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Home » AFP » La Chine approuve un traitement contre le Covid-19

La Chine approuve un traitement contre le Covid-19

AFP AFP
mars 1, 2022
Temps de lecture: 2 mins
0
Detail of the dose of anti-Covid19 vaccine during preparation before administration to healthcare personnel at the Don Tonino Bello Hospital in Molfetta on January 6, 2021.
The anti-Covid vaccination campaign in Puglia also continues on the day of the Epiphany: At the moment, about 10 thousand people have received the first dose of the Pfizer vaccine in the region, compared to the first load of 25,855 doses that arrived in Bari on 30 December last. The administration of vaccines also proceeds in Molfetta: Starting from January 1st, injections aimed at fighting the Coronavirus are taking place every day at the "Don Tonino Bello" hospital. The first load arrived in the city was 480 doses which were destined for health personnel and some guests of the residences for the elderly in Molfetta. (Photo by Davide Pischettola/NurPhoto) (Photo by Davide Pischettola / NurPhoto / NurPhoto via AFP)

Detail of the dose of anti-Covid19 vaccine during preparation before administration to healthcare personnel at the Don Tonino Bello Hospital in Molfetta on January 6, 2021. The anti-Covid vaccination campaign in Puglia also continues on the day of the Epiphany: At the moment, about 10 thousand people have received the first dose of the Pfizer vaccine in the region, compared to the first load of 25,855 doses that arrived in Bari on 30 December last. The administration of vaccines also proceeds in Molfetta: Starting from January 1st, injections aimed at fighting the Coronavirus are taking place every day at the "Don Tonino Bello" hospital. The first load arrived in the city was 480 doses which were destined for health personnel and some guests of the residences for the elderly in Molfetta. (Photo by Davide Pischettola/NurPhoto) (Photo by Davide Pischettola / NurPhoto / NurPhoto via AFP)

La Chine a donné pour la première fois son feu vert à un traitement contre le Covid-19, deux ans après l’apparition de la maladie sur son sol et sur fond de reprise épidémique.

A la différence d’un vaccin préventif, un traitement soigne les patients déjà atteints par le virus, dans le but d’éviter des complications graves.

Le pays asiatique, où l’épidémie avait été découverte à Wuhan (centre) fin 2019, a quasiment éradiqué la contagion en recourant à des mesures radicales: fermeture des frontières, strict contrôle des déplacements, confinements.

Et la Chine, qui n’autorise aucun vaccin étranger, affirme avoir vacciné plus de 70% de sa population à l’aide de sérums de fabrication locale.

Malgré tout, le pays fait face ces derniers mois à des rebonds épidémiques localisés, qui restent sans commune mesure avec les bilans quotidiens à l’étranger.

Dans un avis publié mercredi, l’Agence nationale du médicament indique accorder une « approbation d’urgence » pour un traitement chinois contre le Covid-19 à base d’anticorps monoclonaux.

Les anticorps monoclonaux s’attachent à la protéine en pointe du coronavirus, réduisant sa capacité de pénétrer dans les cellules humaines.

Le traitement, administré par injection, a été mis au point conjointement par la prestigieuse Université Tsinghua à Pékin, l’Hôpital No.3 de Shenzhen (sud) et l’entreprise Brii Biosciences.

Les essais cliniques montrent que le traitement permet de réduire de 80% les hospitalisations et le risque de décès chez les patients fragiles, selon l’Université Tsinghua.

D’après la presse locale, le traitement a été utilisé sur des malades infectés lors de récents rebonds épidémiques.

La Chine a fait état jeudi de 83 nouvelles contaminations au plan national.

Le pays dispose de plusieurs vaccins nationaux dont les taux d’efficacité sont inférieurs à ceux mis au point à l’étranger.

Deux vaccins des fabricants Sinovac et Sinopharm sont reconnus par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

 

La Chine a donné pour la première fois son feu vert à un traitement contre le Covid-19, deux ans après l’apparition de la maladie sur son sol et sur fond de reprise épidémique.

A la différence d’un vaccin préventif, un traitement soigne les patients déjà atteints par le virus, dans le but d’éviter des complications graves.

Le pays asiatique, où l’épidémie avait été découverte à Wuhan (centre) fin 2019, a quasiment éradiqué la contagion en recourant à des mesures radicales: fermeture des frontières, strict contrôle des déplacements, confinements.

Et la Chine, qui n’autorise aucun vaccin étranger, affirme avoir vacciné plus de 70% de sa population à l’aide de sérums de fabrication locale.

Malgré tout, le pays fait face ces derniers mois à des rebonds épidémiques localisés, qui restent sans commune mesure avec les bilans quotidiens à l’étranger.

Dans un avis publié mercredi, l’Agence nationale du médicament indique accorder une « approbation d’urgence » pour un traitement chinois contre le Covid-19 à base d’anticorps monoclonaux.

Les anticorps monoclonaux s’attachent à la protéine en pointe du coronavirus, réduisant sa capacité de pénétrer dans les cellules humaines.

Le traitement, administré par injection, a été mis au point conjointement par la prestigieuse Université Tsinghua à Pékin, l’Hôpital No.3 de Shenzhen (sud) et l’entreprise Brii Biosciences.

Les essais cliniques montrent que le traitement permet de réduire de 80% les hospitalisations et le risque de décès chez les patients fragiles, selon l’Université Tsinghua.

D’après la presse locale, le traitement a été utilisé sur des malades infectés lors de récents rebonds épidémiques.

La Chine a fait état jeudi de 83 nouvelles contaminations au plan national.

Le pays dispose de plusieurs vaccins nationaux dont les taux d’efficacité sont inférieurs à ceux mis au point à l’étranger.

Deux vaccins des fabricants Sinovac et Sinopharm sont reconnus par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

 

La Chine a donné pour la première fois son feu vert à un traitement contre le Covid-19, deux ans après l’apparition de la maladie sur son sol et sur fond de reprise épidémique.

A la différence d’un vaccin préventif, un traitement soigne les patients déjà atteints par le virus, dans le but d’éviter des complications graves.

Le pays asiatique, où l’épidémie avait été découverte à Wuhan (centre) fin 2019, a quasiment éradiqué la contagion en recourant à des mesures radicales: fermeture des frontières, strict contrôle des déplacements, confinements.

Et la Chine, qui n’autorise aucun vaccin étranger, affirme avoir vacciné plus de 70% de sa population à l’aide de sérums de fabrication locale.

Malgré tout, le pays fait face ces derniers mois à des rebonds épidémiques localisés, qui restent sans commune mesure avec les bilans quotidiens à l’étranger.

Dans un avis publié mercredi, l’Agence nationale du médicament indique accorder une « approbation d’urgence » pour un traitement chinois contre le Covid-19 à base d’anticorps monoclonaux.

Les anticorps monoclonaux s’attachent à la protéine en pointe du coronavirus, réduisant sa capacité de pénétrer dans les cellules humaines.

Le traitement, administré par injection, a été mis au point conjointement par la prestigieuse Université Tsinghua à Pékin, l’Hôpital No.3 de Shenzhen (sud) et l’entreprise Brii Biosciences.

Les essais cliniques montrent que le traitement permet de réduire de 80% les hospitalisations et le risque de décès chez les patients fragiles, selon l’Université Tsinghua.

D’après la presse locale, le traitement a été utilisé sur des malades infectés lors de récents rebonds épidémiques.

La Chine a fait état jeudi de 83 nouvelles contaminations au plan national.

Le pays dispose de plusieurs vaccins nationaux dont les taux d’efficacité sont inférieurs à ceux mis au point à l’étranger.

Deux vaccins des fabricants Sinovac et Sinopharm sont reconnus par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

 

La Chine a donné pour la première fois son feu vert à un traitement contre le Covid-19, deux ans après l’apparition de la maladie sur son sol et sur fond de reprise épidémique.

A la différence d’un vaccin préventif, un traitement soigne les patients déjà atteints par le virus, dans le but d’éviter des complications graves.

Le pays asiatique, où l’épidémie avait été découverte à Wuhan (centre) fin 2019, a quasiment éradiqué la contagion en recourant à des mesures radicales: fermeture des frontières, strict contrôle des déplacements, confinements.

Et la Chine, qui n’autorise aucun vaccin étranger, affirme avoir vacciné plus de 70% de sa population à l’aide de sérums de fabrication locale.

Malgré tout, le pays fait face ces derniers mois à des rebonds épidémiques localisés, qui restent sans commune mesure avec les bilans quotidiens à l’étranger.

Dans un avis publié mercredi, l’Agence nationale du médicament indique accorder une « approbation d’urgence » pour un traitement chinois contre le Covid-19 à base d’anticorps monoclonaux.

Les anticorps monoclonaux s’attachent à la protéine en pointe du coronavirus, réduisant sa capacité de pénétrer dans les cellules humaines.

Le traitement, administré par injection, a été mis au point conjointement par la prestigieuse Université Tsinghua à Pékin, l’Hôpital No.3 de Shenzhen (sud) et l’entreprise Brii Biosciences.

Les essais cliniques montrent que le traitement permet de réduire de 80% les hospitalisations et le risque de décès chez les patients fragiles, selon l’Université Tsinghua.

D’après la presse locale, le traitement a été utilisé sur des malades infectés lors de récents rebonds épidémiques.

La Chine a fait état jeudi de 83 nouvelles contaminations au plan national.

Le pays dispose de plusieurs vaccins nationaux dont les taux d’efficacité sont inférieurs à ceux mis au point à l’étranger.

Deux vaccins des fabricants Sinovac et Sinopharm sont reconnus par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

 

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D’après la presse locale, le traitement a été utilisé sur des malades infectés lors de récents rebonds épidémiques.

La Chine a fait état jeudi de 83 nouvelles contaminations au plan national.

Le pays dispose de plusieurs vaccins nationaux dont les taux d’efficacité sont inférieurs à ceux mis au point à l’étranger.

Deux vaccins des fabricants Sinovac et Sinopharm sont reconnus par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

 

La Chine a donné pour la première fois son feu vert à un traitement contre le Covid-19, deux ans après l’apparition de la maladie sur son sol et sur fond de reprise épidémique.

A la différence d’un vaccin préventif, un traitement soigne les patients déjà atteints par le virus, dans le but d’éviter des complications graves.

Le pays asiatique, où l’épidémie avait été découverte à Wuhan (centre) fin 2019, a quasiment éradiqué la contagion en recourant à des mesures radicales: fermeture des frontières, strict contrôle des déplacements, confinements.

Et la Chine, qui n’autorise aucun vaccin étranger, affirme avoir vacciné plus de 70% de sa population à l’aide de sérums de fabrication locale.

Malgré tout, le pays fait face ces derniers mois à des rebonds épidémiques localisés, qui restent sans commune mesure avec les bilans quotidiens à l’étranger.

Dans un avis publié mercredi, l’Agence nationale du médicament indique accorder une « approbation d’urgence » pour un traitement chinois contre le Covid-19 à base d’anticorps monoclonaux.

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Le traitement, administré par injection, a été mis au point conjointement par la prestigieuse Université Tsinghua à Pékin, l’Hôpital No.3 de Shenzhen (sud) et l’entreprise Brii Biosciences.

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Tags: chineCOVID-19
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