La charge fiscale sur les salaires a fortement diminué en 2020, atteignant son plus bas niveau depuis 2000, sous l’effet d’une baisse généralisée des revenus mais surtout de l’augmentation des transferts directs aux familles, selon un rapport de l’OCDE publié jeudi.
En 2020, cette charge fiscale a fortement diminué pour les trois catégories de foyers étudiées: les parents isolés, les travailleurs célibataires et les couples avec deux enfants disposant d’un seul salaire.
« Ce déclin est intervenu dans un contexte marqué par l’impact du Covid-19 sur le marché du travail et des baisses généralisées des salaires nominaux moyens, ainsi que par le déploiement de mesures d’aide aux entreprises et aux ménages, mises en œuvre par le biais du système fiscal ou sous la forme de transferts directs », explique l’OCDE dans son rapport de 800 pages.
En 2020, le « coin fiscal » pour un célibataire rémunéré au salaire moyen s’est établi à 34,6%, en repli de 0,39 point par rapport à 2019. Il a diminué dans 29 pays de l’OCDE, mais augmenté en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Corée ou encore en Suède et en Turquie.
La baisse est encore plus marquée pour les ménages avec enfants: de 1,1 point à 24,4%, « un recul inédit depuis au moins 2000, date de la première édition » de cette publication, souligne l’OCDE.
Sur un an, la charge fiscale pour cette catégorie a diminué dans 31 pays, particulièrement en Lituanie, aux Etats-Unis, en Pologne, en Italie, au Canada et en Corée. Là encore, la Nouvelle-Zélande fait exception.
L’organisation basée à Paris relève enfin que la fiscalité varie considérablement d’un pays à l’autre, « le coin fiscal du salarié célibataire moyen allant de 0% en Colombie à 51% en Belgique ». La France se situe dans le peloton de tête, devant l’Italie mais derrière l’Autriche et l’Allemagne.
La charge fiscale sur les salaires a fortement diminué en 2020, atteignant son plus bas niveau depuis 2000, sous l’effet d’une baisse généralisée des revenus mais surtout de l’augmentation des transferts directs aux familles, selon un rapport de l’OCDE publié jeudi.
En 2020, cette charge fiscale a fortement diminué pour les trois catégories de foyers étudiées: les parents isolés, les travailleurs célibataires et les couples avec deux enfants disposant d’un seul salaire.
« Ce déclin est intervenu dans un contexte marqué par l’impact du Covid-19 sur le marché du travail et des baisses généralisées des salaires nominaux moyens, ainsi que par le déploiement de mesures d’aide aux entreprises et aux ménages, mises en œuvre par le biais du système fiscal ou sous la forme de transferts directs », explique l’OCDE dans son rapport de 800 pages.
En 2020, le « coin fiscal » pour un célibataire rémunéré au salaire moyen s’est établi à 34,6%, en repli de 0,39 point par rapport à 2019. Il a diminué dans 29 pays de l’OCDE, mais augmenté en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Corée ou encore en Suède et en Turquie.
La baisse est encore plus marquée pour les ménages avec enfants: de 1,1 point à 24,4%, « un recul inédit depuis au moins 2000, date de la première édition » de cette publication, souligne l’OCDE.
Sur un an, la charge fiscale pour cette catégorie a diminué dans 31 pays, particulièrement en Lituanie, aux Etats-Unis, en Pologne, en Italie, au Canada et en Corée. Là encore, la Nouvelle-Zélande fait exception.
L’organisation basée à Paris relève enfin que la fiscalité varie considérablement d’un pays à l’autre, « le coin fiscal du salarié célibataire moyen allant de 0% en Colombie à 51% en Belgique ». La France se situe dans le peloton de tête, devant l’Italie mais derrière l’Autriche et l’Allemagne.
La charge fiscale sur les salaires a fortement diminué en 2020, atteignant son plus bas niveau depuis 2000, sous l’effet d’une baisse généralisée des revenus mais surtout de l’augmentation des transferts directs aux familles, selon un rapport de l’OCDE publié jeudi.
En 2020, cette charge fiscale a fortement diminué pour les trois catégories de foyers étudiées: les parents isolés, les travailleurs célibataires et les couples avec deux enfants disposant d’un seul salaire.
« Ce déclin est intervenu dans un contexte marqué par l’impact du Covid-19 sur le marché du travail et des baisses généralisées des salaires nominaux moyens, ainsi que par le déploiement de mesures d’aide aux entreprises et aux ménages, mises en œuvre par le biais du système fiscal ou sous la forme de transferts directs », explique l’OCDE dans son rapport de 800 pages.
En 2020, le « coin fiscal » pour un célibataire rémunéré au salaire moyen s’est établi à 34,6%, en repli de 0,39 point par rapport à 2019. Il a diminué dans 29 pays de l’OCDE, mais augmenté en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Corée ou encore en Suède et en Turquie.
La baisse est encore plus marquée pour les ménages avec enfants: de 1,1 point à 24,4%, « un recul inédit depuis au moins 2000, date de la première édition » de cette publication, souligne l’OCDE.
Sur un an, la charge fiscale pour cette catégorie a diminué dans 31 pays, particulièrement en Lituanie, aux Etats-Unis, en Pologne, en Italie, au Canada et en Corée. Là encore, la Nouvelle-Zélande fait exception.
L’organisation basée à Paris relève enfin que la fiscalité varie considérablement d’un pays à l’autre, « le coin fiscal du salarié célibataire moyen allant de 0% en Colombie à 51% en Belgique ». La France se situe dans le peloton de tête, devant l’Italie mais derrière l’Autriche et l’Allemagne.
La charge fiscale sur les salaires a fortement diminué en 2020, atteignant son plus bas niveau depuis 2000, sous l’effet d’une baisse généralisée des revenus mais surtout de l’augmentation des transferts directs aux familles, selon un rapport de l’OCDE publié jeudi.
En 2020, cette charge fiscale a fortement diminué pour les trois catégories de foyers étudiées: les parents isolés, les travailleurs célibataires et les couples avec deux enfants disposant d’un seul salaire.
« Ce déclin est intervenu dans un contexte marqué par l’impact du Covid-19 sur le marché du travail et des baisses généralisées des salaires nominaux moyens, ainsi que par le déploiement de mesures d’aide aux entreprises et aux ménages, mises en œuvre par le biais du système fiscal ou sous la forme de transferts directs », explique l’OCDE dans son rapport de 800 pages.
En 2020, le « coin fiscal » pour un célibataire rémunéré au salaire moyen s’est établi à 34,6%, en repli de 0,39 point par rapport à 2019. Il a diminué dans 29 pays de l’OCDE, mais augmenté en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Corée ou encore en Suède et en Turquie.
La baisse est encore plus marquée pour les ménages avec enfants: de 1,1 point à 24,4%, « un recul inédit depuis au moins 2000, date de la première édition » de cette publication, souligne l’OCDE.
Sur un an, la charge fiscale pour cette catégorie a diminué dans 31 pays, particulièrement en Lituanie, aux Etats-Unis, en Pologne, en Italie, au Canada et en Corée. Là encore, la Nouvelle-Zélande fait exception.
L’organisation basée à Paris relève enfin que la fiscalité varie considérablement d’un pays à l’autre, « le coin fiscal du salarié célibataire moyen allant de 0% en Colombie à 51% en Belgique ». La France se situe dans le peloton de tête, devant l’Italie mais derrière l’Autriche et l’Allemagne.
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