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Home » AFP » En Australie, les communautés minoritaires mènent la charge de la vaccination

En Australie, les communautés minoritaires mènent la charge de la vaccination

AFP AFP
septembre 13, 2021
Temps de lecture: 3 mins
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This picture taken on August 26, 2021, shows members of the local Sikh community waiting for their turn to get Pfizer vaccine dose inside a Glenwood Sikh Temple in Sydney. (Photo by Saeed KHAN / AFP) / TO GO WITH: HEALTH-VIRUS-AUSTRALIA-MINORITIES, FOCUS BY ANDREW LEESON, WITH NAJMA SAMBUL IN MELBOURNE - TO GO WITH: Health-virus-Australia-minorities, FOCUS by Andrew LEESON, with Najma Sambul in Melbourne

This picture taken on August 26, 2021, shows members of the local Sikh community waiting for their turn to get Pfizer vaccine dose inside a Glenwood Sikh Temple in Sydney. (Photo by Saeed KHAN / AFP) / TO GO WITH: HEALTH-VIRUS-AUSTRALIA-MINORITIES, FOCUS BY ANDREW LEESON, WITH NAJMA SAMBUL IN MELBOURNE - TO GO WITH: Health-virus-Australia-minorities, FOCUS by Andrew LEESON, with Najma Sambul in Melbourne

Dans les villes australiennes touchées par le Covid, des groupes communautaires luttent contre la désinformation dans plusieurs langues, et s’efforcent de vacciner les gens pour les sortir d’un isolement « traumatique ».

Sous les minarets d’une mosquée de l’ouest de Sydney, 500 personnes ont pris rendez-vous pour se faire vacciner dans une clinique éphémère, illustration d’un réseau florissant d’initiatives prises par des communautés minoritaires pour tenter de combler le vide laissé par l’administration australienne, essentiellement anglo-centrée.

Beaucoup n’étaient pas restés si longtemps hors de chez eux depuis plusieurs semaines.

« Ils veulent juste retourner au travail, retourner à la vie », soupire Omar Moussawel, qui s’est fait vacciner en espérant voir bientôt la fin du confinement de Sydney, qui dure depuis près de trois mois.

Au moment où l’épidémie s’est propagée à Sydney fin juin, le manque de doses a rendu les efforts nationaux de vaccination extrêmement lents. Les craintes et la désinformation, notamment sur le vaccin d’AstraZeneca, se sont facilement répandues.

– Dissiper les mythes –

Khaled Kamalmaz, coordinateur santé de l’Association musulmane libanaise, se souvient que des rumeurs se sont rapidement propagées dans toutes les langues.

Le groupe a fait appel à des cheikhs et à des chefs religieux, qui se sont fait vacciner pour montrer l’exemple et contrer la désinformation.

Les communautés se sont également associées aux autorités locales, de plus en plus sensibilisées à la question.

Quinn On, un pharmacien qui fournit les importantes communautés chinoises et vietnamiennes de Sydney, a constaté un problème similaire.

« Le bouche à oreille est très puissant ici », explique-t-il à l’AFP. « On a une forte population âgée, encore très réticente à se faire vacciner, surtout avec l’AstraZeneca ».

Andre Renzaho, un chercheur de l’Université de Western Sydney, estime que « le gouvernement n’a toujours pas joué un rôle suffisant pour dissiper ces mythes ».

« Je peux garantir que l’impact de WhatsApp, Messenger, TikTok au sein des communautés (minoritaires) est bien plus important que ce que le gouvernement peut imaginer », dit-il.

– Retournement de situation –

La pandémie continue de toucher de façon différente les riches et les pauvres, exposant des fossés ethniques et culturels qui pourraient être longs à combler.

À Melbourne, cinq millions d’habitants vivent en ce moment leur sixième confinement depuis le début de la pandémie.

Dans les zones les plus touchées, de nombreux habitants ne peuvent pas travailler à domicile. Des groupes familiaux très soudés dépendent les uns des autres pour leurs besoins les plus élémentaires.

En juillet 2020, au pic de l’épidémie dans cette ville du sud-est, Mohamud Omar, 31 ans, faisait partie des centaines de résidents de tours de logements publics placés en « confinement strict ».

Il a passé cinq jours dans son appartement avec sa femme et son enfant d’un an, sans pouvoir quitter son domicile pour quelque raison que ce soit.

N’ayant aucun moyen d’obtenir de la nourriture et des fournitures adaptées pour sa famille, il s’est appuyé sur les organisations communautaires locales.

« Nous avons été traités différemment. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités et s’excuser », se plaint-il.

Mais même si l’épidémie de Sydney s’est aggravée, atteignant plus de mille cas par jour, les efforts de la communauté portent leurs fruits et l’hésitation à se faire vacciner a lentement cédé la place à la demande.

Les régions comptant d’importantes populations minoritaires sont parmi celles qui mènent la charge de la vaccination. M. On et son équipe ont réalisé plus de 3.000 injections en moins d’un mois.

La Nouvelle-Galles du Sud est désormais le premier Etat du pays en termes de taux de vaccination, et il ne reste que quelques semaines avant que 70% des adultes soient complètement vaccinés, ce qui permettrait de mettre fin au confinement.

Moustafa Fahour, fondateur du Musée islamique d’Australie, a passé des centaines d’appels par jour avec une petite équipe de bénévoles, aidant les gens à accéder à toutes sortes de choses, depuis les aides gouvernementales jusqu’aux conseils sur l’enseignement à domicile.

« La communauté se lève de son propre chef, estime-t-il, « certains avec le soutien du gouvernement, pour vraiment combattre et s’attaquer aux écarts linguistiques ».

Dans les villes australiennes touchées par le Covid, des groupes communautaires luttent contre la désinformation dans plusieurs langues, et s’efforcent de vacciner les gens pour les sortir d’un isolement « traumatique ».

Sous les minarets d’une mosquée de l’ouest de Sydney, 500 personnes ont pris rendez-vous pour se faire vacciner dans une clinique éphémère, illustration d’un réseau florissant d’initiatives prises par des communautés minoritaires pour tenter de combler le vide laissé par l’administration australienne, essentiellement anglo-centrée.

Beaucoup n’étaient pas restés si longtemps hors de chez eux depuis plusieurs semaines.

« Ils veulent juste retourner au travail, retourner à la vie », soupire Omar Moussawel, qui s’est fait vacciner en espérant voir bientôt la fin du confinement de Sydney, qui dure depuis près de trois mois.

Au moment où l’épidémie s’est propagée à Sydney fin juin, le manque de doses a rendu les efforts nationaux de vaccination extrêmement lents. Les craintes et la désinformation, notamment sur le vaccin d’AstraZeneca, se sont facilement répandues.

– Dissiper les mythes –

Khaled Kamalmaz, coordinateur santé de l’Association musulmane libanaise, se souvient que des rumeurs se sont rapidement propagées dans toutes les langues.

Le groupe a fait appel à des cheikhs et à des chefs religieux, qui se sont fait vacciner pour montrer l’exemple et contrer la désinformation.

Les communautés se sont également associées aux autorités locales, de plus en plus sensibilisées à la question.

Quinn On, un pharmacien qui fournit les importantes communautés chinoises et vietnamiennes de Sydney, a constaté un problème similaire.

« Le bouche à oreille est très puissant ici », explique-t-il à l’AFP. « On a une forte population âgée, encore très réticente à se faire vacciner, surtout avec l’AstraZeneca ».

Andre Renzaho, un chercheur de l’Université de Western Sydney, estime que « le gouvernement n’a toujours pas joué un rôle suffisant pour dissiper ces mythes ».

« Je peux garantir que l’impact de WhatsApp, Messenger, TikTok au sein des communautés (minoritaires) est bien plus important que ce que le gouvernement peut imaginer », dit-il.

– Retournement de situation –

La pandémie continue de toucher de façon différente les riches et les pauvres, exposant des fossés ethniques et culturels qui pourraient être longs à combler.

À Melbourne, cinq millions d’habitants vivent en ce moment leur sixième confinement depuis le début de la pandémie.

Dans les zones les plus touchées, de nombreux habitants ne peuvent pas travailler à domicile. Des groupes familiaux très soudés dépendent les uns des autres pour leurs besoins les plus élémentaires.

En juillet 2020, au pic de l’épidémie dans cette ville du sud-est, Mohamud Omar, 31 ans, faisait partie des centaines de résidents de tours de logements publics placés en « confinement strict ».

Il a passé cinq jours dans son appartement avec sa femme et son enfant d’un an, sans pouvoir quitter son domicile pour quelque raison que ce soit.

N’ayant aucun moyen d’obtenir de la nourriture et des fournitures adaptées pour sa famille, il s’est appuyé sur les organisations communautaires locales.

« Nous avons été traités différemment. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités et s’excuser », se plaint-il.

Mais même si l’épidémie de Sydney s’est aggravée, atteignant plus de mille cas par jour, les efforts de la communauté portent leurs fruits et l’hésitation à se faire vacciner a lentement cédé la place à la demande.

Les régions comptant d’importantes populations minoritaires sont parmi celles qui mènent la charge de la vaccination. M. On et son équipe ont réalisé plus de 3.000 injections en moins d’un mois.

La Nouvelle-Galles du Sud est désormais le premier Etat du pays en termes de taux de vaccination, et il ne reste que quelques semaines avant que 70% des adultes soient complètement vaccinés, ce qui permettrait de mettre fin au confinement.

Moustafa Fahour, fondateur du Musée islamique d’Australie, a passé des centaines d’appels par jour avec une petite équipe de bénévoles, aidant les gens à accéder à toutes sortes de choses, depuis les aides gouvernementales jusqu’aux conseils sur l’enseignement à domicile.

« La communauté se lève de son propre chef, estime-t-il, « certains avec le soutien du gouvernement, pour vraiment combattre et s’attaquer aux écarts linguistiques ».

Dans les villes australiennes touchées par le Covid, des groupes communautaires luttent contre la désinformation dans plusieurs langues, et s’efforcent de vacciner les gens pour les sortir d’un isolement « traumatique ».

Sous les minarets d’une mosquée de l’ouest de Sydney, 500 personnes ont pris rendez-vous pour se faire vacciner dans une clinique éphémère, illustration d’un réseau florissant d’initiatives prises par des communautés minoritaires pour tenter de combler le vide laissé par l’administration australienne, essentiellement anglo-centrée.

Beaucoup n’étaient pas restés si longtemps hors de chez eux depuis plusieurs semaines.

« Ils veulent juste retourner au travail, retourner à la vie », soupire Omar Moussawel, qui s’est fait vacciner en espérant voir bientôt la fin du confinement de Sydney, qui dure depuis près de trois mois.

Au moment où l’épidémie s’est propagée à Sydney fin juin, le manque de doses a rendu les efforts nationaux de vaccination extrêmement lents. Les craintes et la désinformation, notamment sur le vaccin d’AstraZeneca, se sont facilement répandues.

– Dissiper les mythes –

Khaled Kamalmaz, coordinateur santé de l’Association musulmane libanaise, se souvient que des rumeurs se sont rapidement propagées dans toutes les langues.

Le groupe a fait appel à des cheikhs et à des chefs religieux, qui se sont fait vacciner pour montrer l’exemple et contrer la désinformation.

Les communautés se sont également associées aux autorités locales, de plus en plus sensibilisées à la question.

Quinn On, un pharmacien qui fournit les importantes communautés chinoises et vietnamiennes de Sydney, a constaté un problème similaire.

« Le bouche à oreille est très puissant ici », explique-t-il à l’AFP. « On a une forte population âgée, encore très réticente à se faire vacciner, surtout avec l’AstraZeneca ».

Andre Renzaho, un chercheur de l’Université de Western Sydney, estime que « le gouvernement n’a toujours pas joué un rôle suffisant pour dissiper ces mythes ».

« Je peux garantir que l’impact de WhatsApp, Messenger, TikTok au sein des communautés (minoritaires) est bien plus important que ce que le gouvernement peut imaginer », dit-il.

– Retournement de situation –

La pandémie continue de toucher de façon différente les riches et les pauvres, exposant des fossés ethniques et culturels qui pourraient être longs à combler.

À Melbourne, cinq millions d’habitants vivent en ce moment leur sixième confinement depuis le début de la pandémie.

Dans les zones les plus touchées, de nombreux habitants ne peuvent pas travailler à domicile. Des groupes familiaux très soudés dépendent les uns des autres pour leurs besoins les plus élémentaires.

En juillet 2020, au pic de l’épidémie dans cette ville du sud-est, Mohamud Omar, 31 ans, faisait partie des centaines de résidents de tours de logements publics placés en « confinement strict ».

Il a passé cinq jours dans son appartement avec sa femme et son enfant d’un an, sans pouvoir quitter son domicile pour quelque raison que ce soit.

N’ayant aucun moyen d’obtenir de la nourriture et des fournitures adaptées pour sa famille, il s’est appuyé sur les organisations communautaires locales.

« Nous avons été traités différemment. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités et s’excuser », se plaint-il.

Mais même si l’épidémie de Sydney s’est aggravée, atteignant plus de mille cas par jour, les efforts de la communauté portent leurs fruits et l’hésitation à se faire vacciner a lentement cédé la place à la demande.

Les régions comptant d’importantes populations minoritaires sont parmi celles qui mènent la charge de la vaccination. M. On et son équipe ont réalisé plus de 3.000 injections en moins d’un mois.

La Nouvelle-Galles du Sud est désormais le premier Etat du pays en termes de taux de vaccination, et il ne reste que quelques semaines avant que 70% des adultes soient complètement vaccinés, ce qui permettrait de mettre fin au confinement.

Moustafa Fahour, fondateur du Musée islamique d’Australie, a passé des centaines d’appels par jour avec une petite équipe de bénévoles, aidant les gens à accéder à toutes sortes de choses, depuis les aides gouvernementales jusqu’aux conseils sur l’enseignement à domicile.

« La communauté se lève de son propre chef, estime-t-il, « certains avec le soutien du gouvernement, pour vraiment combattre et s’attaquer aux écarts linguistiques ».

Dans les villes australiennes touchées par le Covid, des groupes communautaires luttent contre la désinformation dans plusieurs langues, et s’efforcent de vacciner les gens pour les sortir d’un isolement « traumatique ».

Sous les minarets d’une mosquée de l’ouest de Sydney, 500 personnes ont pris rendez-vous pour se faire vacciner dans une clinique éphémère, illustration d’un réseau florissant d’initiatives prises par des communautés minoritaires pour tenter de combler le vide laissé par l’administration australienne, essentiellement anglo-centrée.

Beaucoup n’étaient pas restés si longtemps hors de chez eux depuis plusieurs semaines.

« Ils veulent juste retourner au travail, retourner à la vie », soupire Omar Moussawel, qui s’est fait vacciner en espérant voir bientôt la fin du confinement de Sydney, qui dure depuis près de trois mois.

Au moment où l’épidémie s’est propagée à Sydney fin juin, le manque de doses a rendu les efforts nationaux de vaccination extrêmement lents. Les craintes et la désinformation, notamment sur le vaccin d’AstraZeneca, se sont facilement répandues.

– Dissiper les mythes –

Khaled Kamalmaz, coordinateur santé de l’Association musulmane libanaise, se souvient que des rumeurs se sont rapidement propagées dans toutes les langues.

Le groupe a fait appel à des cheikhs et à des chefs religieux, qui se sont fait vacciner pour montrer l’exemple et contrer la désinformation.

Les communautés se sont également associées aux autorités locales, de plus en plus sensibilisées à la question.

Quinn On, un pharmacien qui fournit les importantes communautés chinoises et vietnamiennes de Sydney, a constaté un problème similaire.

« Le bouche à oreille est très puissant ici », explique-t-il à l’AFP. « On a une forte population âgée, encore très réticente à se faire vacciner, surtout avec l’AstraZeneca ».

Andre Renzaho, un chercheur de l’Université de Western Sydney, estime que « le gouvernement n’a toujours pas joué un rôle suffisant pour dissiper ces mythes ».

« Je peux garantir que l’impact de WhatsApp, Messenger, TikTok au sein des communautés (minoritaires) est bien plus important que ce que le gouvernement peut imaginer », dit-il.

– Retournement de situation –

La pandémie continue de toucher de façon différente les riches et les pauvres, exposant des fossés ethniques et culturels qui pourraient être longs à combler.

À Melbourne, cinq millions d’habitants vivent en ce moment leur sixième confinement depuis le début de la pandémie.

Dans les zones les plus touchées, de nombreux habitants ne peuvent pas travailler à domicile. Des groupes familiaux très soudés dépendent les uns des autres pour leurs besoins les plus élémentaires.

En juillet 2020, au pic de l’épidémie dans cette ville du sud-est, Mohamud Omar, 31 ans, faisait partie des centaines de résidents de tours de logements publics placés en « confinement strict ».

Il a passé cinq jours dans son appartement avec sa femme et son enfant d’un an, sans pouvoir quitter son domicile pour quelque raison que ce soit.

N’ayant aucun moyen d’obtenir de la nourriture et des fournitures adaptées pour sa famille, il s’est appuyé sur les organisations communautaires locales.

« Nous avons été traités différemment. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités et s’excuser », se plaint-il.

Mais même si l’épidémie de Sydney s’est aggravée, atteignant plus de mille cas par jour, les efforts de la communauté portent leurs fruits et l’hésitation à se faire vacciner a lentement cédé la place à la demande.

Les régions comptant d’importantes populations minoritaires sont parmi celles qui mènent la charge de la vaccination. M. On et son équipe ont réalisé plus de 3.000 injections en moins d’un mois.

La Nouvelle-Galles du Sud est désormais le premier Etat du pays en termes de taux de vaccination, et il ne reste que quelques semaines avant que 70% des adultes soient complètement vaccinés, ce qui permettrait de mettre fin au confinement.

Moustafa Fahour, fondateur du Musée islamique d’Australie, a passé des centaines d’appels par jour avec une petite équipe de bénévoles, aidant les gens à accéder à toutes sortes de choses, depuis les aides gouvernementales jusqu’aux conseils sur l’enseignement à domicile.

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Beaucoup n’étaient pas restés si longtemps hors de chez eux depuis plusieurs semaines.

« Ils veulent juste retourner au travail, retourner à la vie », soupire Omar Moussawel, qui s’est fait vacciner en espérant voir bientôt la fin du confinement de Sydney, qui dure depuis près de trois mois.

Au moment où l’épidémie s’est propagée à Sydney fin juin, le manque de doses a rendu les efforts nationaux de vaccination extrêmement lents. Les craintes et la désinformation, notamment sur le vaccin d’AstraZeneca, se sont facilement répandues.

– Dissiper les mythes –

Khaled Kamalmaz, coordinateur santé de l’Association musulmane libanaise, se souvient que des rumeurs se sont rapidement propagées dans toutes les langues.

Le groupe a fait appel à des cheikhs et à des chefs religieux, qui se sont fait vacciner pour montrer l’exemple et contrer la désinformation.

Les communautés se sont également associées aux autorités locales, de plus en plus sensibilisées à la question.

Quinn On, un pharmacien qui fournit les importantes communautés chinoises et vietnamiennes de Sydney, a constaté un problème similaire.

« Le bouche à oreille est très puissant ici », explique-t-il à l’AFP. « On a une forte population âgée, encore très réticente à se faire vacciner, surtout avec l’AstraZeneca ».

Andre Renzaho, un chercheur de l’Université de Western Sydney, estime que « le gouvernement n’a toujours pas joué un rôle suffisant pour dissiper ces mythes ».

« Je peux garantir que l’impact de WhatsApp, Messenger, TikTok au sein des communautés (minoritaires) est bien plus important que ce que le gouvernement peut imaginer », dit-il.

– Retournement de situation –

La pandémie continue de toucher de façon différente les riches et les pauvres, exposant des fossés ethniques et culturels qui pourraient être longs à combler.

À Melbourne, cinq millions d’habitants vivent en ce moment leur sixième confinement depuis le début de la pandémie.

Dans les zones les plus touchées, de nombreux habitants ne peuvent pas travailler à domicile. Des groupes familiaux très soudés dépendent les uns des autres pour leurs besoins les plus élémentaires.

En juillet 2020, au pic de l’épidémie dans cette ville du sud-est, Mohamud Omar, 31 ans, faisait partie des centaines de résidents de tours de logements publics placés en « confinement strict ».

Il a passé cinq jours dans son appartement avec sa femme et son enfant d’un an, sans pouvoir quitter son domicile pour quelque raison que ce soit.

N’ayant aucun moyen d’obtenir de la nourriture et des fournitures adaptées pour sa famille, il s’est appuyé sur les organisations communautaires locales.

« Nous avons été traités différemment. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités et s’excuser », se plaint-il.

Mais même si l’épidémie de Sydney s’est aggravée, atteignant plus de mille cas par jour, les efforts de la communauté portent leurs fruits et l’hésitation à se faire vacciner a lentement cédé la place à la demande.

Les régions comptant d’importantes populations minoritaires sont parmi celles qui mènent la charge de la vaccination. M. On et son équipe ont réalisé plus de 3.000 injections en moins d’un mois.

La Nouvelle-Galles du Sud est désormais le premier Etat du pays en termes de taux de vaccination, et il ne reste que quelques semaines avant que 70% des adultes soient complètement vaccinés, ce qui permettrait de mettre fin au confinement.

Moustafa Fahour, fondateur du Musée islamique d’Australie, a passé des centaines d’appels par jour avec une petite équipe de bénévoles, aidant les gens à accéder à toutes sortes de choses, depuis les aides gouvernementales jusqu’aux conseils sur l’enseignement à domicile.

« La communauté se lève de son propre chef, estime-t-il, « certains avec le soutien du gouvernement, pour vraiment combattre et s’attaquer aux écarts linguistiques ».

Dans les villes australiennes touchées par le Covid, des groupes communautaires luttent contre la désinformation dans plusieurs langues, et s’efforcent de vacciner les gens pour les sortir d’un isolement « traumatique ».

Sous les minarets d’une mosquée de l’ouest de Sydney, 500 personnes ont pris rendez-vous pour se faire vacciner dans une clinique éphémère, illustration d’un réseau florissant d’initiatives prises par des communautés minoritaires pour tenter de combler le vide laissé par l’administration australienne, essentiellement anglo-centrée.

Beaucoup n’étaient pas restés si longtemps hors de chez eux depuis plusieurs semaines.

« Ils veulent juste retourner au travail, retourner à la vie », soupire Omar Moussawel, qui s’est fait vacciner en espérant voir bientôt la fin du confinement de Sydney, qui dure depuis près de trois mois.

Au moment où l’épidémie s’est propagée à Sydney fin juin, le manque de doses a rendu les efforts nationaux de vaccination extrêmement lents. Les craintes et la désinformation, notamment sur le vaccin d’AstraZeneca, se sont facilement répandues.

– Dissiper les mythes –

Khaled Kamalmaz, coordinateur santé de l’Association musulmane libanaise, se souvient que des rumeurs se sont rapidement propagées dans toutes les langues.

Le groupe a fait appel à des cheikhs et à des chefs religieux, qui se sont fait vacciner pour montrer l’exemple et contrer la désinformation.

Les communautés se sont également associées aux autorités locales, de plus en plus sensibilisées à la question.

Quinn On, un pharmacien qui fournit les importantes communautés chinoises et vietnamiennes de Sydney, a constaté un problème similaire.

« Le bouche à oreille est très puissant ici », explique-t-il à l’AFP. « On a une forte population âgée, encore très réticente à se faire vacciner, surtout avec l’AstraZeneca ».

Andre Renzaho, un chercheur de l’Université de Western Sydney, estime que « le gouvernement n’a toujours pas joué un rôle suffisant pour dissiper ces mythes ».

« Je peux garantir que l’impact de WhatsApp, Messenger, TikTok au sein des communautés (minoritaires) est bien plus important que ce que le gouvernement peut imaginer », dit-il.

– Retournement de situation –

La pandémie continue de toucher de façon différente les riches et les pauvres, exposant des fossés ethniques et culturels qui pourraient être longs à combler.

À Melbourne, cinq millions d’habitants vivent en ce moment leur sixième confinement depuis le début de la pandémie.

Dans les zones les plus touchées, de nombreux habitants ne peuvent pas travailler à domicile. Des groupes familiaux très soudés dépendent les uns des autres pour leurs besoins les plus élémentaires.

En juillet 2020, au pic de l’épidémie dans cette ville du sud-est, Mohamud Omar, 31 ans, faisait partie des centaines de résidents de tours de logements publics placés en « confinement strict ».

Il a passé cinq jours dans son appartement avec sa femme et son enfant d’un an, sans pouvoir quitter son domicile pour quelque raison que ce soit.

N’ayant aucun moyen d’obtenir de la nourriture et des fournitures adaptées pour sa famille, il s’est appuyé sur les organisations communautaires locales.

« Nous avons été traités différemment. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités et s’excuser », se plaint-il.

Mais même si l’épidémie de Sydney s’est aggravée, atteignant plus de mille cas par jour, les efforts de la communauté portent leurs fruits et l’hésitation à se faire vacciner a lentement cédé la place à la demande.

Les régions comptant d’importantes populations minoritaires sont parmi celles qui mènent la charge de la vaccination. M. On et son équipe ont réalisé plus de 3.000 injections en moins d’un mois.

La Nouvelle-Galles du Sud est désormais le premier Etat du pays en termes de taux de vaccination, et il ne reste que quelques semaines avant que 70% des adultes soient complètement vaccinés, ce qui permettrait de mettre fin au confinement.

Moustafa Fahour, fondateur du Musée islamique d’Australie, a passé des centaines d’appels par jour avec une petite équipe de bénévoles, aidant les gens à accéder à toutes sortes de choses, depuis les aides gouvernementales jusqu’aux conseils sur l’enseignement à domicile.

« La communauté se lève de son propre chef, estime-t-il, « certains avec le soutien du gouvernement, pour vraiment combattre et s’attaquer aux écarts linguistiques ».

Dans les villes australiennes touchées par le Covid, des groupes communautaires luttent contre la désinformation dans plusieurs langues, et s’efforcent de vacciner les gens pour les sortir d’un isolement « traumatique ».

Sous les minarets d’une mosquée de l’ouest de Sydney, 500 personnes ont pris rendez-vous pour se faire vacciner dans une clinique éphémère, illustration d’un réseau florissant d’initiatives prises par des communautés minoritaires pour tenter de combler le vide laissé par l’administration australienne, essentiellement anglo-centrée.

Beaucoup n’étaient pas restés si longtemps hors de chez eux depuis plusieurs semaines.

« Ils veulent juste retourner au travail, retourner à la vie », soupire Omar Moussawel, qui s’est fait vacciner en espérant voir bientôt la fin du confinement de Sydney, qui dure depuis près de trois mois.

Au moment où l’épidémie s’est propagée à Sydney fin juin, le manque de doses a rendu les efforts nationaux de vaccination extrêmement lents. Les craintes et la désinformation, notamment sur le vaccin d’AstraZeneca, se sont facilement répandues.

– Dissiper les mythes –

Khaled Kamalmaz, coordinateur santé de l’Association musulmane libanaise, se souvient que des rumeurs se sont rapidement propagées dans toutes les langues.

Le groupe a fait appel à des cheikhs et à des chefs religieux, qui se sont fait vacciner pour montrer l’exemple et contrer la désinformation.

Les communautés se sont également associées aux autorités locales, de plus en plus sensibilisées à la question.

Quinn On, un pharmacien qui fournit les importantes communautés chinoises et vietnamiennes de Sydney, a constaté un problème similaire.

« Le bouche à oreille est très puissant ici », explique-t-il à l’AFP. « On a une forte population âgée, encore très réticente à se faire vacciner, surtout avec l’AstraZeneca ».

Andre Renzaho, un chercheur de l’Université de Western Sydney, estime que « le gouvernement n’a toujours pas joué un rôle suffisant pour dissiper ces mythes ».

« Je peux garantir que l’impact de WhatsApp, Messenger, TikTok au sein des communautés (minoritaires) est bien plus important que ce que le gouvernement peut imaginer », dit-il.

– Retournement de situation –

La pandémie continue de toucher de façon différente les riches et les pauvres, exposant des fossés ethniques et culturels qui pourraient être longs à combler.

À Melbourne, cinq millions d’habitants vivent en ce moment leur sixième confinement depuis le début de la pandémie.

Dans les zones les plus touchées, de nombreux habitants ne peuvent pas travailler à domicile. Des groupes familiaux très soudés dépendent les uns des autres pour leurs besoins les plus élémentaires.

En juillet 2020, au pic de l’épidémie dans cette ville du sud-est, Mohamud Omar, 31 ans, faisait partie des centaines de résidents de tours de logements publics placés en « confinement strict ».

Il a passé cinq jours dans son appartement avec sa femme et son enfant d’un an, sans pouvoir quitter son domicile pour quelque raison que ce soit.

N’ayant aucun moyen d’obtenir de la nourriture et des fournitures adaptées pour sa famille, il s’est appuyé sur les organisations communautaires locales.

« Nous avons été traités différemment. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités et s’excuser », se plaint-il.

Mais même si l’épidémie de Sydney s’est aggravée, atteignant plus de mille cas par jour, les efforts de la communauté portent leurs fruits et l’hésitation à se faire vacciner a lentement cédé la place à la demande.

Les régions comptant d’importantes populations minoritaires sont parmi celles qui mènent la charge de la vaccination. M. On et son équipe ont réalisé plus de 3.000 injections en moins d’un mois.

La Nouvelle-Galles du Sud est désormais le premier Etat du pays en termes de taux de vaccination, et il ne reste que quelques semaines avant que 70% des adultes soient complètement vaccinés, ce qui permettrait de mettre fin au confinement.

Moustafa Fahour, fondateur du Musée islamique d’Australie, a passé des centaines d’appels par jour avec une petite équipe de bénévoles, aidant les gens à accéder à toutes sortes de choses, depuis les aides gouvernementales jusqu’aux conseils sur l’enseignement à domicile.

« La communauté se lève de son propre chef, estime-t-il, « certains avec le soutien du gouvernement, pour vraiment combattre et s’attaquer aux écarts linguistiques ».

Dans les villes australiennes touchées par le Covid, des groupes communautaires luttent contre la désinformation dans plusieurs langues, et s’efforcent de vacciner les gens pour les sortir d’un isolement « traumatique ».

Sous les minarets d’une mosquée de l’ouest de Sydney, 500 personnes ont pris rendez-vous pour se faire vacciner dans une clinique éphémère, illustration d’un réseau florissant d’initiatives prises par des communautés minoritaires pour tenter de combler le vide laissé par l’administration australienne, essentiellement anglo-centrée.

Beaucoup n’étaient pas restés si longtemps hors de chez eux depuis plusieurs semaines.

« Ils veulent juste retourner au travail, retourner à la vie », soupire Omar Moussawel, qui s’est fait vacciner en espérant voir bientôt la fin du confinement de Sydney, qui dure depuis près de trois mois.

Au moment où l’épidémie s’est propagée à Sydney fin juin, le manque de doses a rendu les efforts nationaux de vaccination extrêmement lents. Les craintes et la désinformation, notamment sur le vaccin d’AstraZeneca, se sont facilement répandues.

– Dissiper les mythes –

Khaled Kamalmaz, coordinateur santé de l’Association musulmane libanaise, se souvient que des rumeurs se sont rapidement propagées dans toutes les langues.

Le groupe a fait appel à des cheikhs et à des chefs religieux, qui se sont fait vacciner pour montrer l’exemple et contrer la désinformation.

Les communautés se sont également associées aux autorités locales, de plus en plus sensibilisées à la question.

Quinn On, un pharmacien qui fournit les importantes communautés chinoises et vietnamiennes de Sydney, a constaté un problème similaire.

« Le bouche à oreille est très puissant ici », explique-t-il à l’AFP. « On a une forte population âgée, encore très réticente à se faire vacciner, surtout avec l’AstraZeneca ».

Andre Renzaho, un chercheur de l’Université de Western Sydney, estime que « le gouvernement n’a toujours pas joué un rôle suffisant pour dissiper ces mythes ».

« Je peux garantir que l’impact de WhatsApp, Messenger, TikTok au sein des communautés (minoritaires) est bien plus important que ce que le gouvernement peut imaginer », dit-il.

– Retournement de situation –

La pandémie continue de toucher de façon différente les riches et les pauvres, exposant des fossés ethniques et culturels qui pourraient être longs à combler.

À Melbourne, cinq millions d’habitants vivent en ce moment leur sixième confinement depuis le début de la pandémie.

Dans les zones les plus touchées, de nombreux habitants ne peuvent pas travailler à domicile. Des groupes familiaux très soudés dépendent les uns des autres pour leurs besoins les plus élémentaires.

En juillet 2020, au pic de l’épidémie dans cette ville du sud-est, Mohamud Omar, 31 ans, faisait partie des centaines de résidents de tours de logements publics placés en « confinement strict ».

Il a passé cinq jours dans son appartement avec sa femme et son enfant d’un an, sans pouvoir quitter son domicile pour quelque raison que ce soit.

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