Le second enfant du prince William et de son épouse Catherine se faisait toujours attendre lundi, laissant la presse spéculer sur le nombre de jours de retard et la possibilité de provoquer l’accouchement.
Si la future maman, la duchesse de Cambridge, avait évoqué une naissance prévue pour la deuxième moitié d’avril, le Daily Telegraph affirmait lundi, citant des sources au sein du palais de Whitehall, que la naissance était en fait attendue le jeudi 23 avril. Un retard présumé qui donnait lieu à toutes les spéculations
« La duchesse pourrait avoir déjà discuté de la possibilité de provoquer l’accouchement, en particulier si elle se sent incommodée », ajoute le quotidien conservateur.
Le bébé très attendu pourrait pointer le bout de son nez mercredi, jour du quatrième anniversaire de mariage de ses parents. C’est en tout cas désormais l’une des dates favorites des bookmakers.
Mais le fait que le prince George soit né un lundi laissait certains espérer une répétition du scénario pour son petit frère ou sa petite soeur.
Son oncle, le prince Harry, qui doit s’envoler lundi pour l’Australie, risque donc de ne pas faire sa connaissance avant la mi-mai.
Le prince Harry doit partir en fin de journée pour rejoindre des unités de l’armée australienne à Perth et Sydney avant de participer à une tournée officielle en Nouvelle-Zélande du 9 au 16 mai.
Après avoir assisté samedi en Turquie avec son père le prince Charles, aux célébrations en hommage aux victimes de la bataille de Galipolli de la Première Guerre mondiale, le prince est brièvement rentré au Royaume-Uni pour remettre dimanche les médailles du marathon de Londres.
Samedi, c’était également « business as usual » pour le prince William, second dans l’ordre de succession royal et officiellement en congé de son poste de pilote d’hélicoptère-ambulance depuis le 21 avril et jusqu’au 1er juillet.
Il a participé aux cérémonies de l’Anzac (Australian and New Zealand Army Corps) à Londres qui commémoraient la sanglante bataille de Gallipoli (Dardanelles) entre les Alliés franco-britanniques, appuyés par des contingents australiens et néo-zélandais, et l’armée ottomane en 1915.
Si le duc et la duchesse de Cambridge affirment ne pas connaître le sexe de l’enfant à naître, les parieurs misent sur une fille qui pourrait se prénommer Alice.
Ce nouveau bébé royal prendra la quatrième place dans l’ordre de succession au trône d’Angleterre.
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