La Chine a annoncé jeudi l’envoi aux îles Salomon de matériel anti-émeute et de conseillers policiers « sur demande » du pays insulaire, confronté le mois dernier à des violences anti-gouvernementales provoquées en partie par un sentiment anti-chinois.
Le mois dernier, des émeutes anti-gouvernementales avaient frappé la capitale Honiara. Trois personnes au moins avaient été tuées, 63 bâtiments brûlés ou pillés et le quartier chinois saccagé.
La crise a été alimentée par la pauvreté, le chômage et les rivalités inter-îles. Elle a été exacerbée par la décision du Premier ministre actuel, Manasseh Sogavare, de faire passer l’allégeance diplomatique des Salomon de Taïwan à Pékin en 2019.
« Sur demande du gouvernement des îles Salomon, la Chine va fournir d’urgence un lot de matériel anti-émeute et enverra une équipe temporaire de consultants de la police », a indiqué jeudi Zhao Lijian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
« Ils arriveront sous peu et joueront un rôle constructif pour l’amélioration des moyens de la police locale », a-t-il souligné devant la presse. « La Chine soutient fermement les efforts du gouvernement salomonien pour maintenir la stabilité. »
Le gouvernement des îles Salomon a indiqué dans un communiqué que Pékin dépêchera six « officiers de liaison » et fournira des boucliers, des casques, des matraques et d’autres équipements non létaux qui « renforceront les capacités de la police (…) face aux futures menaces ».
La Chine n’est pas le seul pays à fournir une aide au pays insulaire.
Environ 200 membres des forces de maintien de la paix venant d’Australie, des Fidji, de Nouvelle-Zélande et de Papouasie-Nouvelle-Guinée avaient été déployés aux îles Salomon. Elles ont entamé leur retrait cette semaine.
Le pays du Pacifique entretenait depuis 1983 des liens diplomatiques avec Taïwan. Il a choisi en 2019 de rompre avec le territoire pour reconnaître le gouvernement communiste basé à Pékin en tant que seul représentant légitime de la Chine.
Cette décision avait alors provoqué le ressentiment d’une partie de la population salomonienne qui entretenait des relations étroites avec Taipei.
La Chine a annoncé jeudi l’envoi aux îles Salomon de matériel anti-émeute et de conseillers policiers « sur demande » du pays insulaire, confronté le mois dernier à des violences anti-gouvernementales provoquées en partie par un sentiment anti-chinois.
Le mois dernier, des émeutes anti-gouvernementales avaient frappé la capitale Honiara. Trois personnes au moins avaient été tuées, 63 bâtiments brûlés ou pillés et le quartier chinois saccagé.
La crise a été alimentée par la pauvreté, le chômage et les rivalités inter-îles. Elle a été exacerbée par la décision du Premier ministre actuel, Manasseh Sogavare, de faire passer l’allégeance diplomatique des Salomon de Taïwan à Pékin en 2019.
« Sur demande du gouvernement des îles Salomon, la Chine va fournir d’urgence un lot de matériel anti-émeute et enverra une équipe temporaire de consultants de la police », a indiqué jeudi Zhao Lijian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
« Ils arriveront sous peu et joueront un rôle constructif pour l’amélioration des moyens de la police locale », a-t-il souligné devant la presse. « La Chine soutient fermement les efforts du gouvernement salomonien pour maintenir la stabilité. »
Le gouvernement des îles Salomon a indiqué dans un communiqué que Pékin dépêchera six « officiers de liaison » et fournira des boucliers, des casques, des matraques et d’autres équipements non létaux qui « renforceront les capacités de la police (…) face aux futures menaces ».
La Chine n’est pas le seul pays à fournir une aide au pays insulaire.
Environ 200 membres des forces de maintien de la paix venant d’Australie, des Fidji, de Nouvelle-Zélande et de Papouasie-Nouvelle-Guinée avaient été déployés aux îles Salomon. Elles ont entamé leur retrait cette semaine.
Le pays du Pacifique entretenait depuis 1983 des liens diplomatiques avec Taïwan. Il a choisi en 2019 de rompre avec le territoire pour reconnaître le gouvernement communiste basé à Pékin en tant que seul représentant légitime de la Chine.
Cette décision avait alors provoqué le ressentiment d’une partie de la population salomonienne qui entretenait des relations étroites avec Taipei.
La Chine a annoncé jeudi l’envoi aux îles Salomon de matériel anti-émeute et de conseillers policiers « sur demande » du pays insulaire, confronté le mois dernier à des violences anti-gouvernementales provoquées en partie par un sentiment anti-chinois.
Le mois dernier, des émeutes anti-gouvernementales avaient frappé la capitale Honiara. Trois personnes au moins avaient été tuées, 63 bâtiments brûlés ou pillés et le quartier chinois saccagé.
La crise a été alimentée par la pauvreté, le chômage et les rivalités inter-îles. Elle a été exacerbée par la décision du Premier ministre actuel, Manasseh Sogavare, de faire passer l’allégeance diplomatique des Salomon de Taïwan à Pékin en 2019.
« Sur demande du gouvernement des îles Salomon, la Chine va fournir d’urgence un lot de matériel anti-émeute et enverra une équipe temporaire de consultants de la police », a indiqué jeudi Zhao Lijian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
« Ils arriveront sous peu et joueront un rôle constructif pour l’amélioration des moyens de la police locale », a-t-il souligné devant la presse. « La Chine soutient fermement les efforts du gouvernement salomonien pour maintenir la stabilité. »
Le gouvernement des îles Salomon a indiqué dans un communiqué que Pékin dépêchera six « officiers de liaison » et fournira des boucliers, des casques, des matraques et d’autres équipements non létaux qui « renforceront les capacités de la police (…) face aux futures menaces ».
La Chine n’est pas le seul pays à fournir une aide au pays insulaire.
Environ 200 membres des forces de maintien de la paix venant d’Australie, des Fidji, de Nouvelle-Zélande et de Papouasie-Nouvelle-Guinée avaient été déployés aux îles Salomon. Elles ont entamé leur retrait cette semaine.
Le pays du Pacifique entretenait depuis 1983 des liens diplomatiques avec Taïwan. Il a choisi en 2019 de rompre avec le territoire pour reconnaître le gouvernement communiste basé à Pékin en tant que seul représentant légitime de la Chine.
Cette décision avait alors provoqué le ressentiment d’une partie de la population salomonienne qui entretenait des relations étroites avec Taipei.
La Chine a annoncé jeudi l’envoi aux îles Salomon de matériel anti-émeute et de conseillers policiers « sur demande » du pays insulaire, confronté le mois dernier à des violences anti-gouvernementales provoquées en partie par un sentiment anti-chinois.
Le mois dernier, des émeutes anti-gouvernementales avaient frappé la capitale Honiara. Trois personnes au moins avaient été tuées, 63 bâtiments brûlés ou pillés et le quartier chinois saccagé.
La crise a été alimentée par la pauvreté, le chômage et les rivalités inter-îles. Elle a été exacerbée par la décision du Premier ministre actuel, Manasseh Sogavare, de faire passer l’allégeance diplomatique des Salomon de Taïwan à Pékin en 2019.
« Sur demande du gouvernement des îles Salomon, la Chine va fournir d’urgence un lot de matériel anti-émeute et enverra une équipe temporaire de consultants de la police », a indiqué jeudi Zhao Lijian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
« Ils arriveront sous peu et joueront un rôle constructif pour l’amélioration des moyens de la police locale », a-t-il souligné devant la presse. « La Chine soutient fermement les efforts du gouvernement salomonien pour maintenir la stabilité. »
Le gouvernement des îles Salomon a indiqué dans un communiqué que Pékin dépêchera six « officiers de liaison » et fournira des boucliers, des casques, des matraques et d’autres équipements non létaux qui « renforceront les capacités de la police (…) face aux futures menaces ».
La Chine n’est pas le seul pays à fournir une aide au pays insulaire.
Environ 200 membres des forces de maintien de la paix venant d’Australie, des Fidji, de Nouvelle-Zélande et de Papouasie-Nouvelle-Guinée avaient été déployés aux îles Salomon. Elles ont entamé leur retrait cette semaine.
Le pays du Pacifique entretenait depuis 1983 des liens diplomatiques avec Taïwan. Il a choisi en 2019 de rompre avec le territoire pour reconnaître le gouvernement communiste basé à Pékin en tant que seul représentant légitime de la Chine.
Cette décision avait alors provoqué le ressentiment d’une partie de la population salomonienne qui entretenait des relations étroites avec Taipei.
La Chine a annoncé jeudi l’envoi aux îles Salomon de matériel anti-émeute et de conseillers policiers « sur demande » du pays insulaire, confronté le mois dernier à des violences anti-gouvernementales provoquées en partie par un sentiment anti-chinois.
Le mois dernier, des émeutes anti-gouvernementales avaient frappé la capitale Honiara. Trois personnes au moins avaient été tuées, 63 bâtiments brûlés ou pillés et le quartier chinois saccagé.
La crise a été alimentée par la pauvreté, le chômage et les rivalités inter-îles. Elle a été exacerbée par la décision du Premier ministre actuel, Manasseh Sogavare, de faire passer l’allégeance diplomatique des Salomon de Taïwan à Pékin en 2019.
« Sur demande du gouvernement des îles Salomon, la Chine va fournir d’urgence un lot de matériel anti-émeute et enverra une équipe temporaire de consultants de la police », a indiqué jeudi Zhao Lijian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
« Ils arriveront sous peu et joueront un rôle constructif pour l’amélioration des moyens de la police locale », a-t-il souligné devant la presse. « La Chine soutient fermement les efforts du gouvernement salomonien pour maintenir la stabilité. »
Le gouvernement des îles Salomon a indiqué dans un communiqué que Pékin dépêchera six « officiers de liaison » et fournira des boucliers, des casques, des matraques et d’autres équipements non létaux qui « renforceront les capacités de la police (…) face aux futures menaces ».
La Chine n’est pas le seul pays à fournir une aide au pays insulaire.
Environ 200 membres des forces de maintien de la paix venant d’Australie, des Fidji, de Nouvelle-Zélande et de Papouasie-Nouvelle-Guinée avaient été déployés aux îles Salomon. Elles ont entamé leur retrait cette semaine.
Le pays du Pacifique entretenait depuis 1983 des liens diplomatiques avec Taïwan. Il a choisi en 2019 de rompre avec le territoire pour reconnaître le gouvernement communiste basé à Pékin en tant que seul représentant légitime de la Chine.
Cette décision avait alors provoqué le ressentiment d’une partie de la population salomonienne qui entretenait des relations étroites avec Taipei.
La Chine a annoncé jeudi l’envoi aux îles Salomon de matériel anti-émeute et de conseillers policiers « sur demande » du pays insulaire, confronté le mois dernier à des violences anti-gouvernementales provoquées en partie par un sentiment anti-chinois.
Le mois dernier, des émeutes anti-gouvernementales avaient frappé la capitale Honiara. Trois personnes au moins avaient été tuées, 63 bâtiments brûlés ou pillés et le quartier chinois saccagé.
La crise a été alimentée par la pauvreté, le chômage et les rivalités inter-îles. Elle a été exacerbée par la décision du Premier ministre actuel, Manasseh Sogavare, de faire passer l’allégeance diplomatique des Salomon de Taïwan à Pékin en 2019.
« Sur demande du gouvernement des îles Salomon, la Chine va fournir d’urgence un lot de matériel anti-émeute et enverra une équipe temporaire de consultants de la police », a indiqué jeudi Zhao Lijian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
« Ils arriveront sous peu et joueront un rôle constructif pour l’amélioration des moyens de la police locale », a-t-il souligné devant la presse. « La Chine soutient fermement les efforts du gouvernement salomonien pour maintenir la stabilité. »
Le gouvernement des îles Salomon a indiqué dans un communiqué que Pékin dépêchera six « officiers de liaison » et fournira des boucliers, des casques, des matraques et d’autres équipements non létaux qui « renforceront les capacités de la police (…) face aux futures menaces ».
La Chine n’est pas le seul pays à fournir une aide au pays insulaire.
Environ 200 membres des forces de maintien de la paix venant d’Australie, des Fidji, de Nouvelle-Zélande et de Papouasie-Nouvelle-Guinée avaient été déployés aux îles Salomon. Elles ont entamé leur retrait cette semaine.
Le pays du Pacifique entretenait depuis 1983 des liens diplomatiques avec Taïwan. Il a choisi en 2019 de rompre avec le territoire pour reconnaître le gouvernement communiste basé à Pékin en tant que seul représentant légitime de la Chine.
Cette décision avait alors provoqué le ressentiment d’une partie de la population salomonienne qui entretenait des relations étroites avec Taipei.
La Chine a annoncé jeudi l’envoi aux îles Salomon de matériel anti-émeute et de conseillers policiers « sur demande » du pays insulaire, confronté le mois dernier à des violences anti-gouvernementales provoquées en partie par un sentiment anti-chinois.
Le mois dernier, des émeutes anti-gouvernementales avaient frappé la capitale Honiara. Trois personnes au moins avaient été tuées, 63 bâtiments brûlés ou pillés et le quartier chinois saccagé.
La crise a été alimentée par la pauvreté, le chômage et les rivalités inter-îles. Elle a été exacerbée par la décision du Premier ministre actuel, Manasseh Sogavare, de faire passer l’allégeance diplomatique des Salomon de Taïwan à Pékin en 2019.
« Sur demande du gouvernement des îles Salomon, la Chine va fournir d’urgence un lot de matériel anti-émeute et enverra une équipe temporaire de consultants de la police », a indiqué jeudi Zhao Lijian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
« Ils arriveront sous peu et joueront un rôle constructif pour l’amélioration des moyens de la police locale », a-t-il souligné devant la presse. « La Chine soutient fermement les efforts du gouvernement salomonien pour maintenir la stabilité. »
Le gouvernement des îles Salomon a indiqué dans un communiqué que Pékin dépêchera six « officiers de liaison » et fournira des boucliers, des casques, des matraques et d’autres équipements non létaux qui « renforceront les capacités de la police (…) face aux futures menaces ».
La Chine n’est pas le seul pays à fournir une aide au pays insulaire.
Environ 200 membres des forces de maintien de la paix venant d’Australie, des Fidji, de Nouvelle-Zélande et de Papouasie-Nouvelle-Guinée avaient été déployés aux îles Salomon. Elles ont entamé leur retrait cette semaine.
Le pays du Pacifique entretenait depuis 1983 des liens diplomatiques avec Taïwan. Il a choisi en 2019 de rompre avec le territoire pour reconnaître le gouvernement communiste basé à Pékin en tant que seul représentant légitime de la Chine.
Cette décision avait alors provoqué le ressentiment d’une partie de la population salomonienne qui entretenait des relations étroites avec Taipei.
La Chine a annoncé jeudi l’envoi aux îles Salomon de matériel anti-émeute et de conseillers policiers « sur demande » du pays insulaire, confronté le mois dernier à des violences anti-gouvernementales provoquées en partie par un sentiment anti-chinois.
Le mois dernier, des émeutes anti-gouvernementales avaient frappé la capitale Honiara. Trois personnes au moins avaient été tuées, 63 bâtiments brûlés ou pillés et le quartier chinois saccagé.
La crise a été alimentée par la pauvreté, le chômage et les rivalités inter-îles. Elle a été exacerbée par la décision du Premier ministre actuel, Manasseh Sogavare, de faire passer l’allégeance diplomatique des Salomon de Taïwan à Pékin en 2019.
« Sur demande du gouvernement des îles Salomon, la Chine va fournir d’urgence un lot de matériel anti-émeute et enverra une équipe temporaire de consultants de la police », a indiqué jeudi Zhao Lijian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
« Ils arriveront sous peu et joueront un rôle constructif pour l’amélioration des moyens de la police locale », a-t-il souligné devant la presse. « La Chine soutient fermement les efforts du gouvernement salomonien pour maintenir la stabilité. »
Le gouvernement des îles Salomon a indiqué dans un communiqué que Pékin dépêchera six « officiers de liaison » et fournira des boucliers, des casques, des matraques et d’autres équipements non létaux qui « renforceront les capacités de la police (…) face aux futures menaces ».
La Chine n’est pas le seul pays à fournir une aide au pays insulaire.
Environ 200 membres des forces de maintien de la paix venant d’Australie, des Fidji, de Nouvelle-Zélande et de Papouasie-Nouvelle-Guinée avaient été déployés aux îles Salomon. Elles ont entamé leur retrait cette semaine.
Le pays du Pacifique entretenait depuis 1983 des liens diplomatiques avec Taïwan. Il a choisi en 2019 de rompre avec le territoire pour reconnaître le gouvernement communiste basé à Pékin en tant que seul représentant légitime de la Chine.
Cette décision avait alors provoqué le ressentiment d’une partie de la population salomonienne qui entretenait des relations étroites avec Taipei.
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