Dix Etats membres de l’Union européenne, dont la France, ont publié dimanche une tribune soutenant l’énergie nucléaire, soulignant notamment qu’elle a un rôle à jouer contre le réchauffement climatique.
Ils considèrent donc « absolument indispensable que l’énergie nucléaire soit incluse dans le cadre de la taxonomie européenne avant la fin de cette année », c’est-à-dire dans la liste des énergies considérées comme vertueuses à la fois pour le climat et l’environnement que la Commission doit proposer dans les prochains mois.
Cette classification ouvrira l’accès à la finance verte et donnera un avantage compétitif aux filières reconnues.
Le sujet divise les Etats membres. Si la France, la Pologne et la République tchèque défendent l’atome, des pays comme l’Allemagne et l’Autriche y sont farouchement opposés, à l’instar de nombreuses ONG qui y voient une technologie risquée.
Les signataires de la tribune vantent par ailleurs l’intérêt économique de l’industrie nucléaire, dont le développement pourrait, selon eux, « générer près d’un million d’emplois très qualifiés en Europe ».
Pour la France, cette tribune est l’occasion de mettre en avant son choix de miser sur le nucléaire, sujet à de nombreux débats, à deux jours du dévoilement par Emmanuel Macron du plan d’investissement de plusieurs dizaines de milliards d’euros « France 2030 », où cette industrie devrait figurer en bonne place.
Le chef de l’Etat est notamment attendu sur la question du développement des petits réacteurs nucléaires, dits SMR (« small modular reactors »).
Dix Etats membres de l’Union européenne, dont la France, ont publié dimanche une tribune soutenant l’énergie nucléaire, soulignant notamment qu’elle a un rôle à jouer contre le réchauffement climatique.
Ils considèrent donc « absolument indispensable que l’énergie nucléaire soit incluse dans le cadre de la taxonomie européenne avant la fin de cette année », c’est-à-dire dans la liste des énergies considérées comme vertueuses à la fois pour le climat et l’environnement que la Commission doit proposer dans les prochains mois.
Cette classification ouvrira l’accès à la finance verte et donnera un avantage compétitif aux filières reconnues.
Le sujet divise les Etats membres. Si la France, la Pologne et la République tchèque défendent l’atome, des pays comme l’Allemagne et l’Autriche y sont farouchement opposés, à l’instar de nombreuses ONG qui y voient une technologie risquée.
Les signataires de la tribune vantent par ailleurs l’intérêt économique de l’industrie nucléaire, dont le développement pourrait, selon eux, « générer près d’un million d’emplois très qualifiés en Europe ».
Pour la France, cette tribune est l’occasion de mettre en avant son choix de miser sur le nucléaire, sujet à de nombreux débats, à deux jours du dévoilement par Emmanuel Macron du plan d’investissement de plusieurs dizaines de milliards d’euros « France 2030 », où cette industrie devrait figurer en bonne place.
Le chef de l’Etat est notamment attendu sur la question du développement des petits réacteurs nucléaires, dits SMR (« small modular reactors »).
Dix Etats membres de l’Union européenne, dont la France, ont publié dimanche une tribune soutenant l’énergie nucléaire, soulignant notamment qu’elle a un rôle à jouer contre le réchauffement climatique.
Ils considèrent donc « absolument indispensable que l’énergie nucléaire soit incluse dans le cadre de la taxonomie européenne avant la fin de cette année », c’est-à-dire dans la liste des énergies considérées comme vertueuses à la fois pour le climat et l’environnement que la Commission doit proposer dans les prochains mois.
Cette classification ouvrira l’accès à la finance verte et donnera un avantage compétitif aux filières reconnues.
Le sujet divise les Etats membres. Si la France, la Pologne et la République tchèque défendent l’atome, des pays comme l’Allemagne et l’Autriche y sont farouchement opposés, à l’instar de nombreuses ONG qui y voient une technologie risquée.
Les signataires de la tribune vantent par ailleurs l’intérêt économique de l’industrie nucléaire, dont le développement pourrait, selon eux, « générer près d’un million d’emplois très qualifiés en Europe ».
Pour la France, cette tribune est l’occasion de mettre en avant son choix de miser sur le nucléaire, sujet à de nombreux débats, à deux jours du dévoilement par Emmanuel Macron du plan d’investissement de plusieurs dizaines de milliards d’euros « France 2030 », où cette industrie devrait figurer en bonne place.
Le chef de l’Etat est notamment attendu sur la question du développement des petits réacteurs nucléaires, dits SMR (« small modular reactors »).
Dix Etats membres de l’Union européenne, dont la France, ont publié dimanche une tribune soutenant l’énergie nucléaire, soulignant notamment qu’elle a un rôle à jouer contre le réchauffement climatique.
Ils considèrent donc « absolument indispensable que l’énergie nucléaire soit incluse dans le cadre de la taxonomie européenne avant la fin de cette année », c’est-à-dire dans la liste des énergies considérées comme vertueuses à la fois pour le climat et l’environnement que la Commission doit proposer dans les prochains mois.
Cette classification ouvrira l’accès à la finance verte et donnera un avantage compétitif aux filières reconnues.
Le sujet divise les Etats membres. Si la France, la Pologne et la République tchèque défendent l’atome, des pays comme l’Allemagne et l’Autriche y sont farouchement opposés, à l’instar de nombreuses ONG qui y voient une technologie risquée.
Les signataires de la tribune vantent par ailleurs l’intérêt économique de l’industrie nucléaire, dont le développement pourrait, selon eux, « générer près d’un million d’emplois très qualifiés en Europe ».
Pour la France, cette tribune est l’occasion de mettre en avant son choix de miser sur le nucléaire, sujet à de nombreux débats, à deux jours du dévoilement par Emmanuel Macron du plan d’investissement de plusieurs dizaines de milliards d’euros « France 2030 », où cette industrie devrait figurer en bonne place.
Le chef de l’Etat est notamment attendu sur la question du développement des petits réacteurs nucléaires, dits SMR (« small modular reactors »).
Dix Etats membres de l’Union européenne, dont la France, ont publié dimanche une tribune soutenant l’énergie nucléaire, soulignant notamment qu’elle a un rôle à jouer contre le réchauffement climatique.
Ils considèrent donc « absolument indispensable que l’énergie nucléaire soit incluse dans le cadre de la taxonomie européenne avant la fin de cette année », c’est-à-dire dans la liste des énergies considérées comme vertueuses à la fois pour le climat et l’environnement que la Commission doit proposer dans les prochains mois.
Cette classification ouvrira l’accès à la finance verte et donnera un avantage compétitif aux filières reconnues.
Le sujet divise les Etats membres. Si la France, la Pologne et la République tchèque défendent l’atome, des pays comme l’Allemagne et l’Autriche y sont farouchement opposés, à l’instar de nombreuses ONG qui y voient une technologie risquée.
Les signataires de la tribune vantent par ailleurs l’intérêt économique de l’industrie nucléaire, dont le développement pourrait, selon eux, « générer près d’un million d’emplois très qualifiés en Europe ».
Pour la France, cette tribune est l’occasion de mettre en avant son choix de miser sur le nucléaire, sujet à de nombreux débats, à deux jours du dévoilement par Emmanuel Macron du plan d’investissement de plusieurs dizaines de milliards d’euros « France 2030 », où cette industrie devrait figurer en bonne place.
Le chef de l’Etat est notamment attendu sur la question du développement des petits réacteurs nucléaires, dits SMR (« small modular reactors »).
Dix Etats membres de l’Union européenne, dont la France, ont publié dimanche une tribune soutenant l’énergie nucléaire, soulignant notamment qu’elle a un rôle à jouer contre le réchauffement climatique.
Ils considèrent donc « absolument indispensable que l’énergie nucléaire soit incluse dans le cadre de la taxonomie européenne avant la fin de cette année », c’est-à-dire dans la liste des énergies considérées comme vertueuses à la fois pour le climat et l’environnement que la Commission doit proposer dans les prochains mois.
Cette classification ouvrira l’accès à la finance verte et donnera un avantage compétitif aux filières reconnues.
Le sujet divise les Etats membres. Si la France, la Pologne et la République tchèque défendent l’atome, des pays comme l’Allemagne et l’Autriche y sont farouchement opposés, à l’instar de nombreuses ONG qui y voient une technologie risquée.
Les signataires de la tribune vantent par ailleurs l’intérêt économique de l’industrie nucléaire, dont le développement pourrait, selon eux, « générer près d’un million d’emplois très qualifiés en Europe ».
Pour la France, cette tribune est l’occasion de mettre en avant son choix de miser sur le nucléaire, sujet à de nombreux débats, à deux jours du dévoilement par Emmanuel Macron du plan d’investissement de plusieurs dizaines de milliards d’euros « France 2030 », où cette industrie devrait figurer en bonne place.
Le chef de l’Etat est notamment attendu sur la question du développement des petits réacteurs nucléaires, dits SMR (« small modular reactors »).
Dix Etats membres de l’Union européenne, dont la France, ont publié dimanche une tribune soutenant l’énergie nucléaire, soulignant notamment qu’elle a un rôle à jouer contre le réchauffement climatique.
Ils considèrent donc « absolument indispensable que l’énergie nucléaire soit incluse dans le cadre de la taxonomie européenne avant la fin de cette année », c’est-à-dire dans la liste des énergies considérées comme vertueuses à la fois pour le climat et l’environnement que la Commission doit proposer dans les prochains mois.
Cette classification ouvrira l’accès à la finance verte et donnera un avantage compétitif aux filières reconnues.
Le sujet divise les Etats membres. Si la France, la Pologne et la République tchèque défendent l’atome, des pays comme l’Allemagne et l’Autriche y sont farouchement opposés, à l’instar de nombreuses ONG qui y voient une technologie risquée.
Les signataires de la tribune vantent par ailleurs l’intérêt économique de l’industrie nucléaire, dont le développement pourrait, selon eux, « générer près d’un million d’emplois très qualifiés en Europe ».
Pour la France, cette tribune est l’occasion de mettre en avant son choix de miser sur le nucléaire, sujet à de nombreux débats, à deux jours du dévoilement par Emmanuel Macron du plan d’investissement de plusieurs dizaines de milliards d’euros « France 2030 », où cette industrie devrait figurer en bonne place.
Le chef de l’Etat est notamment attendu sur la question du développement des petits réacteurs nucléaires, dits SMR (« small modular reactors »).
Dix Etats membres de l’Union européenne, dont la France, ont publié dimanche une tribune soutenant l’énergie nucléaire, soulignant notamment qu’elle a un rôle à jouer contre le réchauffement climatique.
Ils considèrent donc « absolument indispensable que l’énergie nucléaire soit incluse dans le cadre de la taxonomie européenne avant la fin de cette année », c’est-à-dire dans la liste des énergies considérées comme vertueuses à la fois pour le climat et l’environnement que la Commission doit proposer dans les prochains mois.
Cette classification ouvrira l’accès à la finance verte et donnera un avantage compétitif aux filières reconnues.
Le sujet divise les Etats membres. Si la France, la Pologne et la République tchèque défendent l’atome, des pays comme l’Allemagne et l’Autriche y sont farouchement opposés, à l’instar de nombreuses ONG qui y voient une technologie risquée.
Les signataires de la tribune vantent par ailleurs l’intérêt économique de l’industrie nucléaire, dont le développement pourrait, selon eux, « générer près d’un million d’emplois très qualifiés en Europe ».
Pour la France, cette tribune est l’occasion de mettre en avant son choix de miser sur le nucléaire, sujet à de nombreux débats, à deux jours du dévoilement par Emmanuel Macron du plan d’investissement de plusieurs dizaines de milliards d’euros « France 2030 », où cette industrie devrait figurer en bonne place.
Le chef de l’Etat est notamment attendu sur la question du développement des petits réacteurs nucléaires, dits SMR (« small modular reactors »).
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