricant et le respect des principes du droits des marchés publics.
Une autre épée de Damoclès menace le choix de l’appareil. Une coalition de gauche et d’un groupe antimilitariste ont lancé une pétition pour exiger un référendum sur le choix et semble en mesure de rassembler les 100.000 signatures nécessaires. Elle a 18 mois pour ce faire.
Hasard du calendrier, le directeur général de l’armement suisse, Martin Sonderegger, se rendra en Norvège le 17 novembre pour profiter de l’expérience d’Oslo concernant l’acquisition et l’exploitation de ses F-35, selon un communiqué d’Armasuisse (l’Office fédéral de l’armement) publié mardi.
Avion furtif dit de cinquième génération, le F-35 est produit par le numéro un mondial de l’armement, Lockheed Martin, et ses moteurs par un autre américain, Pratt et Whitney.
Polyvalent, l’appareil est présenté comme une merveille technologique, dont la mise au point a souffert de sa complexité, notamment pour la conception des programmes informatiques et l’intégration des différents systèmes.
La Commission de gestion du Conseil national a décidé d’examiner « la légalité et l’opportunité de certains aspects de la procédure d’évaluation suivie pour le choix du nouvel avion de combat de l’armée suisse », précise le communiqué, ajoutant que sa sous-commission compétente entamera ses travaux en février 2022 et communiquera les résultats « en temps voulu ».
« Nous sommes favorables à un tel examen par le Parlement, auquel nous ne manquerons pas de prêter notre appui », a tweeté le Département fédéral de la défense.
La Suisse veut acquérir 36 F-35A pour environ 5 milliards de francs (4,75 milliards d’euros), une enveloppe autorisée de justesse lors d’un vote populaire.
Le choix du Conseil fédéral annoncé le 30 juin avait surpris par sa netteté: le F-35 est plus efficace et surtout moins cher, un point à rebrousse poil des critiques formulées depuis de nombreuses années en particulier par l’équivalent américain de la Cour de comptes, le GAO.
La ministre suisse de la Défense Viola Amherd avait alors souligné qu’au regard de la différence de coût, le Conseil fédéral n’avait pas réellement d’autre choix.
Outre le F-35A , qui est la version déjà en service dans l’armée de l’air américaine et de plusieurs pays européens, étaient également en lice le Rafale du français Dassault, le F/A 18 Super Hornet de Boeing et l’Eurofighter Typhoon du groupe européen Airbus.
La sous-commission doit se pencher particulièrement sur la méthode appliquée pour évaluer les avions en lice, la marge de manœuvre face au pays du fabricant et le respect des principes du droits des marchés publics.
Une autre épée de Damoclès menace le choix de l’appareil. Une coalition de gauche et d’un groupe antimilitariste ont lancé une pétition pour exiger un référendum sur le choix et semble en mesure de rassembler les 100.000 signatures nécessaires. Elle a 18 mois pour ce faire.
Hasard du calendrier, le directeur général de l’armement suisse, Martin Sonderegger, se rendra en Norvège le 17 novembre pour profiter de l’expérience d’Oslo concernant l’acquisition et l’exploitation de ses F-35, selon un communiqué d’Armasuisse (l’Office fédéral de l’armement) publié mardi.
Avion furtif dit de cinquième génération, le F-35 est produit par le numéro un mondial de l’armement, Lockheed Martin, et ses moteurs par un autre américain, Pratt et Whitney.
Polyvalent, l’appareil est présenté comme une merveille technologique, dont la mise au point a souffert de sa complexité, notamment pour la conception des programmes informatiques et l’intégration des différents systèmes.
La Commission de gestion du Conseil national a décidé d’examiner « la légalité et l’opportunité de certains aspects de la procédure d’évaluation suivie pour le choix du nouvel avion de combat de l’armée suisse », précise le communiqué, ajoutant que sa sous-commission compétente entamera ses travaux en février 2022 et communiquera les résultats « en temps voulu ».
« Nous sommes favorables à un tel examen par le Parlement, auquel nous ne manquerons pas de prêter notre appui », a tweeté le Département fédéral de la défense.
La Suisse veut acquérir 36 F-35A pour environ 5 milliards de francs (4,75 milliards d’euros), une enveloppe autorisée de justesse lors d’un vote populaire.
Le choix du Conseil fédéral annoncé le 30 juin avait surpris par sa netteté: le F-35 est plus efficace et surtout moins cher, un point à rebrousse poil des critiques formulées depuis de nombreuses années en particulier par l’équivalent américain de la Cour de comptes, le GAO.
La ministre suisse de la Défense Viola Amherd avait alors souligné qu’au regard de la différence de coût, le Conseil fédéral n’avait pas réellement d’autre choix.
Outre le F-35A , qui est la version déjà en service dans l’armée de l’air américaine et de plusieurs pays européens, étaient également en lice le Rafale du français Dassault, le F/A 18 Super Hornet de Boeing et l’Eurofighter Typhoon du groupe européen Airbus.
La sous-commission doit se pencher particulièrement sur la méthode appliquée pour évaluer les avions en lice, la marge de manœuvre face au pays du fabricant et le respect des principes du droits des marchés publics.
Une autre épée de Damoclès menace le choix de l’appareil. Une coalition de gauche et d’un groupe antimilitariste ont lancé une pétition pour exiger un référendum sur le choix et semble en mesure de rassembler les 100.000 signatures nécessaires. Elle a 18 mois pour ce faire.
Hasard du calendrier, le directeur général de l’armement suisse, Martin Sonderegger, se rendra en Norvège le 17 novembre pour profiter de l’expérience d’Oslo concernant l’acquisition et l’exploitation de ses F-35, selon un communiqué d’Armasuisse (l’Office fédéral de l’armement) publié mardi.
Avion furtif dit de cinquième génération, le F-35 est produit par le numéro un mondial de l’armement, Lockheed Martin, et ses moteurs par un autre américain, Pratt et Whitney.
Polyvalent, l’appareil est présenté comme une merveille technologique, dont la mise au point a souffert de sa complexité, notamment pour la conception des programmes informatiques et l’intégration des différents systèmes.
La Commission de gestion du Conseil national a décidé d’examiner « la légalité et l’opportunité de certains aspects de la procédure d’évaluation suivie pour le choix du nouvel avion de combat de l’armée suisse », précise le communiqué, ajoutant que sa sous-commission compétente entamera ses travaux en février 2022 et communiquera les résultats « en temps voulu ».
« Nous sommes favorables à un tel examen par le Parlement, auquel nous ne manquerons pas de prêter notre appui », a tweeté le Département fédéral de la défense.
La Suisse veut acquérir 36 F-35A pour environ 5 milliards de francs (4,75 milliards d’euros), une enveloppe autorisée de justesse lors d’un vote populaire.
Le choix du Conseil fédéral annoncé le 30 juin avait surpris par sa netteté: le F-35 est plus efficace et surtout moins cher, un point à rebrousse poil des critiques formulées depuis de nombreuses années en particulier par l’équivalent américain de la Cour de comptes, le GAO.
La ministre suisse de la Défense Viola Amherd avait alors souligné qu’au regard de la différence de coût, le Conseil fédéral n’avait pas réellement d’autre choix.
Outre le F-35A , qui est la version déjà en service dans l’armée de l’air américaine et de plusieurs pays européens, étaient également en lice le Rafale du français Dassault, le F/A 18 Super Hornet de Boeing et l’Eurofighter Typhoon du groupe européen Airbus.
La sous-commission doit se pencher particulièrement sur la méthode appliquée pour évaluer les avions en lice, la marge de manœuvre face au pays du fabricant et le respect des principes du droits des marchés publics.
Une autre épée de Damoclès menace le choix de l’appareil. Une coalition de gauche et d’un groupe antimilitariste ont lancé une pétition pour exiger un référendum sur le choix et semble en mesure de rassembler les 100.000 signatures nécessaires. Elle a 18 mois pour ce faire.
Hasard du calendrier, le directeur général de l’armement suisse, Martin Sonderegger, se rendra en Norvège le 17 novembre pour profiter de l’expérience d’Oslo concernant l’acquisition et l’exploitation de ses F-35, selon un communiqué d’Armasuisse (l’Office fédéral de l’armement) publié mardi.
Avion furtif dit de cinquième génération, le F-35 est produit par le numéro un mondial de l’armement, Lockheed Martin, et ses moteurs par un autre américain, Pratt et Whitney.
Polyvalent, l’appareil est présenté comme une merveille technologique, dont la mise au point a souffert de sa complexité, notamment pour la conception des programmes informatiques et l’intégration des différents systèmes.
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