Des autochtones habitant des îles isolées du nord de l’Australie ont déposé mardi un recours en justice pour tenter d’obliger le gouvernement à protéger leurs terres en réduisant davantage ses émissions de carbone.
Ils demandent à une Cour fédérale australienne d’ordonner à Canberra « de réduire les émissions de gaz à effet de serre à un niveau qui empêchera les insulaires du détroit de Torres de devenir des réfugiés climatiques ».
C’est la première fois qu’une telle action en justice liée au réchauffement climatique est lancée par des autochtones australiens.
Environ 5.000 personnes habitent les 274 îles australiennes du détroit de Torres, qui sépare l’Australie de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Plusieurs de ces îles, faiblement élevées, deviendront inhabitables si la température moyenne mondiale augmente de plus de 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, soutient le recours en justice. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estime que cette hausse pourrait survenir d’ici 2030.
Ce recours intervient le jour même où le gouvernement australien a annoncé qu’il visait la neutralité carbone en 2050, mais sans fournir de détails sur la façon dont il compte y parvenir et en renouvelant son soutien appuyé aux industries minière et gazière.
Paul Kaibai, un habitant de Saibai, a expliqué que les inondations à répétition et les sols gorgés de sel commencent à rendre la vie sur son île impossible. « Devenir réfugié climatique signifie tout perdre: nos maisons, notre culture, nos histoires, notre identité », a-t-il déploré.
Des autochtones habitant des îles isolées du nord de l’Australie ont déposé mardi un recours en justice pour tenter d’obliger le gouvernement à protéger leurs terres en réduisant davantage ses émissions de carbone.
Ils demandent à une Cour fédérale australienne d’ordonner à Canberra « de réduire les émissions de gaz à effet de serre à un niveau qui empêchera les insulaires du détroit de Torres de devenir des réfugiés climatiques ».
C’est la première fois qu’une telle action en justice liée au réchauffement climatique est lancée par des autochtones australiens.
Environ 5.000 personnes habitent les 274 îles australiennes du détroit de Torres, qui sépare l’Australie de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Plusieurs de ces îles, faiblement élevées, deviendront inhabitables si la température moyenne mondiale augmente de plus de 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, soutient le recours en justice. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estime que cette hausse pourrait survenir d’ici 2030.
Ce recours intervient le jour même où le gouvernement australien a annoncé qu’il visait la neutralité carbone en 2050, mais sans fournir de détails sur la façon dont il compte y parvenir et en renouvelant son soutien appuyé aux industries minière et gazière.
Paul Kaibai, un habitant de Saibai, a expliqué que les inondations à répétition et les sols gorgés de sel commencent à rendre la vie sur son île impossible. « Devenir réfugié climatique signifie tout perdre: nos maisons, notre culture, nos histoires, notre identité », a-t-il déploré.
Des autochtones habitant des îles isolées du nord de l’Australie ont déposé mardi un recours en justice pour tenter d’obliger le gouvernement à protéger leurs terres en réduisant davantage ses émissions de carbone.
Ils demandent à une Cour fédérale australienne d’ordonner à Canberra « de réduire les émissions de gaz à effet de serre à un niveau qui empêchera les insulaires du détroit de Torres de devenir des réfugiés climatiques ».
C’est la première fois qu’une telle action en justice liée au réchauffement climatique est lancée par des autochtones australiens.
Environ 5.000 personnes habitent les 274 îles australiennes du détroit de Torres, qui sépare l’Australie de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Plusieurs de ces îles, faiblement élevées, deviendront inhabitables si la température moyenne mondiale augmente de plus de 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, soutient le recours en justice. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estime que cette hausse pourrait survenir d’ici 2030.
Ce recours intervient le jour même où le gouvernement australien a annoncé qu’il visait la neutralité carbone en 2050, mais sans fournir de détails sur la façon dont il compte y parvenir et en renouvelant son soutien appuyé aux industries minière et gazière.
Paul Kaibai, un habitant de Saibai, a expliqué que les inondations à répétition et les sols gorgés de sel commencent à rendre la vie sur son île impossible. « Devenir réfugié climatique signifie tout perdre: nos maisons, notre culture, nos histoires, notre identité », a-t-il déploré.
Des autochtones habitant des îles isolées du nord de l’Australie ont déposé mardi un recours en justice pour tenter d’obliger le gouvernement à protéger leurs terres en réduisant davantage ses émissions de carbone.
Ils demandent à une Cour fédérale australienne d’ordonner à Canberra « de réduire les émissions de gaz à effet de serre à un niveau qui empêchera les insulaires du détroit de Torres de devenir des réfugiés climatiques ».
C’est la première fois qu’une telle action en justice liée au réchauffement climatique est lancée par des autochtones australiens.
Environ 5.000 personnes habitent les 274 îles australiennes du détroit de Torres, qui sépare l’Australie de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Plusieurs de ces îles, faiblement élevées, deviendront inhabitables si la température moyenne mondiale augmente de plus de 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, soutient le recours en justice. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estime que cette hausse pourrait survenir d’ici 2030.
Ce recours intervient le jour même où le gouvernement australien a annoncé qu’il visait la neutralité carbone en 2050, mais sans fournir de détails sur la façon dont il compte y parvenir et en renouvelant son soutien appuyé aux industries minière et gazière.
Paul Kaibai, un habitant de Saibai, a expliqué que les inondations à répétition et les sols gorgés de sel commencent à rendre la vie sur son île impossible. « Devenir réfugié climatique signifie tout perdre: nos maisons, notre culture, nos histoires, notre identité », a-t-il déploré.
Des autochtones habitant des îles isolées du nord de l’Australie ont déposé mardi un recours en justice pour tenter d’obliger le gouvernement à protéger leurs terres en réduisant davantage ses émissions de carbone.
Ils demandent à une Cour fédérale australienne d’ordonner à Canberra « de réduire les émissions de gaz à effet de serre à un niveau qui empêchera les insulaires du détroit de Torres de devenir des réfugiés climatiques ».
C’est la première fois qu’une telle action en justice liée au réchauffement climatique est lancée par des autochtones australiens.
Environ 5.000 personnes habitent les 274 îles australiennes du détroit de Torres, qui sépare l’Australie de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Plusieurs de ces îles, faiblement élevées, deviendront inhabitables si la température moyenne mondiale augmente de plus de 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, soutient le recours en justice. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estime que cette hausse pourrait survenir d’ici 2030.
Ce recours intervient le jour même où le gouvernement australien a annoncé qu’il visait la neutralité carbone en 2050, mais sans fournir de détails sur la façon dont il compte y parvenir et en renouvelant son soutien appuyé aux industries minière et gazière.
Paul Kaibai, un habitant de Saibai, a expliqué que les inondations à répétition et les sols gorgés de sel commencent à rendre la vie sur son île impossible. « Devenir réfugié climatique signifie tout perdre: nos maisons, notre culture, nos histoires, notre identité », a-t-il déploré.
Des autochtones habitant des îles isolées du nord de l’Australie ont déposé mardi un recours en justice pour tenter d’obliger le gouvernement à protéger leurs terres en réduisant davantage ses émissions de carbone.
Ils demandent à une Cour fédérale australienne d’ordonner à Canberra « de réduire les émissions de gaz à effet de serre à un niveau qui empêchera les insulaires du détroit de Torres de devenir des réfugiés climatiques ».
C’est la première fois qu’une telle action en justice liée au réchauffement climatique est lancée par des autochtones australiens.
Environ 5.000 personnes habitent les 274 îles australiennes du détroit de Torres, qui sépare l’Australie de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Plusieurs de ces îles, faiblement élevées, deviendront inhabitables si la température moyenne mondiale augmente de plus de 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, soutient le recours en justice. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estime que cette hausse pourrait survenir d’ici 2030.
Ce recours intervient le jour même où le gouvernement australien a annoncé qu’il visait la neutralité carbone en 2050, mais sans fournir de détails sur la façon dont il compte y parvenir et en renouvelant son soutien appuyé aux industries minière et gazière.
Paul Kaibai, un habitant de Saibai, a expliqué que les inondations à répétition et les sols gorgés de sel commencent à rendre la vie sur son île impossible. « Devenir réfugié climatique signifie tout perdre: nos maisons, notre culture, nos histoires, notre identité », a-t-il déploré.
Des autochtones habitant des îles isolées du nord de l’Australie ont déposé mardi un recours en justice pour tenter d’obliger le gouvernement à protéger leurs terres en réduisant davantage ses émissions de carbone.
Ils demandent à une Cour fédérale australienne d’ordonner à Canberra « de réduire les émissions de gaz à effet de serre à un niveau qui empêchera les insulaires du détroit de Torres de devenir des réfugiés climatiques ».
C’est la première fois qu’une telle action en justice liée au réchauffement climatique est lancée par des autochtones australiens.
Environ 5.000 personnes habitent les 274 îles australiennes du détroit de Torres, qui sépare l’Australie de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Plusieurs de ces îles, faiblement élevées, deviendront inhabitables si la température moyenne mondiale augmente de plus de 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, soutient le recours en justice. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estime que cette hausse pourrait survenir d’ici 2030.
Ce recours intervient le jour même où le gouvernement australien a annoncé qu’il visait la neutralité carbone en 2050, mais sans fournir de détails sur la façon dont il compte y parvenir et en renouvelant son soutien appuyé aux industries minière et gazière.
Paul Kaibai, un habitant de Saibai, a expliqué que les inondations à répétition et les sols gorgés de sel commencent à rendre la vie sur son île impossible. « Devenir réfugié climatique signifie tout perdre: nos maisons, notre culture, nos histoires, notre identité », a-t-il déploré.
Des autochtones habitant des îles isolées du nord de l’Australie ont déposé mardi un recours en justice pour tenter d’obliger le gouvernement à protéger leurs terres en réduisant davantage ses émissions de carbone.
Ils demandent à une Cour fédérale australienne d’ordonner à Canberra « de réduire les émissions de gaz à effet de serre à un niveau qui empêchera les insulaires du détroit de Torres de devenir des réfugiés climatiques ».
C’est la première fois qu’une telle action en justice liée au réchauffement climatique est lancée par des autochtones australiens.
Environ 5.000 personnes habitent les 274 îles australiennes du détroit de Torres, qui sépare l’Australie de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Plusieurs de ces îles, faiblement élevées, deviendront inhabitables si la température moyenne mondiale augmente de plus de 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, soutient le recours en justice. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estime que cette hausse pourrait survenir d’ici 2030.
Ce recours intervient le jour même où le gouvernement australien a annoncé qu’il visait la neutralité carbone en 2050, mais sans fournir de détails sur la façon dont il compte y parvenir et en renouvelant son soutien appuyé aux industries minière et gazière.
Paul Kaibai, un habitant de Saibai, a expliqué que les inondations à répétition et les sols gorgés de sel commencent à rendre la vie sur son île impossible. « Devenir réfugié climatique signifie tout perdre: nos maisons, notre culture, nos histoires, notre identité », a-t-il déploré.
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