Sous-représentées parmi les chercheurs au plan mondial, les femmes sont aussi toujours largement minoritaires dans les métiers scientifiques, au risque de « rater le coche des emplois de demain », selon une étude de l’Unesco.
Les femmes demeurent notamment minoritaires dans les technologies de l’information numérique, l’informatique, la physique, les mathématiques et l’ingénierie, « soit autant de disciplines centrales de la quatrième révolution industrielle et porteuses des métiers de demain », soulignent les auteurs.
Or, souvent, les femmes exercent précisément des métiers menacés par cette révolution. Selon une étude menée en 2011-2017 en Angleterre, elles occupaient 70% des emplois à fort risque d’automatisation et seulement 43% des emplois les moins menacés, rappelle le rapport.
Et leur sous-représentation dans les métiers scientifiques « est d’autant plus problématique que l’on déplore une pénurie de compétences dans bon nombre de ces domaines, notamment dans le secteur de l’IA », ajoutent-ils.
« Aujourd’hui encore, au 21e siècle, les femmes et les jeunes filles sont tenues à l’écart des domaines liés à la science, du fait de leur genre », a souligné la directrice générale de l’agence de l’ONU en charge de l’éducation, la science et la culture, Audrey Azoulay, citée dans un communiqué.
« Les femmes doivent savoir qu’elles peuvent exceller dans la science, la technologie, l’ingénierie, les mathématiques, et qu’elles ont le droit de participer au progrès scientifique », plaide Mme Azoulay.
Pour autant, les moyennes mondiales cachent de belles disparités.
L’Algérie peut ainsi s’enorgueillir d’une proportion de 48,5% d’ingénieures et de 48,9% de femmes dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), le Bénin de 54,5% d’ingénieures et de 55,1% de femmes dans les TIC, quand la Suisse plafonne respectivement à 16% et 9,9%, les États-Unis à 20,4% et 23,6%, les Pays-Bas à 23,1% et 14,5%…
De fait, la proportion de femmes parmi les diplômés en ingénierie est inférieure à la moyenne mondiale dans de nombreux États membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (Australie : 23,2%, Canada : 19,7%, Chili : 17,7%, République de Corée : 20,1%, France : 26,1%, Japon : 14,0%).
Les plus fortes représentations de femmes parmi les diplômés en ingénierie se trouvent notamment dans les États arabes, tels que l’Algérie mais aussi le Maroc (42,2%), Oman (43,2%), la Syrie (43,9%) et la Tunisie (44,2%), ainsi qu’en Amérique Latine – 41,7% à Cuba, 47,5% au Pérou et 45,9% en Uruguay.
« Bon nombre des pays où les femmes sont aussi nombreuses que les hommes à obtenir un diplôme dans les TIC et d’autres disciplines des STIM (sciences, technologie, ingéniérie, mathématiques) ont une population majoritairement musulmane », relève le rapport qui cite notamment le centre spatial Mohammed ben Rachid, aux Émirats arabes unis, où « quatre employés sur dix sont des femmes » dont, notamment, la chercheuse principale, Sarah al-Amiri, 33 ans, responsable adjointe du projet qui a permis le lancement de la sonde Hope vers l’orbite martienne le 14 juillet 2020, depuis un site de lancement au Japon.
Le rapport évoque les plafonds de verre, les « préjugés de genre » et entraves aux parcours des femmes dans ces métiers, dans la recherche (carrières plus courtes, moins bien rémunérées, bourses de recherches inférieures) et même dans la fondation d’entreprise, où les start up créées par des femmes ne recueillent que 2,3% du capital risque, selon une enquête mondiale réalisée en 2020 auprès de 700 entreprises par Trustradius.
Sous-représentées parmi les chercheurs au plan mondial, les femmes sont aussi toujours largement minoritaires dans les métiers scientifiques, au risque de « rater le coche des emplois de demain », selon une étude de l’Unesco.
Les femmes demeurent notamment minoritaires dans les technologies de l’information numérique, l’informatique, la physique, les mathématiques et l’ingénierie, « soit autant de disciplines centrales de la quatrième révolution industrielle et porteuses des métiers de demain », soulignent les auteurs.
Or, souvent, les femmes exercent précisément des métiers menacés par cette révolution. Selon une étude menée en 2011-2017 en Angleterre, elles occupaient 70% des emplois à fort risque d’automatisation et seulement 43% des emplois les moins menacés, rappelle le rapport.
Et leur sous-représentation dans les métiers scientifiques « est d’autant plus problématique que l’on déplore une pénurie de compétences dans bon nombre de ces domaines, notamment dans le secteur de l’IA », ajoutent-ils.
« Aujourd’hui encore, au 21e siècle, les femmes et les jeunes filles sont tenues à l’écart des domaines liés à la science, du fait de leur genre », a souligné la directrice générale de l’agence de l’ONU en charge de l’éducation, la science et la culture, Audrey Azoulay, citée dans un communiqué.
« Les femmes doivent savoir qu’elles peuvent exceller dans la science, la technologie, l’ingénierie, les mathématiques, et qu’elles ont le droit de participer au progrès scientifique », plaide Mme Azoulay.
Pour autant, les moyennes mondiales cachent de belles disparités.
L’Algérie peut ainsi s’enorgueillir d’une proportion de 48,5% d’ingénieures et de 48,9% de femmes dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), le Bénin de 54,5% d’ingénieures et de 55,1% de femmes dans les TIC, quand la Suisse plafonne respectivement à 16% et 9,9%, les États-Unis à 20,4% et 23,6%, les Pays-Bas à 23,1% et 14,5%…
De fait, la proportion de femmes parmi les diplômés en ingénierie est inférieure à la moyenne mondiale dans de nombreux États membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (Australie : 23,2%, Canada : 19,7%, Chili : 17,7%, République de Corée : 20,1%, France : 26,1%, Japon : 14,0%).
Les plus fortes représentations de femmes parmi les diplômés en ingénierie se trouvent notamment dans les États arabes, tels que l’Algérie mais aussi le Maroc (42,2%), Oman (43,2%), la Syrie (43,9%) et la Tunisie (44,2%), ainsi qu’en Amérique Latine – 41,7% à Cuba, 47,5% au Pérou et 45,9% en Uruguay.
« Bon nombre des pays où les femmes sont aussi nombreuses que les hommes à obtenir un diplôme dans les TIC et d’autres disciplines des STIM (sciences, technologie, ingéniérie, mathématiques) ont une population majoritairement musulmane », relève le rapport qui cite notamment le centre spatial Mohammed ben Rachid, aux Émirats arabes unis, où « quatre employés sur dix sont des femmes » dont, notamment, la chercheuse principale, Sarah al-Amiri, 33 ans, responsable adjointe du projet qui a permis le lancement de la sonde Hope vers l’orbite martienne le 14 juillet 2020, depuis un site de lancement au Japon.
Le rapport évoque les plafonds de verre, les « préjugés de genre » et entraves aux parcours des femmes dans ces métiers, dans la recherche (carrières plus courtes, moins bien rémunérées, bourses de recherches inférieures) et même dans la fondation d’entreprise, où les start up créées par des femmes ne recueillent que 2,3% du capital risque, selon une enquête mondiale réalisée en 2020 auprès de 700 entreprises par Trustradius.
Sous-représentées parmi les chercheurs au plan mondial, les femmes sont aussi toujours largement minoritaires dans les métiers scientifiques, au risque de « rater le coche des emplois de demain », selon une étude de l’Unesco.
Les femmes demeurent notamment minoritaires dans les technologies de l’information numérique, l’informatique, la physique, les mathématiques et l’ingénierie, « soit autant de disciplines centrales de la quatrième révolution industrielle et porteuses des métiers de demain », soulignent les auteurs.
Or, souvent, les femmes exercent précisément des métiers menacés par cette révolution. Selon une étude menée en 2011-2017 en Angleterre, elles occupaient 70% des emplois à fort risque d’automatisation et seulement 43% des emplois les moins menacés, rappelle le rapport.
Et leur sous-représentation dans les métiers scientifiques « est d’autant plus problématique que l’on déplore une pénurie de compétences dans bon nombre de ces domaines, notamment dans le secteur de l’IA », ajoutent-ils.
« Aujourd’hui encore, au 21e siècle, les femmes et les jeunes filles sont tenues à l’écart des domaines liés à la science, du fait de leur genre », a souligné la directrice générale de l’agence de l’ONU en charge de l’éducation, la science et la culture, Audrey Azoulay, citée dans un communiqué.
« Les femmes doivent savoir qu’elles peuvent exceller dans la science, la technologie, l’ingénierie, les mathématiques, et qu’elles ont le droit de participer au progrès scientifique », plaide Mme Azoulay.
Pour autant, les moyennes mondiales cachent de belles disparités.
L’Algérie peut ainsi s’enorgueillir d’une proportion de 48,5% d’ingénieures et de 48,9% de femmes dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), le Bénin de 54,5% d’ingénieures et de 55,1% de femmes dans les TIC, quand la Suisse plafonne respectivement à 16% et 9,9%, les États-Unis à 20,4% et 23,6%, les Pays-Bas à 23,1% et 14,5%…
De fait, la proportion de femmes parmi les diplômés en ingénierie est inférieure à la moyenne mondiale dans de nombreux États membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (Australie : 23,2%, Canada : 19,7%, Chili : 17,7%, République de Corée : 20,1%, France : 26,1%, Japon : 14,0%).
Les plus fortes représentations de femmes parmi les diplômés en ingénierie se trouvent notamment dans les États arabes, tels que l’Algérie mais aussi le Maroc (42,2%), Oman (43,2%), la Syrie (43,9%) et la Tunisie (44,2%), ainsi qu’en Amérique Latine – 41,7% à Cuba, 47,5% au Pérou et 45,9% en Uruguay.
« Bon nombre des pays où les femmes sont aussi nombreuses que les hommes à obtenir un diplôme dans les TIC et d’autres disciplines des STIM (sciences, technologie, ingéniérie, mathématiques) ont une population majoritairement musulmane », relève le rapport qui cite notamment le centre spatial Mohammed ben Rachid, aux Émirats arabes unis, où « quatre employés sur dix sont des femmes » dont, notamment, la chercheuse principale, Sarah al-Amiri, 33 ans, responsable adjointe du projet qui a permis le lancement de la sonde Hope vers l’orbite martienne le 14 juillet 2020, depuis un site de lancement au Japon.
Le rapport évoque les plafonds de verre, les « préjugés de genre » et entraves aux parcours des femmes dans ces métiers, dans la recherche (carrières plus courtes, moins bien rémunérées, bourses de recherches inférieures) et même dans la fondation d’entreprise, où les start up créées par des femmes ne recueillent que 2,3% du capital risque, selon une enquête mondiale réalisée en 2020 auprès de 700 entreprises par Trustradius.
Sous-représentées parmi les chercheurs au plan mondial, les femmes sont aussi toujours largement minoritaires dans les métiers scientifiques, au risque de « rater le coche des emplois de demain », selon une étude de l’Unesco.
Les femmes demeurent notamment minoritaires dans les technologies de l’information numérique, l’informatique, la physique, les mathématiques et l’ingénierie, « soit autant de disciplines centrales de la quatrième révolution industrielle et porteuses des métiers de demain », soulignent les auteurs.
Or, souvent, les femmes exercent précisément des métiers menacés par cette révolution. Selon une étude menée en 2011-2017 en Angleterre, elles occupaient 70% des emplois à fort risque d’automatisation et seulement 43% des emplois les moins menacés, rappelle le rapport.
Et leur sous-représentation dans les métiers scientifiques « est d’autant plus problématique que l’on déplore une pénurie de compétences dans bon nombre de ces domaines, notamment dans le secteur de l’IA », ajoutent-ils.
« Aujourd’hui encore, au 21e siècle, les femmes et les jeunes filles sont tenues à l’écart des domaines liés à la science, du fait de leur genre », a souligné la directrice générale de l’agence de l’ONU en charge de l’éducation, la science et la culture, Audrey Azoulay, citée dans un communiqué.
« Les femmes doivent savoir qu’elles peuvent exceller dans la science, la technologie, l’ingénierie, les mathématiques, et qu’elles ont le droit de participer au progrès scientifique », plaide Mme Azoulay.
Pour autant, les moyennes mondiales cachent de belles disparités.
L’Algérie peut ainsi s’enorgueillir d’une proportion de 48,5% d’ingénieures et de 48,9% de femmes dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), le Bénin de 54,5% d’ingénieures et de 55,1% de femmes dans les TIC, quand la Suisse plafonne respectivement à 16% et 9,9%, les États-Unis à 20,4% et 23,6%, les Pays-Bas à 23,1% et 14,5%…
De fait, la proportion de femmes parmi les diplômés en ingénierie est inférieure à la moyenne mondiale dans de nombreux États membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (Australie : 23,2%, Canada : 19,7%, Chili : 17,7%, République de Corée : 20,1%, France : 26,1%, Japon : 14,0%).
Les plus fortes représentations de femmes parmi les diplômés en ingénierie se trouvent notamment dans les États arabes, tels que l’Algérie mais aussi le Maroc (42,2%), Oman (43,2%), la Syrie (43,9%) et la Tunisie (44,2%), ainsi qu’en Amérique Latine – 41,7% à Cuba, 47,5% au Pérou et 45,9% en Uruguay.
« Bon nombre des pays où les femmes sont aussi nombreuses que les hommes à obtenir un diplôme dans les TIC et d’autres disciplines des STIM (sciences, technologie, ingéniérie, mathématiques) ont une population majoritairement musulmane », relève le rapport qui cite notamment le centre spatial Mohammed ben Rachid, aux Émirats arabes unis, où « quatre employés sur dix sont des femmes » dont, notamment, la chercheuse principale, Sarah al-Amiri, 33 ans, responsable adjointe du projet qui a permis le lancement de la sonde Hope vers l’orbite martienne le 14 juillet 2020, depuis un site de lancement au Japon.
Le rapport évoque les plafonds de verre, les « préjugés de genre » et entraves aux parcours des femmes dans ces métiers, dans la recherche (carrières plus courtes, moins bien rémunérées, bourses de recherches inférieures) et même dans la fondation d’entreprise, où les start up créées par des femmes ne recueillent que 2,3% du capital risque, selon une enquête mondiale réalisée en 2020 auprès de 700 entreprises par Trustradius.
Sous-représentées parmi les chercheurs au plan mondial, les femmes sont aussi toujours largement minoritaires dans les métiers scientifiques, au risque de « rater le coche des emplois de demain », selon une étude de l’Unesco.
Les femmes demeurent notamment minoritaires dans les technologies de l’information numérique, l’informatique, la physique, les mathématiques et l’ingénierie, « soit autant de disciplines centrales de la quatrième révolution industrielle et porteuses des métiers de demain », soulignent les auteurs.
Or, souvent, les femmes exercent précisément des métiers menacés par cette révolution. Selon une étude menée en 2011-2017 en Angleterre, elles occupaient 70% des emplois à fort risque d’automatisation et seulement 43% des emplois les moins menacés, rappelle le rapport.
Et leur sous-représentation dans les métiers scientifiques « est d’autant plus problématique que l’on déplore une pénurie de compétences dans bon nombre de ces domaines, notamment dans le secteur de l’IA », ajoutent-ils.
« Aujourd’hui encore, au 21e siècle, les femmes et les jeunes filles sont tenues à l’écart des domaines liés à la science, du fait de leur genre », a souligné la directrice générale de l’agence de l’ONU en charge de l’éducation, la science et la culture, Audrey Azoulay, citée dans un communiqué.
« Les femmes doivent savoir qu’elles peuvent exceller dans la science, la technologie, l’ingénierie, les mathématiques, et qu’elles ont le droit de participer au progrès scientifique », plaide Mme Azoulay.
Pour autant, les moyennes mondiales cachent de belles disparités.
L’Algérie peut ainsi s’enorgueillir d’une proportion de 48,5% d’ingénieures et de 48,9% de femmes dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), le Bénin de 54,5% d’ingénieures et de 55,1% de femmes dans les TIC, quand la Suisse plafonne respectivement à 16% et 9,9%, les États-Unis à 20,4% et 23,6%, les Pays-Bas à 23,1% et 14,5%…
De fait, la proportion de femmes parmi les diplômés en ingénierie est inférieure à la moyenne mondiale dans de nombreux États membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (Australie : 23,2%, Canada : 19,7%, Chili : 17,7%, République de Corée : 20,1%, France : 26,1%, Japon : 14,0%).
Les plus fortes représentations de femmes parmi les diplômés en ingénierie se trouvent notamment dans les États arabes, tels que l’Algérie mais aussi le Maroc (42,2%), Oman (43,2%), la Syrie (43,9%) et la Tunisie (44,2%), ainsi qu’en Amérique Latine – 41,7% à Cuba, 47,5% au Pérou et 45,9% en Uruguay.
« Bon nombre des pays où les femmes sont aussi nombreuses que les hommes à obtenir un diplôme dans les TIC et d’autres disciplines des STIM (sciences, technologie, ingéniérie, mathématiques) ont une population majoritairement musulmane », relève le rapport qui cite notamment le centre spatial Mohammed ben Rachid, aux Émirats arabes unis, où « quatre employés sur dix sont des femmes » dont, notamment, la chercheuse principale, Sarah al-Amiri, 33 ans, responsable adjointe du projet qui a permis le lancement de la sonde Hope vers l’orbite martienne le 14 juillet 2020, depuis un site de lancement au Japon.
Le rapport évoque les plafonds de verre, les « préjugés de genre » et entraves aux parcours des femmes dans ces métiers, dans la recherche (carrières plus courtes, moins bien rémunérées, bourses de recherches inférieures) et même dans la fondation d’entreprise, où les start up créées par des femmes ne recueillent que 2,3% du capital risque, selon une enquête mondiale réalisée en 2020 auprès de 700 entreprises par Trustradius.
Sous-représentées parmi les chercheurs au plan mondial, les femmes sont aussi toujours largement minoritaires dans les métiers scientifiques, au risque de « rater le coche des emplois de demain », selon une étude de l’Unesco.
Les femmes demeurent notamment minoritaires dans les technologies de l’information numérique, l’informatique, la physique, les mathématiques et l’ingénierie, « soit autant de disciplines centrales de la quatrième révolution industrielle et porteuses des métiers de demain », soulignent les auteurs.
Or, souvent, les femmes exercent précisément des métiers menacés par cette révolution. Selon une étude menée en 2011-2017 en Angleterre, elles occupaient 70% des emplois à fort risque d’automatisation et seulement 43% des emplois les moins menacés, rappelle le rapport.
Et leur sous-représentation dans les métiers scientifiques « est d’autant plus problématique que l’on déplore une pénurie de compétences dans bon nombre de ces domaines, notamment dans le secteur de l’IA », ajoutent-ils.
« Aujourd’hui encore, au 21e siècle, les femmes et les jeunes filles sont tenues à l’écart des domaines liés à la science, du fait de leur genre », a souligné la directrice générale de l’agence de l’ONU en charge de l’éducation, la science et la culture, Audrey Azoulay, citée dans un communiqué.
« Les femmes doivent savoir qu’elles peuvent exceller dans la science, la technologie, l’ingénierie, les mathématiques, et qu’elles ont le droit de participer au progrès scientifique », plaide Mme Azoulay.
Pour autant, les moyennes mondiales cachent de belles disparités.
L’Algérie peut ainsi s’enorgueillir d’une proportion de 48,5% d’ingénieures et de 48,9% de femmes dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), le Bénin de 54,5% d’ingénieures et de 55,1% de femmes dans les TIC, quand la Suisse plafonne respectivement à 16% et 9,9%, les États-Unis à 20,4% et 23,6%, les Pays-Bas à 23,1% et 14,5%…
De fait, la proportion de femmes parmi les diplômés en ingénierie est inférieure à la moyenne mondiale dans de nombreux États membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (Australie : 23,2%, Canada : 19,7%, Chili : 17,7%, République de Corée : 20,1%, France : 26,1%, Japon : 14,0%).
Les plus fortes représentations de femmes parmi les diplômés en ingénierie se trouvent notamment dans les États arabes, tels que l’Algérie mais aussi le Maroc (42,2%), Oman (43,2%), la Syrie (43,9%) et la Tunisie (44,2%), ainsi qu’en Amérique Latine – 41,7% à Cuba, 47,5% au Pérou et 45,9% en Uruguay.
« Bon nombre des pays où les femmes sont aussi nombreuses que les hommes à obtenir un diplôme dans les TIC et d’autres disciplines des STIM (sciences, technologie, ingéniérie, mathématiques) ont une population majoritairement musulmane », relève le rapport qui cite notamment le centre spatial Mohammed ben Rachid, aux Émirats arabes unis, où « quatre employés sur dix sont des femmes » dont, notamment, la chercheuse principale, Sarah al-Amiri, 33 ans, responsable adjointe du projet qui a permis le lancement de la sonde Hope vers l’orbite martienne le 14 juillet 2020, depuis un site de lancement au Japon.
Le rapport évoque les plafonds de verre, les « préjugés de genre » et entraves aux parcours des femmes dans ces métiers, dans la recherche (carrières plus courtes, moins bien rémunérées, bourses de recherches inférieures) et même dans la fondation d’entreprise, où les start up créées par des femmes ne recueillent que 2,3% du capital risque, selon une enquête mondiale réalisée en 2020 auprès de 700 entreprises par Trustradius.
Sous-représentées parmi les chercheurs au plan mondial, les femmes sont aussi toujours largement minoritaires dans les métiers scientifiques, au risque de « rater le coche des emplois de demain », selon une étude de l’Unesco.
Les femmes demeurent notamment minoritaires dans les technologies de l’information numérique, l’informatique, la physique, les mathématiques et l’ingénierie, « soit autant de disciplines centrales de la quatrième révolution industrielle et porteuses des métiers de demain », soulignent les auteurs.
Or, souvent, les femmes exercent précisément des métiers menacés par cette révolution. Selon une étude menée en 2011-2017 en Angleterre, elles occupaient 70% des emplois à fort risque d’automatisation et seulement 43% des emplois les moins menacés, rappelle le rapport.
Et leur sous-représentation dans les métiers scientifiques « est d’autant plus problématique que l’on déplore une pénurie de compétences dans bon nombre de ces domaines, notamment dans le secteur de l’IA », ajoutent-ils.
« Aujourd’hui encore, au 21e siècle, les femmes et les jeunes filles sont tenues à l’écart des domaines liés à la science, du fait de leur genre », a souligné la directrice générale de l’agence de l’ONU en charge de l’éducation, la science et la culture, Audrey Azoulay, citée dans un communiqué.
« Les femmes doivent savoir qu’elles peuvent exceller dans la science, la technologie, l’ingénierie, les mathématiques, et qu’elles ont le droit de participer au progrès scientifique », plaide Mme Azoulay.
Pour autant, les moyennes mondiales cachent de belles disparités.
L’Algérie peut ainsi s’enorgueillir d’une proportion de 48,5% d’ingénieures et de 48,9% de femmes dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), le Bénin de 54,5% d’ingénieures et de 55,1% de femmes dans les TIC, quand la Suisse plafonne respectivement à 16% et 9,9%, les États-Unis à 20,4% et 23,6%, les Pays-Bas à 23,1% et 14,5%…
De fait, la proportion de femmes parmi les diplômés en ingénierie est inférieure à la moyenne mondiale dans de nombreux États membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (Australie : 23,2%, Canada : 19,7%, Chili : 17,7%, République de Corée : 20,1%, France : 26,1%, Japon : 14,0%).
Les plus fortes représentations de femmes parmi les diplômés en ingénierie se trouvent notamment dans les États arabes, tels que l’Algérie mais aussi le Maroc (42,2%), Oman (43,2%), la Syrie (43,9%) et la Tunisie (44,2%), ainsi qu’en Amérique Latine – 41,7% à Cuba, 47,5% au Pérou et 45,9% en Uruguay.
« Bon nombre des pays où les femmes sont aussi nombreuses que les hommes à obtenir un diplôme dans les TIC et d’autres disciplines des STIM (sciences, technologie, ingéniérie, mathématiques) ont une population majoritairement musulmane », relève le rapport qui cite notamment le centre spatial Mohammed ben Rachid, aux Émirats arabes unis, où « quatre employés sur dix sont des femmes » dont, notamment, la chercheuse principale, Sarah al-Amiri, 33 ans, responsable adjointe du projet qui a permis le lancement de la sonde Hope vers l’orbite martienne le 14 juillet 2020, depuis un site de lancement au Japon.
Le rapport évoque les plafonds de verre, les « préjugés de genre » et entraves aux parcours des femmes dans ces métiers, dans la recherche (carrières plus courtes, moins bien rémunérées, bourses de recherches inférieures) et même dans la fondation d’entreprise, où les start up créées par des femmes ne recueillent que 2,3% du capital risque, selon une enquête mondiale réalisée en 2020 auprès de 700 entreprises par Trustradius.
Sous-représentées parmi les chercheurs au plan mondial, les femmes sont aussi toujours largement minoritaires dans les métiers scientifiques, au risque de « rater le coche des emplois de demain », selon une étude de l’Unesco.
Les femmes demeurent notamment minoritaires dans les technologies de l’information numérique, l’informatique, la physique, les mathématiques et l’ingénierie, « soit autant de disciplines centrales de la quatrième révolution industrielle et porteuses des métiers de demain », soulignent les auteurs.
Or, souvent, les femmes exercent précisément des métiers menacés par cette révolution. Selon une étude menée en 2011-2017 en Angleterre, elles occupaient 70% des emplois à fort risque d’automatisation et seulement 43% des emplois les moins menacés, rappelle le rapport.
Et leur sous-représentation dans les métiers scientifiques « est d’autant plus problématique que l’on déplore une pénurie de compétences dans bon nombre de ces domaines, notamment dans le secteur de l’IA », ajoutent-ils.
« Aujourd’hui encore, au 21e siècle, les femmes et les jeunes filles sont tenues à l’écart des domaines liés à la science, du fait de leur genre », a souligné la directrice générale de l’agence de l’ONU en charge de l’éducation, la science et la culture, Audrey Azoulay, citée dans un communiqué.
« Les femmes doivent savoir qu’elles peuvent exceller dans la science, la technologie, l’ingénierie, les mathématiques, et qu’elles ont le droit de participer au progrès scientifique », plaide Mme Azoulay.
Pour autant, les moyennes mondiales cachent de belles disparités.
L’Algérie peut ainsi s’enorgueillir d’une proportion de 48,5% d’ingénieures et de 48,9% de femmes dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), le Bénin de 54,5% d’ingénieures et de 55,1% de femmes dans les TIC, quand la Suisse plafonne respectivement à 16% et 9,9%, les États-Unis à 20,4% et 23,6%, les Pays-Bas à 23,1% et 14,5%…
De fait, la proportion de femmes parmi les diplômés en ingénierie est inférieure à la moyenne mondiale dans de nombreux États membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (Australie : 23,2%, Canada : 19,7%, Chili : 17,7%, République de Corée : 20,1%, France : 26,1%, Japon : 14,0%).
Les plus fortes représentations de femmes parmi les diplômés en ingénierie se trouvent notamment dans les États arabes, tels que l’Algérie mais aussi le Maroc (42,2%), Oman (43,2%), la Syrie (43,9%) et la Tunisie (44,2%), ainsi qu’en Amérique Latine – 41,7% à Cuba, 47,5% au Pérou et 45,9% en Uruguay.
« Bon nombre des pays où les femmes sont aussi nombreuses que les hommes à obtenir un diplôme dans les TIC et d’autres disciplines des STIM (sciences, technologie, ingéniérie, mathématiques) ont une population majoritairement musulmane », relève le rapport qui cite notamment le centre spatial Mohammed ben Rachid, aux Émirats arabes unis, où « quatre employés sur dix sont des femmes » dont, notamment, la chercheuse principale, Sarah al-Amiri, 33 ans, responsable adjointe du projet qui a permis le lancement de la sonde Hope vers l’orbite martienne le 14 juillet 2020, depuis un site de lancement au Japon.
Le rapport évoque les plafonds de verre, les « préjugés de genre » et entraves aux parcours des femmes dans ces métiers, dans la recherche (carrières plus courtes, moins bien rémunérées, bourses de recherches inférieures) et même dans la fondation d’entreprise, où les start up créées par des femmes ne recueillent que 2,3% du capital risque, selon une enquête mondiale réalisée en 2020 auprès de 700 entreprises par Trustradius.
Discussion à ce sujet post