Le gouvernement australien a présenté jeudi ses excuses pour avoir traité de « sale menteuse » une femme ayant affirmé avoir fait l’objet d’un viol.
« Je me suis entretenu de cette affaire avec la ministre Mme Reynolds », a affirmé M. Morrison. « Elle sait que ces commentaires étaient inappropriés et erronés (…) ils ont été tenus dans son bureau privé au cours d’une semaine stressante ».
Mme Higgins, 26 ans, a qualifié l’insulte d' »incroyablement blessante » et estimé que « ce type de comportement et de langage n’est pas excusable ». Pour elle, « ce n’est qu’une preuve supplémentaire de la culture toxique qui a cours derrière les portes closes au Parlement ».
Cette affaire est la dernière en date d’une série de révélations et accusations qui ébranlent, depuis plusieurs semaines, le gouvernement conservateur de M. Morrison.
Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie, de même qu’un autre poids-lourd de l’exécutif, l’Attorney-general (principal conseiller juridique du gouvernement) Christian Porter, lequel a révélé mercredi en pleurs être le ministre visé par des accusations anciennes de viol qu’il a catégoriquement rejetées.
Tout le pays se demandait depuis une semaine qui pouvait bien être ce membre du gouvernement rattrapé par ces accusations d’un viol qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et décédée en juin dernier –un suicide selon les médias– sans avoir porté plainte.
En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.
De son côté, Mme Reynolds est accusée d’avoir très mal géré les accusations portées par Mme Higgins, une ancienne employée du gouvernement qui affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre puis lâchée par sa hiérarchie.
Alors âgée de 24 ans, Mme Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Mme Reynolds, alors ministre de l’Industrie de défense et devenue depuis ministre de la Défense.
M. Morrison a apporté jeudi son soutien aux deux ministres et fait part de son intention de les maintenir à leur poste.
Il a également rejeté l’ouverture d’une enquête indépendante concernant les accusations dont M. Porter fait l’objet, affirmant que cela outrepasserait « l’Etat de droit », la police ayant classé l’affaire faute de « preuves recevables suffisantes ».
La famille de la jeune femme décédée a publié un communiqué jeudi dans lequel elle se dit « favorable à toute enquête qui pourrait faire la lumière sur les circonstances entourant ce décès », selon des médias australiens.
La police a indiqué jeudi avoir été, à de multiples reprises, en contact avec elle et que la veille de son suicide, elle leur a dit « ne plus être capable de faire un signalement, en invoquant des raisons médicales et personnelles ».
De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la manière dont le gouvernement traite les accusations d’agressions et harcèlement sexuels.
Le Parlement a été à plusieurs reprises critiqué pour être un milieu de travail « toxique ». Ces dernières années, de nombreuses femmes ont dénoncé des faits de harcèlement ou comportement sexuels inappropriés en son sein.
M. Morrison a indiqué qu’un nouveau service d’assistance téléphonique a été mis en place pour le personnel parlementaire et les élus qui ont besoin de conseils ou de soutien.
Le gouvernement australien a présenté jeudi ses excuses pour avoir traité de « sale menteuse » une femme ayant affirmé avoir fait l’objet d’un viol.
« Je me suis entretenu de cette affaire avec la ministre Mme Reynolds », a affirmé M. Morrison. « Elle sait que ces commentaires étaient inappropriés et erronés (…) ils ont été tenus dans son bureau privé au cours d’une semaine stressante ».
Mme Higgins, 26 ans, a qualifié l’insulte d' »incroyablement blessante » et estimé que « ce type de comportement et de langage n’est pas excusable ». Pour elle, « ce n’est qu’une preuve supplémentaire de la culture toxique qui a cours derrière les portes closes au Parlement ».
Cette affaire est la dernière en date d’une série de révélations et accusations qui ébranlent, depuis plusieurs semaines, le gouvernement conservateur de M. Morrison.
Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie, de même qu’un autre poids-lourd de l’exécutif, l’Attorney-general (principal conseiller juridique du gouvernement) Christian Porter, lequel a révélé mercredi en pleurs être le ministre visé par des accusations anciennes de viol qu’il a catégoriquement rejetées.
Tout le pays se demandait depuis une semaine qui pouvait bien être ce membre du gouvernement rattrapé par ces accusations d’un viol qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et décédée en juin dernier –un suicide selon les médias– sans avoir porté plainte.
En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.
De son côté, Mme Reynolds est accusée d’avoir très mal géré les accusations portées par Mme Higgins, une ancienne employée du gouvernement qui affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre puis lâchée par sa hiérarchie.
Alors âgée de 24 ans, Mme Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Mme Reynolds, alors ministre de l’Industrie de défense et devenue depuis ministre de la Défense.
M. Morrison a apporté jeudi son soutien aux deux ministres et fait part de son intention de les maintenir à leur poste.
Il a également rejeté l’ouverture d’une enquête indépendante concernant les accusations dont M. Porter fait l’objet, affirmant que cela outrepasserait « l’Etat de droit », la police ayant classé l’affaire faute de « preuves recevables suffisantes ».
La famille de la jeune femme décédée a publié un communiqué jeudi dans lequel elle se dit « favorable à toute enquête qui pourrait faire la lumière sur les circonstances entourant ce décès », selon des médias australiens.
La police a indiqué jeudi avoir été, à de multiples reprises, en contact avec elle et que la veille de son suicide, elle leur a dit « ne plus être capable de faire un signalement, en invoquant des raisons médicales et personnelles ».
De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la manière dont le gouvernement traite les accusations d’agressions et harcèlement sexuels.
Le Parlement a été à plusieurs reprises critiqué pour être un milieu de travail « toxique ». Ces dernières années, de nombreuses femmes ont dénoncé des faits de harcèlement ou comportement sexuels inappropriés en son sein.
M. Morrison a indiqué qu’un nouveau service d’assistance téléphonique a été mis en place pour le personnel parlementaire et les élus qui ont besoin de conseils ou de soutien.
Le gouvernement australien a présenté jeudi ses excuses pour avoir traité de « sale menteuse » une femme ayant affirmé avoir fait l’objet d’un viol.
« Je me suis entretenu de cette affaire avec la ministre Mme Reynolds », a affirmé M. Morrison. « Elle sait que ces commentaires étaient inappropriés et erronés (…) ils ont été tenus dans son bureau privé au cours d’une semaine stressante ».
Mme Higgins, 26 ans, a qualifié l’insulte d' »incroyablement blessante » et estimé que « ce type de comportement et de langage n’est pas excusable ». Pour elle, « ce n’est qu’une preuve supplémentaire de la culture toxique qui a cours derrière les portes closes au Parlement ».
Cette affaire est la dernière en date d’une série de révélations et accusations qui ébranlent, depuis plusieurs semaines, le gouvernement conservateur de M. Morrison.
Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie, de même qu’un autre poids-lourd de l’exécutif, l’Attorney-general (principal conseiller juridique du gouvernement) Christian Porter, lequel a révélé mercredi en pleurs être le ministre visé par des accusations anciennes de viol qu’il a catégoriquement rejetées.
Tout le pays se demandait depuis une semaine qui pouvait bien être ce membre du gouvernement rattrapé par ces accusations d’un viol qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et décédée en juin dernier –un suicide selon les médias– sans avoir porté plainte.
En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.
De son côté, Mme Reynolds est accusée d’avoir très mal géré les accusations portées par Mme Higgins, une ancienne employée du gouvernement qui affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre puis lâchée par sa hiérarchie.
Alors âgée de 24 ans, Mme Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Mme Reynolds, alors ministre de l’Industrie de défense et devenue depuis ministre de la Défense.
M. Morrison a apporté jeudi son soutien aux deux ministres et fait part de son intention de les maintenir à leur poste.
Il a également rejeté l’ouverture d’une enquête indépendante concernant les accusations dont M. Porter fait l’objet, affirmant que cela outrepasserait « l’Etat de droit », la police ayant classé l’affaire faute de « preuves recevables suffisantes ».
La famille de la jeune femme décédée a publié un communiqué jeudi dans lequel elle se dit « favorable à toute enquête qui pourrait faire la lumière sur les circonstances entourant ce décès », selon des médias australiens.
La police a indiqué jeudi avoir été, à de multiples reprises, en contact avec elle et que la veille de son suicide, elle leur a dit « ne plus être capable de faire un signalement, en invoquant des raisons médicales et personnelles ».
De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la manière dont le gouvernement traite les accusations d’agressions et harcèlement sexuels.
Le Parlement a été à plusieurs reprises critiqué pour être un milieu de travail « toxique ». Ces dernières années, de nombreuses femmes ont dénoncé des faits de harcèlement ou comportement sexuels inappropriés en son sein.
M. Morrison a indiqué qu’un nouveau service d’assistance téléphonique a été mis en place pour le personnel parlementaire et les élus qui ont besoin de conseils ou de soutien.
Le gouvernement australien a présenté jeudi ses excuses pour avoir traité de « sale menteuse » une femme ayant affirmé avoir fait l’objet d’un viol.
« Je me suis entretenu de cette affaire avec la ministre Mme Reynolds », a affirmé M. Morrison. « Elle sait que ces commentaires étaient inappropriés et erronés (…) ils ont été tenus dans son bureau privé au cours d’une semaine stressante ».
Mme Higgins, 26 ans, a qualifié l’insulte d' »incroyablement blessante » et estimé que « ce type de comportement et de langage n’est pas excusable ». Pour elle, « ce n’est qu’une preuve supplémentaire de la culture toxique qui a cours derrière les portes closes au Parlement ».
Cette affaire est la dernière en date d’une série de révélations et accusations qui ébranlent, depuis plusieurs semaines, le gouvernement conservateur de M. Morrison.
Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie, de même qu’un autre poids-lourd de l’exécutif, l’Attorney-general (principal conseiller juridique du gouvernement) Christian Porter, lequel a révélé mercredi en pleurs être le ministre visé par des accusations anciennes de viol qu’il a catégoriquement rejetées.
Tout le pays se demandait depuis une semaine qui pouvait bien être ce membre du gouvernement rattrapé par ces accusations d’un viol qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et décédée en juin dernier –un suicide selon les médias– sans avoir porté plainte.
En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.
De son côté, Mme Reynolds est accusée d’avoir très mal géré les accusations portées par Mme Higgins, une ancienne employée du gouvernement qui affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre puis lâchée par sa hiérarchie.
Alors âgée de 24 ans, Mme Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Mme Reynolds, alors ministre de l’Industrie de défense et devenue depuis ministre de la Défense.
M. Morrison a apporté jeudi son soutien aux deux ministres et fait part de son intention de les maintenir à leur poste.
Il a également rejeté l’ouverture d’une enquête indépendante concernant les accusations dont M. Porter fait l’objet, affirmant que cela outrepasserait « l’Etat de droit », la police ayant classé l’affaire faute de « preuves recevables suffisantes ».
La famille de la jeune femme décédée a publié un communiqué jeudi dans lequel elle se dit « favorable à toute enquête qui pourrait faire la lumière sur les circonstances entourant ce décès », selon des médias australiens.
La police a indiqué jeudi avoir été, à de multiples reprises, en contact avec elle et que la veille de son suicide, elle leur a dit « ne plus être capable de faire un signalement, en invoquant des raisons médicales et personnelles ».
De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la manière dont le gouvernement traite les accusations d’agressions et harcèlement sexuels.
Le Parlement a été à plusieurs reprises critiqué pour être un milieu de travail « toxique ». Ces dernières années, de nombreuses femmes ont dénoncé des faits de harcèlement ou comportement sexuels inappropriés en son sein.
M. Morrison a indiqué qu’un nouveau service d’assistance téléphonique a été mis en place pour le personnel parlementaire et les élus qui ont besoin de conseils ou de soutien.
Le gouvernement australien a présenté jeudi ses excuses pour avoir traité de « sale menteuse » une femme ayant affirmé avoir fait l’objet d’un viol.
« Je me suis entretenu de cette affaire avec la ministre Mme Reynolds », a affirmé M. Morrison. « Elle sait que ces commentaires étaient inappropriés et erronés (…) ils ont été tenus dans son bureau privé au cours d’une semaine stressante ».
Mme Higgins, 26 ans, a qualifié l’insulte d' »incroyablement blessante » et estimé que « ce type de comportement et de langage n’est pas excusable ». Pour elle, « ce n’est qu’une preuve supplémentaire de la culture toxique qui a cours derrière les portes closes au Parlement ».
Cette affaire est la dernière en date d’une série de révélations et accusations qui ébranlent, depuis plusieurs semaines, le gouvernement conservateur de M. Morrison.
Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie, de même qu’un autre poids-lourd de l’exécutif, l’Attorney-general (principal conseiller juridique du gouvernement) Christian Porter, lequel a révélé mercredi en pleurs être le ministre visé par des accusations anciennes de viol qu’il a catégoriquement rejetées.
Tout le pays se demandait depuis une semaine qui pouvait bien être ce membre du gouvernement rattrapé par ces accusations d’un viol qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et décédée en juin dernier –un suicide selon les médias– sans avoir porté plainte.
En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.
De son côté, Mme Reynolds est accusée d’avoir très mal géré les accusations portées par Mme Higgins, une ancienne employée du gouvernement qui affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre puis lâchée par sa hiérarchie.
Alors âgée de 24 ans, Mme Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Mme Reynolds, alors ministre de l’Industrie de défense et devenue depuis ministre de la Défense.
M. Morrison a apporté jeudi son soutien aux deux ministres et fait part de son intention de les maintenir à leur poste.
Il a également rejeté l’ouverture d’une enquête indépendante concernant les accusations dont M. Porter fait l’objet, affirmant que cela outrepasserait « l’Etat de droit », la police ayant classé l’affaire faute de « preuves recevables suffisantes ».
La famille de la jeune femme décédée a publié un communiqué jeudi dans lequel elle se dit « favorable à toute enquête qui pourrait faire la lumière sur les circonstances entourant ce décès », selon des médias australiens.
La police a indiqué jeudi avoir été, à de multiples reprises, en contact avec elle et que la veille de son suicide, elle leur a dit « ne plus être capable de faire un signalement, en invoquant des raisons médicales et personnelles ».
De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la manière dont le gouvernement traite les accusations d’agressions et harcèlement sexuels.
Le Parlement a été à plusieurs reprises critiqué pour être un milieu de travail « toxique ». Ces dernières années, de nombreuses femmes ont dénoncé des faits de harcèlement ou comportement sexuels inappropriés en son sein.
M. Morrison a indiqué qu’un nouveau service d’assistance téléphonique a été mis en place pour le personnel parlementaire et les élus qui ont besoin de conseils ou de soutien.
Le gouvernement australien a présenté jeudi ses excuses pour avoir traité de « sale menteuse » une femme ayant affirmé avoir fait l’objet d’un viol.
« Je me suis entretenu de cette affaire avec la ministre Mme Reynolds », a affirmé M. Morrison. « Elle sait que ces commentaires étaient inappropriés et erronés (…) ils ont été tenus dans son bureau privé au cours d’une semaine stressante ».
Mme Higgins, 26 ans, a qualifié l’insulte d' »incroyablement blessante » et estimé que « ce type de comportement et de langage n’est pas excusable ». Pour elle, « ce n’est qu’une preuve supplémentaire de la culture toxique qui a cours derrière les portes closes au Parlement ».
Cette affaire est la dernière en date d’une série de révélations et accusations qui ébranlent, depuis plusieurs semaines, le gouvernement conservateur de M. Morrison.
Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie, de même qu’un autre poids-lourd de l’exécutif, l’Attorney-general (principal conseiller juridique du gouvernement) Christian Porter, lequel a révélé mercredi en pleurs être le ministre visé par des accusations anciennes de viol qu’il a catégoriquement rejetées.
Tout le pays se demandait depuis une semaine qui pouvait bien être ce membre du gouvernement rattrapé par ces accusations d’un viol qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et décédée en juin dernier –un suicide selon les médias– sans avoir porté plainte.
En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.
De son côté, Mme Reynolds est accusée d’avoir très mal géré les accusations portées par Mme Higgins, une ancienne employée du gouvernement qui affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre puis lâchée par sa hiérarchie.
Alors âgée de 24 ans, Mme Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Mme Reynolds, alors ministre de l’Industrie de défense et devenue depuis ministre de la Défense.
M. Morrison a apporté jeudi son soutien aux deux ministres et fait part de son intention de les maintenir à leur poste.
Il a également rejeté l’ouverture d’une enquête indépendante concernant les accusations dont M. Porter fait l’objet, affirmant que cela outrepasserait « l’Etat de droit », la police ayant classé l’affaire faute de « preuves recevables suffisantes ».
La famille de la jeune femme décédée a publié un communiqué jeudi dans lequel elle se dit « favorable à toute enquête qui pourrait faire la lumière sur les circonstances entourant ce décès », selon des médias australiens.
La police a indiqué jeudi avoir été, à de multiples reprises, en contact avec elle et que la veille de son suicide, elle leur a dit « ne plus être capable de faire un signalement, en invoquant des raisons médicales et personnelles ».
De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la manière dont le gouvernement traite les accusations d’agressions et harcèlement sexuels.
Le Parlement a été à plusieurs reprises critiqué pour être un milieu de travail « toxique ». Ces dernières années, de nombreuses femmes ont dénoncé des faits de harcèlement ou comportement sexuels inappropriés en son sein.
M. Morrison a indiqué qu’un nouveau service d’assistance téléphonique a été mis en place pour le personnel parlementaire et les élus qui ont besoin de conseils ou de soutien.
Le gouvernement australien a présenté jeudi ses excuses pour avoir traité de « sale menteuse » une femme ayant affirmé avoir fait l’objet d’un viol.
« Je me suis entretenu de cette affaire avec la ministre Mme Reynolds », a affirmé M. Morrison. « Elle sait que ces commentaires étaient inappropriés et erronés (…) ils ont été tenus dans son bureau privé au cours d’une semaine stressante ».
Mme Higgins, 26 ans, a qualifié l’insulte d' »incroyablement blessante » et estimé que « ce type de comportement et de langage n’est pas excusable ». Pour elle, « ce n’est qu’une preuve supplémentaire de la culture toxique qui a cours derrière les portes closes au Parlement ».
Cette affaire est la dernière en date d’une série de révélations et accusations qui ébranlent, depuis plusieurs semaines, le gouvernement conservateur de M. Morrison.
Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie, de même qu’un autre poids-lourd de l’exécutif, l’Attorney-general (principal conseiller juridique du gouvernement) Christian Porter, lequel a révélé mercredi en pleurs être le ministre visé par des accusations anciennes de viol qu’il a catégoriquement rejetées.
Tout le pays se demandait depuis une semaine qui pouvait bien être ce membre du gouvernement rattrapé par ces accusations d’un viol qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et décédée en juin dernier –un suicide selon les médias– sans avoir porté plainte.
En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.
De son côté, Mme Reynolds est accusée d’avoir très mal géré les accusations portées par Mme Higgins, une ancienne employée du gouvernement qui affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre puis lâchée par sa hiérarchie.
Alors âgée de 24 ans, Mme Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Mme Reynolds, alors ministre de l’Industrie de défense et devenue depuis ministre de la Défense.
M. Morrison a apporté jeudi son soutien aux deux ministres et fait part de son intention de les maintenir à leur poste.
Il a également rejeté l’ouverture d’une enquête indépendante concernant les accusations dont M. Porter fait l’objet, affirmant que cela outrepasserait « l’Etat de droit », la police ayant classé l’affaire faute de « preuves recevables suffisantes ».
La famille de la jeune femme décédée a publié un communiqué jeudi dans lequel elle se dit « favorable à toute enquête qui pourrait faire la lumière sur les circonstances entourant ce décès », selon des médias australiens.
La police a indiqué jeudi avoir été, à de multiples reprises, en contact avec elle et que la veille de son suicide, elle leur a dit « ne plus être capable de faire un signalement, en invoquant des raisons médicales et personnelles ».
De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la manière dont le gouvernement traite les accusations d’agressions et harcèlement sexuels.
Le Parlement a été à plusieurs reprises critiqué pour être un milieu de travail « toxique ». Ces dernières années, de nombreuses femmes ont dénoncé des faits de harcèlement ou comportement sexuels inappropriés en son sein.
M. Morrison a indiqué qu’un nouveau service d’assistance téléphonique a été mis en place pour le personnel parlementaire et les élus qui ont besoin de conseils ou de soutien.
Le gouvernement australien a présenté jeudi ses excuses pour avoir traité de « sale menteuse » une femme ayant affirmé avoir fait l’objet d’un viol.
« Je me suis entretenu de cette affaire avec la ministre Mme Reynolds », a affirmé M. Morrison. « Elle sait que ces commentaires étaient inappropriés et erronés (…) ils ont été tenus dans son bureau privé au cours d’une semaine stressante ».
Mme Higgins, 26 ans, a qualifié l’insulte d' »incroyablement blessante » et estimé que « ce type de comportement et de langage n’est pas excusable ». Pour elle, « ce n’est qu’une preuve supplémentaire de la culture toxique qui a cours derrière les portes closes au Parlement ».
Cette affaire est la dernière en date d’une série de révélations et accusations qui ébranlent, depuis plusieurs semaines, le gouvernement conservateur de M. Morrison.
Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie, de même qu’un autre poids-lourd de l’exécutif, l’Attorney-general (principal conseiller juridique du gouvernement) Christian Porter, lequel a révélé mercredi en pleurs être le ministre visé par des accusations anciennes de viol qu’il a catégoriquement rejetées.
Tout le pays se demandait depuis une semaine qui pouvait bien être ce membre du gouvernement rattrapé par ces accusations d’un viol qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et décédée en juin dernier –un suicide selon les médias– sans avoir porté plainte.
En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.
De son côté, Mme Reynolds est accusée d’avoir très mal géré les accusations portées par Mme Higgins, une ancienne employée du gouvernement qui affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre puis lâchée par sa hiérarchie.
Alors âgée de 24 ans, Mme Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Mme Reynolds, alors ministre de l’Industrie de défense et devenue depuis ministre de la Défense.
M. Morrison a apporté jeudi son soutien aux deux ministres et fait part de son intention de les maintenir à leur poste.
Il a également rejeté l’ouverture d’une enquête indépendante concernant les accusations dont M. Porter fait l’objet, affirmant que cela outrepasserait « l’Etat de droit », la police ayant classé l’affaire faute de « preuves recevables suffisantes ».
La famille de la jeune femme décédée a publié un communiqué jeudi dans lequel elle se dit « favorable à toute enquête qui pourrait faire la lumière sur les circonstances entourant ce décès », selon des médias australiens.
La police a indiqué jeudi avoir été, à de multiples reprises, en contact avec elle et que la veille de son suicide, elle leur a dit « ne plus être capable de faire un signalement, en invoquant des raisons médicales et personnelles ».
De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la manière dont le gouvernement traite les accusations d’agressions et harcèlement sexuels.
Le Parlement a été à plusieurs reprises critiqué pour être un milieu de travail « toxique ». Ces dernières années, de nombreuses femmes ont dénoncé des faits de harcèlement ou comportement sexuels inappropriés en son sein.
M. Morrison a indiqué qu’un nouveau service d’assistance téléphonique a été mis en place pour le personnel parlementaire et les élus qui ont besoin de conseils ou de soutien.
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