En Belgique, un propriétaire dont les terres bordent la France a récemment déplacé la vieille borne en pierre qui marquait l’emplacement précis de la frontière, repoussant de fait les limites du pays au mépris d’un traité international de 1820.
Ce résident belge, devenu récemment propriétaire de plusieurs hectares en bordure du bois de Bousignies (France), voulait visiblement profiter du calme des lieux pour agrandir encore son terrain, selon l’élu.
« Reculer la borne de 2 mètres 20, évidemment ça agrandissait sa propriété », dit David Lavaux.
« Ce à quoi il ne s’attendait pas, c’est que cette borne avait été géolocalisée avec beaucoup de précision en 2019. Il a donc été facile de prouver qu’elle avait bougé », poursuit-il.
La découverte, qui remonte à un mois environ, est due à des passionnés français qui recensent ces marques historiques de la relation franco-belge, et des limites posées entre voisins.
Sur ces bornes en pierre a été gravé le chiffre « 1819 », leur année de création, avec sur les faces latérales un F pour le royaume de France et, de l’autre côté, un N (Nederland) pour celui des Pays-Bas.
La Belgique, créée en 1830, n’existait pas encore à l’époque comme royaume indépendant. Après la défaite de Napoléon Ier en 1815 à Waterloo (au sud de Bruxelles), le territoire était revenu sous la domination de la couronne néerlandaise.
En 1820, un Traité dit des « Limites » est signé à Courtrai (dans l’actuelle Belgique néerlandophone) pour inscrire noir sur blanc ce tracé de frontière… Qui n’avait semble-t-il pas bougé jusqu’au geste malheureux d’Erquelinnes.
Mais selon David Lavaux, un rendez-vous a été fixé avec le propriétaire pour lui demander de réparer son forfait rapidement.
« On va avoir un contact avec lui avant la fin de la semaine. On va lui demander de remettre la borne à son emplacement initial. S’il le fait, on n’en parle plus », a assuré l’élu.
En Belgique, un propriétaire dont les terres bordent la France a récemment déplacé la vieille borne en pierre qui marquait l’emplacement précis de la frontière, repoussant de fait les limites du pays au mépris d’un traité international de 1820.
Ce résident belge, devenu récemment propriétaire de plusieurs hectares en bordure du bois de Bousignies (France), voulait visiblement profiter du calme des lieux pour agrandir encore son terrain, selon l’élu.
« Reculer la borne de 2 mètres 20, évidemment ça agrandissait sa propriété », dit David Lavaux.
« Ce à quoi il ne s’attendait pas, c’est que cette borne avait été géolocalisée avec beaucoup de précision en 2019. Il a donc été facile de prouver qu’elle avait bougé », poursuit-il.
La découverte, qui remonte à un mois environ, est due à des passionnés français qui recensent ces marques historiques de la relation franco-belge, et des limites posées entre voisins.
Sur ces bornes en pierre a été gravé le chiffre « 1819 », leur année de création, avec sur les faces latérales un F pour le royaume de France et, de l’autre côté, un N (Nederland) pour celui des Pays-Bas.
La Belgique, créée en 1830, n’existait pas encore à l’époque comme royaume indépendant. Après la défaite de Napoléon Ier en 1815 à Waterloo (au sud de Bruxelles), le territoire était revenu sous la domination de la couronne néerlandaise.
En 1820, un Traité dit des « Limites » est signé à Courtrai (dans l’actuelle Belgique néerlandophone) pour inscrire noir sur blanc ce tracé de frontière… Qui n’avait semble-t-il pas bougé jusqu’au geste malheureux d’Erquelinnes.
Mais selon David Lavaux, un rendez-vous a été fixé avec le propriétaire pour lui demander de réparer son forfait rapidement.
« On va avoir un contact avec lui avant la fin de la semaine. On va lui demander de remettre la borne à son emplacement initial. S’il le fait, on n’en parle plus », a assuré l’élu.
En Belgique, un propriétaire dont les terres bordent la France a récemment déplacé la vieille borne en pierre qui marquait l’emplacement précis de la frontière, repoussant de fait les limites du pays au mépris d’un traité international de 1820.
Ce résident belge, devenu récemment propriétaire de plusieurs hectares en bordure du bois de Bousignies (France), voulait visiblement profiter du calme des lieux pour agrandir encore son terrain, selon l’élu.
« Reculer la borne de 2 mètres 20, évidemment ça agrandissait sa propriété », dit David Lavaux.
« Ce à quoi il ne s’attendait pas, c’est que cette borne avait été géolocalisée avec beaucoup de précision en 2019. Il a donc été facile de prouver qu’elle avait bougé », poursuit-il.
La découverte, qui remonte à un mois environ, est due à des passionnés français qui recensent ces marques historiques de la relation franco-belge, et des limites posées entre voisins.
Sur ces bornes en pierre a été gravé le chiffre « 1819 », leur année de création, avec sur les faces latérales un F pour le royaume de France et, de l’autre côté, un N (Nederland) pour celui des Pays-Bas.
La Belgique, créée en 1830, n’existait pas encore à l’époque comme royaume indépendant. Après la défaite de Napoléon Ier en 1815 à Waterloo (au sud de Bruxelles), le territoire était revenu sous la domination de la couronne néerlandaise.
En 1820, un Traité dit des « Limites » est signé à Courtrai (dans l’actuelle Belgique néerlandophone) pour inscrire noir sur blanc ce tracé de frontière… Qui n’avait semble-t-il pas bougé jusqu’au geste malheureux d’Erquelinnes.
Mais selon David Lavaux, un rendez-vous a été fixé avec le propriétaire pour lui demander de réparer son forfait rapidement.
« On va avoir un contact avec lui avant la fin de la semaine. On va lui demander de remettre la borne à son emplacement initial. S’il le fait, on n’en parle plus », a assuré l’élu.
En Belgique, un propriétaire dont les terres bordent la France a récemment déplacé la vieille borne en pierre qui marquait l’emplacement précis de la frontière, repoussant de fait les limites du pays au mépris d’un traité international de 1820.
Ce résident belge, devenu récemment propriétaire de plusieurs hectares en bordure du bois de Bousignies (France), voulait visiblement profiter du calme des lieux pour agrandir encore son terrain, selon l’élu.
« Reculer la borne de 2 mètres 20, évidemment ça agrandissait sa propriété », dit David Lavaux.
« Ce à quoi il ne s’attendait pas, c’est que cette borne avait été géolocalisée avec beaucoup de précision en 2019. Il a donc été facile de prouver qu’elle avait bougé », poursuit-il.
La découverte, qui remonte à un mois environ, est due à des passionnés français qui recensent ces marques historiques de la relation franco-belge, et des limites posées entre voisins.
Sur ces bornes en pierre a été gravé le chiffre « 1819 », leur année de création, avec sur les faces latérales un F pour le royaume de France et, de l’autre côté, un N (Nederland) pour celui des Pays-Bas.
La Belgique, créée en 1830, n’existait pas encore à l’époque comme royaume indépendant. Après la défaite de Napoléon Ier en 1815 à Waterloo (au sud de Bruxelles), le territoire était revenu sous la domination de la couronne néerlandaise.
En 1820, un Traité dit des « Limites » est signé à Courtrai (dans l’actuelle Belgique néerlandophone) pour inscrire noir sur blanc ce tracé de frontière… Qui n’avait semble-t-il pas bougé jusqu’au geste malheureux d’Erquelinnes.
Mais selon David Lavaux, un rendez-vous a été fixé avec le propriétaire pour lui demander de réparer son forfait rapidement.
« On va avoir un contact avec lui avant la fin de la semaine. On va lui demander de remettre la borne à son emplacement initial. S’il le fait, on n’en parle plus », a assuré l’élu.
En Belgique, un propriétaire dont les terres bordent la France a récemment déplacé la vieille borne en pierre qui marquait l’emplacement précis de la frontière, repoussant de fait les limites du pays au mépris d’un traité international de 1820.
Ce résident belge, devenu récemment propriétaire de plusieurs hectares en bordure du bois de Bousignies (France), voulait visiblement profiter du calme des lieux pour agrandir encore son terrain, selon l’élu.
« Reculer la borne de 2 mètres 20, évidemment ça agrandissait sa propriété », dit David Lavaux.
« Ce à quoi il ne s’attendait pas, c’est que cette borne avait été géolocalisée avec beaucoup de précision en 2019. Il a donc été facile de prouver qu’elle avait bougé », poursuit-il.
La découverte, qui remonte à un mois environ, est due à des passionnés français qui recensent ces marques historiques de la relation franco-belge, et des limites posées entre voisins.
Sur ces bornes en pierre a été gravé le chiffre « 1819 », leur année de création, avec sur les faces latérales un F pour le royaume de France et, de l’autre côté, un N (Nederland) pour celui des Pays-Bas.
La Belgique, créée en 1830, n’existait pas encore à l’époque comme royaume indépendant. Après la défaite de Napoléon Ier en 1815 à Waterloo (au sud de Bruxelles), le territoire était revenu sous la domination de la couronne néerlandaise.
En 1820, un Traité dit des « Limites » est signé à Courtrai (dans l’actuelle Belgique néerlandophone) pour inscrire noir sur blanc ce tracé de frontière… Qui n’avait semble-t-il pas bougé jusqu’au geste malheureux d’Erquelinnes.
Mais selon David Lavaux, un rendez-vous a été fixé avec le propriétaire pour lui demander de réparer son forfait rapidement.
« On va avoir un contact avec lui avant la fin de la semaine. On va lui demander de remettre la borne à son emplacement initial. S’il le fait, on n’en parle plus », a assuré l’élu.
En Belgique, un propriétaire dont les terres bordent la France a récemment déplacé la vieille borne en pierre qui marquait l’emplacement précis de la frontière, repoussant de fait les limites du pays au mépris d’un traité international de 1820.
Ce résident belge, devenu récemment propriétaire de plusieurs hectares en bordure du bois de Bousignies (France), voulait visiblement profiter du calme des lieux pour agrandir encore son terrain, selon l’élu.
« Reculer la borne de 2 mètres 20, évidemment ça agrandissait sa propriété », dit David Lavaux.
« Ce à quoi il ne s’attendait pas, c’est que cette borne avait été géolocalisée avec beaucoup de précision en 2019. Il a donc été facile de prouver qu’elle avait bougé », poursuit-il.
La découverte, qui remonte à un mois environ, est due à des passionnés français qui recensent ces marques historiques de la relation franco-belge, et des limites posées entre voisins.
Sur ces bornes en pierre a été gravé le chiffre « 1819 », leur année de création, avec sur les faces latérales un F pour le royaume de France et, de l’autre côté, un N (Nederland) pour celui des Pays-Bas.
La Belgique, créée en 1830, n’existait pas encore à l’époque comme royaume indépendant. Après la défaite de Napoléon Ier en 1815 à Waterloo (au sud de Bruxelles), le territoire était revenu sous la domination de la couronne néerlandaise.
En 1820, un Traité dit des « Limites » est signé à Courtrai (dans l’actuelle Belgique néerlandophone) pour inscrire noir sur blanc ce tracé de frontière… Qui n’avait semble-t-il pas bougé jusqu’au geste malheureux d’Erquelinnes.
Mais selon David Lavaux, un rendez-vous a été fixé avec le propriétaire pour lui demander de réparer son forfait rapidement.
« On va avoir un contact avec lui avant la fin de la semaine. On va lui demander de remettre la borne à son emplacement initial. S’il le fait, on n’en parle plus », a assuré l’élu.
En Belgique, un propriétaire dont les terres bordent la France a récemment déplacé la vieille borne en pierre qui marquait l’emplacement précis de la frontière, repoussant de fait les limites du pays au mépris d’un traité international de 1820.
Ce résident belge, devenu récemment propriétaire de plusieurs hectares en bordure du bois de Bousignies (France), voulait visiblement profiter du calme des lieux pour agrandir encore son terrain, selon l’élu.
« Reculer la borne de 2 mètres 20, évidemment ça agrandissait sa propriété », dit David Lavaux.
« Ce à quoi il ne s’attendait pas, c’est que cette borne avait été géolocalisée avec beaucoup de précision en 2019. Il a donc été facile de prouver qu’elle avait bougé », poursuit-il.
La découverte, qui remonte à un mois environ, est due à des passionnés français qui recensent ces marques historiques de la relation franco-belge, et des limites posées entre voisins.
Sur ces bornes en pierre a été gravé le chiffre « 1819 », leur année de création, avec sur les faces latérales un F pour le royaume de France et, de l’autre côté, un N (Nederland) pour celui des Pays-Bas.
La Belgique, créée en 1830, n’existait pas encore à l’époque comme royaume indépendant. Après la défaite de Napoléon Ier en 1815 à Waterloo (au sud de Bruxelles), le territoire était revenu sous la domination de la couronne néerlandaise.
En 1820, un Traité dit des « Limites » est signé à Courtrai (dans l’actuelle Belgique néerlandophone) pour inscrire noir sur blanc ce tracé de frontière… Qui n’avait semble-t-il pas bougé jusqu’au geste malheureux d’Erquelinnes.
Mais selon David Lavaux, un rendez-vous a été fixé avec le propriétaire pour lui demander de réparer son forfait rapidement.
« On va avoir un contact avec lui avant la fin de la semaine. On va lui demander de remettre la borne à son emplacement initial. S’il le fait, on n’en parle plus », a assuré l’élu.
En Belgique, un propriétaire dont les terres bordent la France a récemment déplacé la vieille borne en pierre qui marquait l’emplacement précis de la frontière, repoussant de fait les limites du pays au mépris d’un traité international de 1820.
Ce résident belge, devenu récemment propriétaire de plusieurs hectares en bordure du bois de Bousignies (France), voulait visiblement profiter du calme des lieux pour agrandir encore son terrain, selon l’élu.
« Reculer la borne de 2 mètres 20, évidemment ça agrandissait sa propriété », dit David Lavaux.
« Ce à quoi il ne s’attendait pas, c’est que cette borne avait été géolocalisée avec beaucoup de précision en 2019. Il a donc été facile de prouver qu’elle avait bougé », poursuit-il.
La découverte, qui remonte à un mois environ, est due à des passionnés français qui recensent ces marques historiques de la relation franco-belge, et des limites posées entre voisins.
Sur ces bornes en pierre a été gravé le chiffre « 1819 », leur année de création, avec sur les faces latérales un F pour le royaume de France et, de l’autre côté, un N (Nederland) pour celui des Pays-Bas.
La Belgique, créée en 1830, n’existait pas encore à l’époque comme royaume indépendant. Après la défaite de Napoléon Ier en 1815 à Waterloo (au sud de Bruxelles), le territoire était revenu sous la domination de la couronne néerlandaise.
En 1820, un Traité dit des « Limites » est signé à Courtrai (dans l’actuelle Belgique néerlandophone) pour inscrire noir sur blanc ce tracé de frontière… Qui n’avait semble-t-il pas bougé jusqu’au geste malheureux d’Erquelinnes.
Mais selon David Lavaux, un rendez-vous a été fixé avec le propriétaire pour lui demander de réparer son forfait rapidement.
« On va avoir un contact avec lui avant la fin de la semaine. On va lui demander de remettre la borne à son emplacement initial. S’il le fait, on n’en parle plus », a assuré l’élu.
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