Les dirigeants du G20 se sont entendus dimanche sur un objectif de limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré au-dessus des niveaux pré-industriels, selon le projet de communiqué final, consulté par l’AFP.
L’objectif de l’Accord de Paris est de maintenir le réchauffement « bien en-deçà » de +2°C, si possible à +1,5°C, par rapport à l’ère pré-industrielle, un plafond qui est de facto devenu l’objectif prioritaire depuis.
L’enjeu principal est de savoir quels moyens concrets les pays engagent pour respecter cet objectif, ce qu’ils sont souvent réticents à indiquer, déplorent les ONG.
Car selon la dernière évaluation de l’ONU qui prend en compte les nouveaux engagements d’une majorité des pays signataires, le monde se dirige toujours vers un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C. Ou au mieux +2,2°C si on prend en compte les promesses souvent « vagues » de neutralité carbone pour le milieu du siècle.
« Le milieu du siècle » est précisément la formulation retenue par le G20 dans le document final. Un horizon moins précis que la date de 2050 voulue notamment par la présidence italienne du G20, « mais tout à fait significatif, considérant la diversité des pays qui participent au G20″, selon la présidence française.
L’Accord de Paris évoque l’objectif d' »équilibre » entre émissions et absorption des gaz à effet de serre « au cours de la deuxième moitié du siècle ».
Sous la pression de l’ONU, de plus en plus de pays s’engagent pour cette neutralité carbone, la plupart pour 2050, quelques-uns pour 2060 ou 2045: La Chine et la Russie, par exemple, se sont fixé 2060, l’Australie et la France 2050.
En excluant les simples promesses, 49 pays représentant 57% des émissions mondiales, dont l’ensemble des membres de l’UE et les Etats-Unis, ont pris cet engagement de façon formelle, selon le dernier rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement.
Les dirigeants du G20 se sont entendus dimanche sur un objectif de limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré au-dessus des niveaux pré-industriels, selon le projet de communiqué final, consulté par l’AFP.
L’objectif de l’Accord de Paris est de maintenir le réchauffement « bien en-deçà » de +2°C, si possible à +1,5°C, par rapport à l’ère pré-industrielle, un plafond qui est de facto devenu l’objectif prioritaire depuis.
L’enjeu principal est de savoir quels moyens concrets les pays engagent pour respecter cet objectif, ce qu’ils sont souvent réticents à indiquer, déplorent les ONG.
Car selon la dernière évaluation de l’ONU qui prend en compte les nouveaux engagements d’une majorité des pays signataires, le monde se dirige toujours vers un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C. Ou au mieux +2,2°C si on prend en compte les promesses souvent « vagues » de neutralité carbone pour le milieu du siècle.
« Le milieu du siècle » est précisément la formulation retenue par le G20 dans le document final. Un horizon moins précis que la date de 2050 voulue notamment par la présidence italienne du G20, « mais tout à fait significatif, considérant la diversité des pays qui participent au G20″, selon la présidence française.
L’Accord de Paris évoque l’objectif d' »équilibre » entre émissions et absorption des gaz à effet de serre « au cours de la deuxième moitié du siècle ».
Sous la pression de l’ONU, de plus en plus de pays s’engagent pour cette neutralité carbone, la plupart pour 2050, quelques-uns pour 2060 ou 2045: La Chine et la Russie, par exemple, se sont fixé 2060, l’Australie et la France 2050.
En excluant les simples promesses, 49 pays représentant 57% des émissions mondiales, dont l’ensemble des membres de l’UE et les Etats-Unis, ont pris cet engagement de façon formelle, selon le dernier rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement.
Les dirigeants du G20 se sont entendus dimanche sur un objectif de limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré au-dessus des niveaux pré-industriels, selon le projet de communiqué final, consulté par l’AFP.
L’objectif de l’Accord de Paris est de maintenir le réchauffement « bien en-deçà » de +2°C, si possible à +1,5°C, par rapport à l’ère pré-industrielle, un plafond qui est de facto devenu l’objectif prioritaire depuis.
L’enjeu principal est de savoir quels moyens concrets les pays engagent pour respecter cet objectif, ce qu’ils sont souvent réticents à indiquer, déplorent les ONG.
Car selon la dernière évaluation de l’ONU qui prend en compte les nouveaux engagements d’une majorité des pays signataires, le monde se dirige toujours vers un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C. Ou au mieux +2,2°C si on prend en compte les promesses souvent « vagues » de neutralité carbone pour le milieu du siècle.
« Le milieu du siècle » est précisément la formulation retenue par le G20 dans le document final. Un horizon moins précis que la date de 2050 voulue notamment par la présidence italienne du G20, « mais tout à fait significatif, considérant la diversité des pays qui participent au G20″, selon la présidence française.
L’Accord de Paris évoque l’objectif d' »équilibre » entre émissions et absorption des gaz à effet de serre « au cours de la deuxième moitié du siècle ».
Sous la pression de l’ONU, de plus en plus de pays s’engagent pour cette neutralité carbone, la plupart pour 2050, quelques-uns pour 2060 ou 2045: La Chine et la Russie, par exemple, se sont fixé 2060, l’Australie et la France 2050.
En excluant les simples promesses, 49 pays représentant 57% des émissions mondiales, dont l’ensemble des membres de l’UE et les Etats-Unis, ont pris cet engagement de façon formelle, selon le dernier rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement.
Les dirigeants du G20 se sont entendus dimanche sur un objectif de limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré au-dessus des niveaux pré-industriels, selon le projet de communiqué final, consulté par l’AFP.
L’objectif de l’Accord de Paris est de maintenir le réchauffement « bien en-deçà » de +2°C, si possible à +1,5°C, par rapport à l’ère pré-industrielle, un plafond qui est de facto devenu l’objectif prioritaire depuis.
L’enjeu principal est de savoir quels moyens concrets les pays engagent pour respecter cet objectif, ce qu’ils sont souvent réticents à indiquer, déplorent les ONG.
Car selon la dernière évaluation de l’ONU qui prend en compte les nouveaux engagements d’une majorité des pays signataires, le monde se dirige toujours vers un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C. Ou au mieux +2,2°C si on prend en compte les promesses souvent « vagues » de neutralité carbone pour le milieu du siècle.
« Le milieu du siècle » est précisément la formulation retenue par le G20 dans le document final. Un horizon moins précis que la date de 2050 voulue notamment par la présidence italienne du G20, « mais tout à fait significatif, considérant la diversité des pays qui participent au G20″, selon la présidence française.
L’Accord de Paris évoque l’objectif d' »équilibre » entre émissions et absorption des gaz à effet de serre « au cours de la deuxième moitié du siècle ».
Sous la pression de l’ONU, de plus en plus de pays s’engagent pour cette neutralité carbone, la plupart pour 2050, quelques-uns pour 2060 ou 2045: La Chine et la Russie, par exemple, se sont fixé 2060, l’Australie et la France 2050.
En excluant les simples promesses, 49 pays représentant 57% des émissions mondiales, dont l’ensemble des membres de l’UE et les Etats-Unis, ont pris cet engagement de façon formelle, selon le dernier rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement.
Les dirigeants du G20 se sont entendus dimanche sur un objectif de limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré au-dessus des niveaux pré-industriels, selon le projet de communiqué final, consulté par l’AFP.
L’objectif de l’Accord de Paris est de maintenir le réchauffement « bien en-deçà » de +2°C, si possible à +1,5°C, par rapport à l’ère pré-industrielle, un plafond qui est de facto devenu l’objectif prioritaire depuis.
L’enjeu principal est de savoir quels moyens concrets les pays engagent pour respecter cet objectif, ce qu’ils sont souvent réticents à indiquer, déplorent les ONG.
Car selon la dernière évaluation de l’ONU qui prend en compte les nouveaux engagements d’une majorité des pays signataires, le monde se dirige toujours vers un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C. Ou au mieux +2,2°C si on prend en compte les promesses souvent « vagues » de neutralité carbone pour le milieu du siècle.
« Le milieu du siècle » est précisément la formulation retenue par le G20 dans le document final. Un horizon moins précis que la date de 2050 voulue notamment par la présidence italienne du G20, « mais tout à fait significatif, considérant la diversité des pays qui participent au G20″, selon la présidence française.
L’Accord de Paris évoque l’objectif d' »équilibre » entre émissions et absorption des gaz à effet de serre « au cours de la deuxième moitié du siècle ».
Sous la pression de l’ONU, de plus en plus de pays s’engagent pour cette neutralité carbone, la plupart pour 2050, quelques-uns pour 2060 ou 2045: La Chine et la Russie, par exemple, se sont fixé 2060, l’Australie et la France 2050.
En excluant les simples promesses, 49 pays représentant 57% des émissions mondiales, dont l’ensemble des membres de l’UE et les Etats-Unis, ont pris cet engagement de façon formelle, selon le dernier rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement.
Les dirigeants du G20 se sont entendus dimanche sur un objectif de limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré au-dessus des niveaux pré-industriels, selon le projet de communiqué final, consulté par l’AFP.
L’objectif de l’Accord de Paris est de maintenir le réchauffement « bien en-deçà » de +2°C, si possible à +1,5°C, par rapport à l’ère pré-industrielle, un plafond qui est de facto devenu l’objectif prioritaire depuis.
L’enjeu principal est de savoir quels moyens concrets les pays engagent pour respecter cet objectif, ce qu’ils sont souvent réticents à indiquer, déplorent les ONG.
Car selon la dernière évaluation de l’ONU qui prend en compte les nouveaux engagements d’une majorité des pays signataires, le monde se dirige toujours vers un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C. Ou au mieux +2,2°C si on prend en compte les promesses souvent « vagues » de neutralité carbone pour le milieu du siècle.
« Le milieu du siècle » est précisément la formulation retenue par le G20 dans le document final. Un horizon moins précis que la date de 2050 voulue notamment par la présidence italienne du G20, « mais tout à fait significatif, considérant la diversité des pays qui participent au G20″, selon la présidence française.
L’Accord de Paris évoque l’objectif d' »équilibre » entre émissions et absorption des gaz à effet de serre « au cours de la deuxième moitié du siècle ».
Sous la pression de l’ONU, de plus en plus de pays s’engagent pour cette neutralité carbone, la plupart pour 2050, quelques-uns pour 2060 ou 2045: La Chine et la Russie, par exemple, se sont fixé 2060, l’Australie et la France 2050.
En excluant les simples promesses, 49 pays représentant 57% des émissions mondiales, dont l’ensemble des membres de l’UE et les Etats-Unis, ont pris cet engagement de façon formelle, selon le dernier rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement.
Les dirigeants du G20 se sont entendus dimanche sur un objectif de limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré au-dessus des niveaux pré-industriels, selon le projet de communiqué final, consulté par l’AFP.
L’objectif de l’Accord de Paris est de maintenir le réchauffement « bien en-deçà » de +2°C, si possible à +1,5°C, par rapport à l’ère pré-industrielle, un plafond qui est de facto devenu l’objectif prioritaire depuis.
L’enjeu principal est de savoir quels moyens concrets les pays engagent pour respecter cet objectif, ce qu’ils sont souvent réticents à indiquer, déplorent les ONG.
Car selon la dernière évaluation de l’ONU qui prend en compte les nouveaux engagements d’une majorité des pays signataires, le monde se dirige toujours vers un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C. Ou au mieux +2,2°C si on prend en compte les promesses souvent « vagues » de neutralité carbone pour le milieu du siècle.
« Le milieu du siècle » est précisément la formulation retenue par le G20 dans le document final. Un horizon moins précis que la date de 2050 voulue notamment par la présidence italienne du G20, « mais tout à fait significatif, considérant la diversité des pays qui participent au G20″, selon la présidence française.
L’Accord de Paris évoque l’objectif d' »équilibre » entre émissions et absorption des gaz à effet de serre « au cours de la deuxième moitié du siècle ».
Sous la pression de l’ONU, de plus en plus de pays s’engagent pour cette neutralité carbone, la plupart pour 2050, quelques-uns pour 2060 ou 2045: La Chine et la Russie, par exemple, se sont fixé 2060, l’Australie et la France 2050.
En excluant les simples promesses, 49 pays représentant 57% des émissions mondiales, dont l’ensemble des membres de l’UE et les Etats-Unis, ont pris cet engagement de façon formelle, selon le dernier rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement.
Les dirigeants du G20 se sont entendus dimanche sur un objectif de limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré au-dessus des niveaux pré-industriels, selon le projet de communiqué final, consulté par l’AFP.
L’objectif de l’Accord de Paris est de maintenir le réchauffement « bien en-deçà » de +2°C, si possible à +1,5°C, par rapport à l’ère pré-industrielle, un plafond qui est de facto devenu l’objectif prioritaire depuis.
L’enjeu principal est de savoir quels moyens concrets les pays engagent pour respecter cet objectif, ce qu’ils sont souvent réticents à indiquer, déplorent les ONG.
Car selon la dernière évaluation de l’ONU qui prend en compte les nouveaux engagements d’une majorité des pays signataires, le monde se dirige toujours vers un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C. Ou au mieux +2,2°C si on prend en compte les promesses souvent « vagues » de neutralité carbone pour le milieu du siècle.
« Le milieu du siècle » est précisément la formulation retenue par le G20 dans le document final. Un horizon moins précis que la date de 2050 voulue notamment par la présidence italienne du G20, « mais tout à fait significatif, considérant la diversité des pays qui participent au G20″, selon la présidence française.
L’Accord de Paris évoque l’objectif d' »équilibre » entre émissions et absorption des gaz à effet de serre « au cours de la deuxième moitié du siècle ».
Sous la pression de l’ONU, de plus en plus de pays s’engagent pour cette neutralité carbone, la plupart pour 2050, quelques-uns pour 2060 ou 2045: La Chine et la Russie, par exemple, se sont fixé 2060, l’Australie et la France 2050.
En excluant les simples promesses, 49 pays représentant 57% des émissions mondiales, dont l’ensemble des membres de l’UE et les Etats-Unis, ont pris cet engagement de façon formelle, selon le dernier rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement.
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