Le groupe socialiste au Sénat a dénoncé mercredi une « autocensure » après la décision du bureau de la commission des Affaires étrangères et de la Défense de ne pas créer de commission d’enquête sur l’annulation par l’Australie d’un mégacontrat de sous-marins français.
« La majorité de droite vient de bâillonner le Sénat », a déploré le porte-parole Rachid Temal lors du point de presse hebdomadaire du groupe.
Le Sénat n’avait pas immédiatement fermé la porte à la création d’une telle commission, mais avait souhaité privilégier dans un premier temps une série d’auditions.
Mercredi, « la majorité du bureau a considéré qu’une commission d’enquête ne permettrait pas d’aller beaucoup plus loin », a indiqué à l’AFP le président LR de la commission, Christian Cambon.
Il a rappelé que celle-ci avait entendu les ministres Jean-Yves Le Drian et Florence Parly, ainsi que le directeur du service de renseignement extérieur (DGSE), Bernard Emié, et le PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet.
« Qui réinterroger ? On ne va pas convoquer le Premier ministre australien ou M. Biden », a-t-il ajouté.
M. Cambon a précisé que la Délégation parlementaire au renseignement se pencherait sur le volet renseignement, plus confidentiel.
Il a également proposé une mission d’information sur « l’avenir de la France dans le monde indo-pacifique », qui démarrera en 2022, après le référendum sur l’indépendance prévu le 12 décembre en Nouvelle-Calédonie.
L’annonce le 15 septembre d’un partenariat stratégique entre les États-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, qui s’est soldé par l’annulation d’un mégacontrat de sous-marins français à Canberra, a provoqué une crise diplomatique majeure entre la France et les Etats-Unis.
Le groupe socialiste au Sénat a dénoncé mercredi une « autocensure » après la décision du bureau de la commission des Affaires étrangères et de la Défense de ne pas créer de commission d’enquête sur l’annulation par l’Australie d’un mégacontrat de sous-marins français.
« La majorité de droite vient de bâillonner le Sénat », a déploré le porte-parole Rachid Temal lors du point de presse hebdomadaire du groupe.
Le Sénat n’avait pas immédiatement fermé la porte à la création d’une telle commission, mais avait souhaité privilégier dans un premier temps une série d’auditions.
Mercredi, « la majorité du bureau a considéré qu’une commission d’enquête ne permettrait pas d’aller beaucoup plus loin », a indiqué à l’AFP le président LR de la commission, Christian Cambon.
Il a rappelé que celle-ci avait entendu les ministres Jean-Yves Le Drian et Florence Parly, ainsi que le directeur du service de renseignement extérieur (DGSE), Bernard Emié, et le PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet.
« Qui réinterroger ? On ne va pas convoquer le Premier ministre australien ou M. Biden », a-t-il ajouté.
M. Cambon a précisé que la Délégation parlementaire au renseignement se pencherait sur le volet renseignement, plus confidentiel.
Il a également proposé une mission d’information sur « l’avenir de la France dans le monde indo-pacifique », qui démarrera en 2022, après le référendum sur l’indépendance prévu le 12 décembre en Nouvelle-Calédonie.
L’annonce le 15 septembre d’un partenariat stratégique entre les États-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, qui s’est soldé par l’annulation d’un mégacontrat de sous-marins français à Canberra, a provoqué une crise diplomatique majeure entre la France et les Etats-Unis.
Le groupe socialiste au Sénat a dénoncé mercredi une « autocensure » après la décision du bureau de la commission des Affaires étrangères et de la Défense de ne pas créer de commission d’enquête sur l’annulation par l’Australie d’un mégacontrat de sous-marins français.
« La majorité de droite vient de bâillonner le Sénat », a déploré le porte-parole Rachid Temal lors du point de presse hebdomadaire du groupe.
Le Sénat n’avait pas immédiatement fermé la porte à la création d’une telle commission, mais avait souhaité privilégier dans un premier temps une série d’auditions.
Mercredi, « la majorité du bureau a considéré qu’une commission d’enquête ne permettrait pas d’aller beaucoup plus loin », a indiqué à l’AFP le président LR de la commission, Christian Cambon.
Il a rappelé que celle-ci avait entendu les ministres Jean-Yves Le Drian et Florence Parly, ainsi que le directeur du service de renseignement extérieur (DGSE), Bernard Emié, et le PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet.
« Qui réinterroger ? On ne va pas convoquer le Premier ministre australien ou M. Biden », a-t-il ajouté.
M. Cambon a précisé que la Délégation parlementaire au renseignement se pencherait sur le volet renseignement, plus confidentiel.
Il a également proposé une mission d’information sur « l’avenir de la France dans le monde indo-pacifique », qui démarrera en 2022, après le référendum sur l’indépendance prévu le 12 décembre en Nouvelle-Calédonie.
L’annonce le 15 septembre d’un partenariat stratégique entre les États-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, qui s’est soldé par l’annulation d’un mégacontrat de sous-marins français à Canberra, a provoqué une crise diplomatique majeure entre la France et les Etats-Unis.
Le groupe socialiste au Sénat a dénoncé mercredi une « autocensure » après la décision du bureau de la commission des Affaires étrangères et de la Défense de ne pas créer de commission d’enquête sur l’annulation par l’Australie d’un mégacontrat de sous-marins français.
« La majorité de droite vient de bâillonner le Sénat », a déploré le porte-parole Rachid Temal lors du point de presse hebdomadaire du groupe.
Le Sénat n’avait pas immédiatement fermé la porte à la création d’une telle commission, mais avait souhaité privilégier dans un premier temps une série d’auditions.
Mercredi, « la majorité du bureau a considéré qu’une commission d’enquête ne permettrait pas d’aller beaucoup plus loin », a indiqué à l’AFP le président LR de la commission, Christian Cambon.
Il a rappelé que celle-ci avait entendu les ministres Jean-Yves Le Drian et Florence Parly, ainsi que le directeur du service de renseignement extérieur (DGSE), Bernard Emié, et le PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet.
« Qui réinterroger ? On ne va pas convoquer le Premier ministre australien ou M. Biden », a-t-il ajouté.
M. Cambon a précisé que la Délégation parlementaire au renseignement se pencherait sur le volet renseignement, plus confidentiel.
Il a également proposé une mission d’information sur « l’avenir de la France dans le monde indo-pacifique », qui démarrera en 2022, après le référendum sur l’indépendance prévu le 12 décembre en Nouvelle-Calédonie.
L’annonce le 15 septembre d’un partenariat stratégique entre les États-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, qui s’est soldé par l’annulation d’un mégacontrat de sous-marins français à Canberra, a provoqué une crise diplomatique majeure entre la France et les Etats-Unis.
Le groupe socialiste au Sénat a dénoncé mercredi une « autocensure » après la décision du bureau de la commission des Affaires étrangères et de la Défense de ne pas créer de commission d’enquête sur l’annulation par l’Australie d’un mégacontrat de sous-marins français.
« La majorité de droite vient de bâillonner le Sénat », a déploré le porte-parole Rachid Temal lors du point de presse hebdomadaire du groupe.
Le Sénat n’avait pas immédiatement fermé la porte à la création d’une telle commission, mais avait souhaité privilégier dans un premier temps une série d’auditions.
Mercredi, « la majorité du bureau a considéré qu’une commission d’enquête ne permettrait pas d’aller beaucoup plus loin », a indiqué à l’AFP le président LR de la commission, Christian Cambon.
Il a rappelé que celle-ci avait entendu les ministres Jean-Yves Le Drian et Florence Parly, ainsi que le directeur du service de renseignement extérieur (DGSE), Bernard Emié, et le PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet.
« Qui réinterroger ? On ne va pas convoquer le Premier ministre australien ou M. Biden », a-t-il ajouté.
M. Cambon a précisé que la Délégation parlementaire au renseignement se pencherait sur le volet renseignement, plus confidentiel.
Il a également proposé une mission d’information sur « l’avenir de la France dans le monde indo-pacifique », qui démarrera en 2022, après le référendum sur l’indépendance prévu le 12 décembre en Nouvelle-Calédonie.
L’annonce le 15 septembre d’un partenariat stratégique entre les États-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, qui s’est soldé par l’annulation d’un mégacontrat de sous-marins français à Canberra, a provoqué une crise diplomatique majeure entre la France et les Etats-Unis.
Le groupe socialiste au Sénat a dénoncé mercredi une « autocensure » après la décision du bureau de la commission des Affaires étrangères et de la Défense de ne pas créer de commission d’enquête sur l’annulation par l’Australie d’un mégacontrat de sous-marins français.
« La majorité de droite vient de bâillonner le Sénat », a déploré le porte-parole Rachid Temal lors du point de presse hebdomadaire du groupe.
Le Sénat n’avait pas immédiatement fermé la porte à la création d’une telle commission, mais avait souhaité privilégier dans un premier temps une série d’auditions.
Mercredi, « la majorité du bureau a considéré qu’une commission d’enquête ne permettrait pas d’aller beaucoup plus loin », a indiqué à l’AFP le président LR de la commission, Christian Cambon.
Il a rappelé que celle-ci avait entendu les ministres Jean-Yves Le Drian et Florence Parly, ainsi que le directeur du service de renseignement extérieur (DGSE), Bernard Emié, et le PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet.
« Qui réinterroger ? On ne va pas convoquer le Premier ministre australien ou M. Biden », a-t-il ajouté.
M. Cambon a précisé que la Délégation parlementaire au renseignement se pencherait sur le volet renseignement, plus confidentiel.
Il a également proposé une mission d’information sur « l’avenir de la France dans le monde indo-pacifique », qui démarrera en 2022, après le référendum sur l’indépendance prévu le 12 décembre en Nouvelle-Calédonie.
L’annonce le 15 septembre d’un partenariat stratégique entre les États-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, qui s’est soldé par l’annulation d’un mégacontrat de sous-marins français à Canberra, a provoqué une crise diplomatique majeure entre la France et les Etats-Unis.
Le groupe socialiste au Sénat a dénoncé mercredi une « autocensure » après la décision du bureau de la commission des Affaires étrangères et de la Défense de ne pas créer de commission d’enquête sur l’annulation par l’Australie d’un mégacontrat de sous-marins français.
« La majorité de droite vient de bâillonner le Sénat », a déploré le porte-parole Rachid Temal lors du point de presse hebdomadaire du groupe.
Le Sénat n’avait pas immédiatement fermé la porte à la création d’une telle commission, mais avait souhaité privilégier dans un premier temps une série d’auditions.
Mercredi, « la majorité du bureau a considéré qu’une commission d’enquête ne permettrait pas d’aller beaucoup plus loin », a indiqué à l’AFP le président LR de la commission, Christian Cambon.
Il a rappelé que celle-ci avait entendu les ministres Jean-Yves Le Drian et Florence Parly, ainsi que le directeur du service de renseignement extérieur (DGSE), Bernard Emié, et le PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet.
« Qui réinterroger ? On ne va pas convoquer le Premier ministre australien ou M. Biden », a-t-il ajouté.
M. Cambon a précisé que la Délégation parlementaire au renseignement se pencherait sur le volet renseignement, plus confidentiel.
Il a également proposé une mission d’information sur « l’avenir de la France dans le monde indo-pacifique », qui démarrera en 2022, après le référendum sur l’indépendance prévu le 12 décembre en Nouvelle-Calédonie.
L’annonce le 15 septembre d’un partenariat stratégique entre les États-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, qui s’est soldé par l’annulation d’un mégacontrat de sous-marins français à Canberra, a provoqué une crise diplomatique majeure entre la France et les Etats-Unis.
Le groupe socialiste au Sénat a dénoncé mercredi une « autocensure » après la décision du bureau de la commission des Affaires étrangères et de la Défense de ne pas créer de commission d’enquête sur l’annulation par l’Australie d’un mégacontrat de sous-marins français.
« La majorité de droite vient de bâillonner le Sénat », a déploré le porte-parole Rachid Temal lors du point de presse hebdomadaire du groupe.
Le Sénat n’avait pas immédiatement fermé la porte à la création d’une telle commission, mais avait souhaité privilégier dans un premier temps une série d’auditions.
Mercredi, « la majorité du bureau a considéré qu’une commission d’enquête ne permettrait pas d’aller beaucoup plus loin », a indiqué à l’AFP le président LR de la commission, Christian Cambon.
Il a rappelé que celle-ci avait entendu les ministres Jean-Yves Le Drian et Florence Parly, ainsi que le directeur du service de renseignement extérieur (DGSE), Bernard Emié, et le PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet.
« Qui réinterroger ? On ne va pas convoquer le Premier ministre australien ou M. Biden », a-t-il ajouté.
M. Cambon a précisé que la Délégation parlementaire au renseignement se pencherait sur le volet renseignement, plus confidentiel.
Il a également proposé une mission d’information sur « l’avenir de la France dans le monde indo-pacifique », qui démarrera en 2022, après le référendum sur l’indépendance prévu le 12 décembre en Nouvelle-Calédonie.
L’annonce le 15 septembre d’un partenariat stratégique entre les États-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, qui s’est soldé par l’annulation d’un mégacontrat de sous-marins français à Canberra, a provoqué une crise diplomatique majeure entre la France et les Etats-Unis.
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