L’accord sur l’accueil de migrants refoulés d’Australie dans un camp de rétention sur une île de Papouasie-Nouvelle-Guinée va être abrogé, ont annoncé mercredi les deux pays.
Dans un communiqué commun, l’Australie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée expliquent atteindre ainsi « un objectif partagé de longue date ».
Cette décision ne met toutefois pas un terme à l’attitude de Canberra vis-à-vis des migrants arrivant par la mer, Nauru s’étant engagé le mois dernier à continuer d’accepter les demandeurs d’asile d’Australie.
Les réfugiés avaient déjà quitté l’île papouasienne de Manus fin 2019, mais, selon la Coalition pour l’action pour les réfugiés, une centaine d’entre eux demeurent dans la capitale du pays, Port Moresby.
« A partir du 1er janvier 2022, le gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée va assumer la pleine gestion des services de traitement régionaux en Papouasie-Nouvelle-Guinée et la pleine responsabilité de ceux qui restent », dit le communiqué.
« La Papouasie-Nouvelle-Guinée fournira une voie de migration permanente pour ceux qui souhaitent rester en Papouasie-Nouvelle-Guinée — y compris l’accès à la citoyenneté, le soutien à long terme, des programmes d’installation et le regroupement familial ».
Ceux qui veulent quitter la Papouasie-Nouvelle-Guinée seront transférés vers Nauru ou réinstallés dans un pays tiers, est-il précisé.
Les défenseurs des réfugiés, les ONG et les Nations unies ont largement condamné la politique australienne de refoulement, même de ceux qui remplissent les critères du droit d’asile.
L’accord sur l’accueil de migrants refoulés d’Australie dans un camp de rétention sur une île de Papouasie-Nouvelle-Guinée va être abrogé, ont annoncé mercredi les deux pays.
Dans un communiqué commun, l’Australie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée expliquent atteindre ainsi « un objectif partagé de longue date ».
Cette décision ne met toutefois pas un terme à l’attitude de Canberra vis-à-vis des migrants arrivant par la mer, Nauru s’étant engagé le mois dernier à continuer d’accepter les demandeurs d’asile d’Australie.
Les réfugiés avaient déjà quitté l’île papouasienne de Manus fin 2019, mais, selon la Coalition pour l’action pour les réfugiés, une centaine d’entre eux demeurent dans la capitale du pays, Port Moresby.
« A partir du 1er janvier 2022, le gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée va assumer la pleine gestion des services de traitement régionaux en Papouasie-Nouvelle-Guinée et la pleine responsabilité de ceux qui restent », dit le communiqué.
« La Papouasie-Nouvelle-Guinée fournira une voie de migration permanente pour ceux qui souhaitent rester en Papouasie-Nouvelle-Guinée — y compris l’accès à la citoyenneté, le soutien à long terme, des programmes d’installation et le regroupement familial ».
Ceux qui veulent quitter la Papouasie-Nouvelle-Guinée seront transférés vers Nauru ou réinstallés dans un pays tiers, est-il précisé.
Les défenseurs des réfugiés, les ONG et les Nations unies ont largement condamné la politique australienne de refoulement, même de ceux qui remplissent les critères du droit d’asile.
L’accord sur l’accueil de migrants refoulés d’Australie dans un camp de rétention sur une île de Papouasie-Nouvelle-Guinée va être abrogé, ont annoncé mercredi les deux pays.
Dans un communiqué commun, l’Australie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée expliquent atteindre ainsi « un objectif partagé de longue date ».
Cette décision ne met toutefois pas un terme à l’attitude de Canberra vis-à-vis des migrants arrivant par la mer, Nauru s’étant engagé le mois dernier à continuer d’accepter les demandeurs d’asile d’Australie.
Les réfugiés avaient déjà quitté l’île papouasienne de Manus fin 2019, mais, selon la Coalition pour l’action pour les réfugiés, une centaine d’entre eux demeurent dans la capitale du pays, Port Moresby.
« A partir du 1er janvier 2022, le gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée va assumer la pleine gestion des services de traitement régionaux en Papouasie-Nouvelle-Guinée et la pleine responsabilité de ceux qui restent », dit le communiqué.
« La Papouasie-Nouvelle-Guinée fournira une voie de migration permanente pour ceux qui souhaitent rester en Papouasie-Nouvelle-Guinée — y compris l’accès à la citoyenneté, le soutien à long terme, des programmes d’installation et le regroupement familial ».
Ceux qui veulent quitter la Papouasie-Nouvelle-Guinée seront transférés vers Nauru ou réinstallés dans un pays tiers, est-il précisé.
Les défenseurs des réfugiés, les ONG et les Nations unies ont largement condamné la politique australienne de refoulement, même de ceux qui remplissent les critères du droit d’asile.
L’accord sur l’accueil de migrants refoulés d’Australie dans un camp de rétention sur une île de Papouasie-Nouvelle-Guinée va être abrogé, ont annoncé mercredi les deux pays.
Dans un communiqué commun, l’Australie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée expliquent atteindre ainsi « un objectif partagé de longue date ».
Cette décision ne met toutefois pas un terme à l’attitude de Canberra vis-à-vis des migrants arrivant par la mer, Nauru s’étant engagé le mois dernier à continuer d’accepter les demandeurs d’asile d’Australie.
Les réfugiés avaient déjà quitté l’île papouasienne de Manus fin 2019, mais, selon la Coalition pour l’action pour les réfugiés, une centaine d’entre eux demeurent dans la capitale du pays, Port Moresby.
« A partir du 1er janvier 2022, le gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée va assumer la pleine gestion des services de traitement régionaux en Papouasie-Nouvelle-Guinée et la pleine responsabilité de ceux qui restent », dit le communiqué.
« La Papouasie-Nouvelle-Guinée fournira une voie de migration permanente pour ceux qui souhaitent rester en Papouasie-Nouvelle-Guinée — y compris l’accès à la citoyenneté, le soutien à long terme, des programmes d’installation et le regroupement familial ».
Ceux qui veulent quitter la Papouasie-Nouvelle-Guinée seront transférés vers Nauru ou réinstallés dans un pays tiers, est-il précisé.
Les défenseurs des réfugiés, les ONG et les Nations unies ont largement condamné la politique australienne de refoulement, même de ceux qui remplissent les critères du droit d’asile.
L’accord sur l’accueil de migrants refoulés d’Australie dans un camp de rétention sur une île de Papouasie-Nouvelle-Guinée va être abrogé, ont annoncé mercredi les deux pays.
Dans un communiqué commun, l’Australie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée expliquent atteindre ainsi « un objectif partagé de longue date ».
Cette décision ne met toutefois pas un terme à l’attitude de Canberra vis-à-vis des migrants arrivant par la mer, Nauru s’étant engagé le mois dernier à continuer d’accepter les demandeurs d’asile d’Australie.
Les réfugiés avaient déjà quitté l’île papouasienne de Manus fin 2019, mais, selon la Coalition pour l’action pour les réfugiés, une centaine d’entre eux demeurent dans la capitale du pays, Port Moresby.
« A partir du 1er janvier 2022, le gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée va assumer la pleine gestion des services de traitement régionaux en Papouasie-Nouvelle-Guinée et la pleine responsabilité de ceux qui restent », dit le communiqué.
« La Papouasie-Nouvelle-Guinée fournira une voie de migration permanente pour ceux qui souhaitent rester en Papouasie-Nouvelle-Guinée — y compris l’accès à la citoyenneté, le soutien à long terme, des programmes d’installation et le regroupement familial ».
Ceux qui veulent quitter la Papouasie-Nouvelle-Guinée seront transférés vers Nauru ou réinstallés dans un pays tiers, est-il précisé.
Les défenseurs des réfugiés, les ONG et les Nations unies ont largement condamné la politique australienne de refoulement, même de ceux qui remplissent les critères du droit d’asile.
L’accord sur l’accueil de migrants refoulés d’Australie dans un camp de rétention sur une île de Papouasie-Nouvelle-Guinée va être abrogé, ont annoncé mercredi les deux pays.
Dans un communiqué commun, l’Australie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée expliquent atteindre ainsi « un objectif partagé de longue date ».
Cette décision ne met toutefois pas un terme à l’attitude de Canberra vis-à-vis des migrants arrivant par la mer, Nauru s’étant engagé le mois dernier à continuer d’accepter les demandeurs d’asile d’Australie.
Les réfugiés avaient déjà quitté l’île papouasienne de Manus fin 2019, mais, selon la Coalition pour l’action pour les réfugiés, une centaine d’entre eux demeurent dans la capitale du pays, Port Moresby.
« A partir du 1er janvier 2022, le gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée va assumer la pleine gestion des services de traitement régionaux en Papouasie-Nouvelle-Guinée et la pleine responsabilité de ceux qui restent », dit le communiqué.
« La Papouasie-Nouvelle-Guinée fournira une voie de migration permanente pour ceux qui souhaitent rester en Papouasie-Nouvelle-Guinée — y compris l’accès à la citoyenneté, le soutien à long terme, des programmes d’installation et le regroupement familial ».
Ceux qui veulent quitter la Papouasie-Nouvelle-Guinée seront transférés vers Nauru ou réinstallés dans un pays tiers, est-il précisé.
Les défenseurs des réfugiés, les ONG et les Nations unies ont largement condamné la politique australienne de refoulement, même de ceux qui remplissent les critères du droit d’asile.
L’accord sur l’accueil de migrants refoulés d’Australie dans un camp de rétention sur une île de Papouasie-Nouvelle-Guinée va être abrogé, ont annoncé mercredi les deux pays.
Dans un communiqué commun, l’Australie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée expliquent atteindre ainsi « un objectif partagé de longue date ».
Cette décision ne met toutefois pas un terme à l’attitude de Canberra vis-à-vis des migrants arrivant par la mer, Nauru s’étant engagé le mois dernier à continuer d’accepter les demandeurs d’asile d’Australie.
Les réfugiés avaient déjà quitté l’île papouasienne de Manus fin 2019, mais, selon la Coalition pour l’action pour les réfugiés, une centaine d’entre eux demeurent dans la capitale du pays, Port Moresby.
« A partir du 1er janvier 2022, le gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée va assumer la pleine gestion des services de traitement régionaux en Papouasie-Nouvelle-Guinée et la pleine responsabilité de ceux qui restent », dit le communiqué.
« La Papouasie-Nouvelle-Guinée fournira une voie de migration permanente pour ceux qui souhaitent rester en Papouasie-Nouvelle-Guinée — y compris l’accès à la citoyenneté, le soutien à long terme, des programmes d’installation et le regroupement familial ».
Ceux qui veulent quitter la Papouasie-Nouvelle-Guinée seront transférés vers Nauru ou réinstallés dans un pays tiers, est-il précisé.
Les défenseurs des réfugiés, les ONG et les Nations unies ont largement condamné la politique australienne de refoulement, même de ceux qui remplissent les critères du droit d’asile.
L’accord sur l’accueil de migrants refoulés d’Australie dans un camp de rétention sur une île de Papouasie-Nouvelle-Guinée va être abrogé, ont annoncé mercredi les deux pays.
Dans un communiqué commun, l’Australie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée expliquent atteindre ainsi « un objectif partagé de longue date ».
Cette décision ne met toutefois pas un terme à l’attitude de Canberra vis-à-vis des migrants arrivant par la mer, Nauru s’étant engagé le mois dernier à continuer d’accepter les demandeurs d’asile d’Australie.
Les réfugiés avaient déjà quitté l’île papouasienne de Manus fin 2019, mais, selon la Coalition pour l’action pour les réfugiés, une centaine d’entre eux demeurent dans la capitale du pays, Port Moresby.
« A partir du 1er janvier 2022, le gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée va assumer la pleine gestion des services de traitement régionaux en Papouasie-Nouvelle-Guinée et la pleine responsabilité de ceux qui restent », dit le communiqué.
« La Papouasie-Nouvelle-Guinée fournira une voie de migration permanente pour ceux qui souhaitent rester en Papouasie-Nouvelle-Guinée — y compris l’accès à la citoyenneté, le soutien à long terme, des programmes d’installation et le regroupement familial ».
Ceux qui veulent quitter la Papouasie-Nouvelle-Guinée seront transférés vers Nauru ou réinstallés dans un pays tiers, est-il précisé.
Les défenseurs des réfugiés, les ONG et les Nations unies ont largement condamné la politique australienne de refoulement, même de ceux qui remplissent les critères du droit d’asile.
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