Adriana Elcira Rivas Gonzalez, âgée de près de 70 ans, est sous le coup de sept chefs d’inculpation pour des crimes d’enlèvements aggravés commis dans les années 1970 et pour son rôle dans la disparition en 1976 du syndicaliste Víctor Díaz López, un très haut dirigeant du Parti communiste chilien (PCC).
Mme Rivas, arrêtée par la police australienne en février 2019, est soupçonnée d’avoir été membre de la Brigade Lautaro de la Dina qui mena des opérations en 1976 contre la direction clandestine du PCC, dont plusieurs cadres furent enlevés, torturés et tués.
En juin, elle avait perdu un premier procès en appel contre son extradition. La Cour fédérale australienne a confirmé mercredi le jugement rendu en première instance.
« Dans cet appel, une grande partie des arguments de Mme Rivas visait à affirmer qu’elle n’était pas coupable des infractions qui font l’objet de la demande d’extradition », ont déclaré les trois juges de la Cour fédérale, Debra Mortimer, Robert Bromwich et Stewart Anderson.
« La culpabilité ou l’innocence ne font pas partie du processus international d’extradition », ont-ils estimé, ajoutant que cette question relevait de la compétence des tribunaux chiliens.
Le Chili avait formellement demandé en 2018 son extradition à Canberra, où elle vivait depuis trente ans, travaillant comme nourrice et femme de ménage à Bondi, dans la banlieue de Sydney.
Dans une interview accordée en 2013 à la chaîne australienne SBS, elle avait clamé son innocence tout en défendant le recours à la torture au Chili sous la dictature (1973-1990).
« Il fallait qu’ils fassent parler les gens », expliquait-elle. « Cela s’est produit partout dans le monde, et pas seulement au Chili. »
Plus de 3.200 personnes sont mortes ou ont disparu pendant la dictature (1973-1990) et quelque 38.000 personnes ont été torturées.
Le général Pinochet est décédé en 2006, sans jamais avoir été jugé.
Adriana Elcira Rivas Gonzalez, âgée de près de 70 ans, est sous le coup de sept chefs d’inculpation pour des crimes d’enlèvements aggravés commis dans les années 1970 et pour son rôle dans la disparition en 1976 du syndicaliste Víctor Díaz López, un très haut dirigeant du Parti communiste chilien (PCC).
Mme Rivas, arrêtée par la police australienne en février 2019, est soupçonnée d’avoir été membre de la Brigade Lautaro de la Dina qui mena des opérations en 1976 contre la direction clandestine du PCC, dont plusieurs cadres furent enlevés, torturés et tués.
En juin, elle avait perdu un premier procès en appel contre son extradition. La Cour fédérale australienne a confirmé mercredi le jugement rendu en première instance.
« Dans cet appel, une grande partie des arguments de Mme Rivas visait à affirmer qu’elle n’était pas coupable des infractions qui font l’objet de la demande d’extradition », ont déclaré les trois juges de la Cour fédérale, Debra Mortimer, Robert Bromwich et Stewart Anderson.
« La culpabilité ou l’innocence ne font pas partie du processus international d’extradition », ont-ils estimé, ajoutant que cette question relevait de la compétence des tribunaux chiliens.
Le Chili avait formellement demandé en 2018 son extradition à Canberra, où elle vivait depuis trente ans, travaillant comme nourrice et femme de ménage à Bondi, dans la banlieue de Sydney.
Dans une interview accordée en 2013 à la chaîne australienne SBS, elle avait clamé son innocence tout en défendant le recours à la torture au Chili sous la dictature (1973-1990).
« Il fallait qu’ils fassent parler les gens », expliquait-elle. « Cela s’est produit partout dans le monde, et pas seulement au Chili. »
Plus de 3.200 personnes sont mortes ou ont disparu pendant la dictature (1973-1990) et quelque 38.000 personnes ont été torturées.
Le général Pinochet est décédé en 2006, sans jamais avoir été jugé.
Adriana Elcira Rivas Gonzalez, âgée de près de 70 ans, est sous le coup de sept chefs d’inculpation pour des crimes d’enlèvements aggravés commis dans les années 1970 et pour son rôle dans la disparition en 1976 du syndicaliste Víctor Díaz López, un très haut dirigeant du Parti communiste chilien (PCC).
Mme Rivas, arrêtée par la police australienne en février 2019, est soupçonnée d’avoir été membre de la Brigade Lautaro de la Dina qui mena des opérations en 1976 contre la direction clandestine du PCC, dont plusieurs cadres furent enlevés, torturés et tués.
En juin, elle avait perdu un premier procès en appel contre son extradition. La Cour fédérale australienne a confirmé mercredi le jugement rendu en première instance.
« Dans cet appel, une grande partie des arguments de Mme Rivas visait à affirmer qu’elle n’était pas coupable des infractions qui font l’objet de la demande d’extradition », ont déclaré les trois juges de la Cour fédérale, Debra Mortimer, Robert Bromwich et Stewart Anderson.
« La culpabilité ou l’innocence ne font pas partie du processus international d’extradition », ont-ils estimé, ajoutant que cette question relevait de la compétence des tribunaux chiliens.
Le Chili avait formellement demandé en 2018 son extradition à Canberra, où elle vivait depuis trente ans, travaillant comme nourrice et femme de ménage à Bondi, dans la banlieue de Sydney.
Dans une interview accordée en 2013 à la chaîne australienne SBS, elle avait clamé son innocence tout en défendant le recours à la torture au Chili sous la dictature (1973-1990).
« Il fallait qu’ils fassent parler les gens », expliquait-elle. « Cela s’est produit partout dans le monde, et pas seulement au Chili. »
Plus de 3.200 personnes sont mortes ou ont disparu pendant la dictature (1973-1990) et quelque 38.000 personnes ont été torturées.
Le général Pinochet est décédé en 2006, sans jamais avoir été jugé.
Adriana Elcira Rivas Gonzalez, âgée de près de 70 ans, est sous le coup de sept chefs d’inculpation pour des crimes d’enlèvements aggravés commis dans les années 1970 et pour son rôle dans la disparition en 1976 du syndicaliste Víctor Díaz López, un très haut dirigeant du Parti communiste chilien (PCC).
Mme Rivas, arrêtée par la police australienne en février 2019, est soupçonnée d’avoir été membre de la Brigade Lautaro de la Dina qui mena des opérations en 1976 contre la direction clandestine du PCC, dont plusieurs cadres furent enlevés, torturés et tués.
En juin, elle avait perdu un premier procès en appel contre son extradition. La Cour fédérale australienne a confirmé mercredi le jugement rendu en première instance.
« Dans cet appel, une grande partie des arguments de Mme Rivas visait à affirmer qu’elle n’était pas coupable des infractions qui font l’objet de la demande d’extradition », ont déclaré les trois juges de la Cour fédérale, Debra Mortimer, Robert Bromwich et Stewart Anderson.
« La culpabilité ou l’innocence ne font pas partie du processus international d’extradition », ont-ils estimé, ajoutant que cette question relevait de la compétence des tribunaux chiliens.
Le Chili avait formellement demandé en 2018 son extradition à Canberra, où elle vivait depuis trente ans, travaillant comme nourrice et femme de ménage à Bondi, dans la banlieue de Sydney.
Dans une interview accordée en 2013 à la chaîne australienne SBS, elle avait clamé son innocence tout en défendant le recours à la torture au Chili sous la dictature (1973-1990).
« Il fallait qu’ils fassent parler les gens », expliquait-elle. « Cela s’est produit partout dans le monde, et pas seulement au Chili. »
Plus de 3.200 personnes sont mortes ou ont disparu pendant la dictature (1973-1990) et quelque 38.000 personnes ont été torturées.
Le général Pinochet est décédé en 2006, sans jamais avoir été jugé.
Adriana Elcira Rivas Gonzalez, âgée de près de 70 ans, est sous le coup de sept chefs d’inculpation pour des crimes d’enlèvements aggravés commis dans les années 1970 et pour son rôle dans la disparition en 1976 du syndicaliste Víctor Díaz López, un très haut dirigeant du Parti communiste chilien (PCC).
Mme Rivas, arrêtée par la police australienne en février 2019, est soupçonnée d’avoir été membre de la Brigade Lautaro de la Dina qui mena des opérations en 1976 contre la direction clandestine du PCC, dont plusieurs cadres furent enlevés, torturés et tués.
En juin, elle avait perdu un premier procès en appel contre son extradition. La Cour fédérale australienne a confirmé mercredi le jugement rendu en première instance.
« Dans cet appel, une grande partie des arguments de Mme Rivas visait à affirmer qu’elle n’était pas coupable des infractions qui font l’objet de la demande d’extradition », ont déclaré les trois juges de la Cour fédérale, Debra Mortimer, Robert Bromwich et Stewart Anderson.
« La culpabilité ou l’innocence ne font pas partie du processus international d’extradition », ont-ils estimé, ajoutant que cette question relevait de la compétence des tribunaux chiliens.
Le Chili avait formellement demandé en 2018 son extradition à Canberra, où elle vivait depuis trente ans, travaillant comme nourrice et femme de ménage à Bondi, dans la banlieue de Sydney.
Dans une interview accordée en 2013 à la chaîne australienne SBS, elle avait clamé son innocence tout en défendant le recours à la torture au Chili sous la dictature (1973-1990).
« Il fallait qu’ils fassent parler les gens », expliquait-elle. « Cela s’est produit partout dans le monde, et pas seulement au Chili. »
Plus de 3.200 personnes sont mortes ou ont disparu pendant la dictature (1973-1990) et quelque 38.000 personnes ont été torturées.
Le général Pinochet est décédé en 2006, sans jamais avoir été jugé.
Adriana Elcira Rivas Gonzalez, âgée de près de 70 ans, est sous le coup de sept chefs d’inculpation pour des crimes d’enlèvements aggravés commis dans les années 1970 et pour son rôle dans la disparition en 1976 du syndicaliste Víctor Díaz López, un très haut dirigeant du Parti communiste chilien (PCC).
Mme Rivas, arrêtée par la police australienne en février 2019, est soupçonnée d’avoir été membre de la Brigade Lautaro de la Dina qui mena des opérations en 1976 contre la direction clandestine du PCC, dont plusieurs cadres furent enlevés, torturés et tués.
En juin, elle avait perdu un premier procès en appel contre son extradition. La Cour fédérale australienne a confirmé mercredi le jugement rendu en première instance.
« Dans cet appel, une grande partie des arguments de Mme Rivas visait à affirmer qu’elle n’était pas coupable des infractions qui font l’objet de la demande d’extradition », ont déclaré les trois juges de la Cour fédérale, Debra Mortimer, Robert Bromwich et Stewart Anderson.
« La culpabilité ou l’innocence ne font pas partie du processus international d’extradition », ont-ils estimé, ajoutant que cette question relevait de la compétence des tribunaux chiliens.
Le Chili avait formellement demandé en 2018 son extradition à Canberra, où elle vivait depuis trente ans, travaillant comme nourrice et femme de ménage à Bondi, dans la banlieue de Sydney.
Dans une interview accordée en 2013 à la chaîne australienne SBS, elle avait clamé son innocence tout en défendant le recours à la torture au Chili sous la dictature (1973-1990).
« Il fallait qu’ils fassent parler les gens », expliquait-elle. « Cela s’est produit partout dans le monde, et pas seulement au Chili. »
Plus de 3.200 personnes sont mortes ou ont disparu pendant la dictature (1973-1990) et quelque 38.000 personnes ont été torturées.
Le général Pinochet est décédé en 2006, sans jamais avoir été jugé.
Adriana Elcira Rivas Gonzalez, âgée de près de 70 ans, est sous le coup de sept chefs d’inculpation pour des crimes d’enlèvements aggravés commis dans les années 1970 et pour son rôle dans la disparition en 1976 du syndicaliste Víctor Díaz López, un très haut dirigeant du Parti communiste chilien (PCC).
Mme Rivas, arrêtée par la police australienne en février 2019, est soupçonnée d’avoir été membre de la Brigade Lautaro de la Dina qui mena des opérations en 1976 contre la direction clandestine du PCC, dont plusieurs cadres furent enlevés, torturés et tués.
En juin, elle avait perdu un premier procès en appel contre son extradition. La Cour fédérale australienne a confirmé mercredi le jugement rendu en première instance.
« Dans cet appel, une grande partie des arguments de Mme Rivas visait à affirmer qu’elle n’était pas coupable des infractions qui font l’objet de la demande d’extradition », ont déclaré les trois juges de la Cour fédérale, Debra Mortimer, Robert Bromwich et Stewart Anderson.
« La culpabilité ou l’innocence ne font pas partie du processus international d’extradition », ont-ils estimé, ajoutant que cette question relevait de la compétence des tribunaux chiliens.
Le Chili avait formellement demandé en 2018 son extradition à Canberra, où elle vivait depuis trente ans, travaillant comme nourrice et femme de ménage à Bondi, dans la banlieue de Sydney.
Dans une interview accordée en 2013 à la chaîne australienne SBS, elle avait clamé son innocence tout en défendant le recours à la torture au Chili sous la dictature (1973-1990).
« Il fallait qu’ils fassent parler les gens », expliquait-elle. « Cela s’est produit partout dans le monde, et pas seulement au Chili. »
Plus de 3.200 personnes sont mortes ou ont disparu pendant la dictature (1973-1990) et quelque 38.000 personnes ont été torturées.
Le général Pinochet est décédé en 2006, sans jamais avoir été jugé.
Adriana Elcira Rivas Gonzalez, âgée de près de 70 ans, est sous le coup de sept chefs d’inculpation pour des crimes d’enlèvements aggravés commis dans les années 1970 et pour son rôle dans la disparition en 1976 du syndicaliste Víctor Díaz López, un très haut dirigeant du Parti communiste chilien (PCC).
Mme Rivas, arrêtée par la police australienne en février 2019, est soupçonnée d’avoir été membre de la Brigade Lautaro de la Dina qui mena des opérations en 1976 contre la direction clandestine du PCC, dont plusieurs cadres furent enlevés, torturés et tués.
En juin, elle avait perdu un premier procès en appel contre son extradition. La Cour fédérale australienne a confirmé mercredi le jugement rendu en première instance.
« Dans cet appel, une grande partie des arguments de Mme Rivas visait à affirmer qu’elle n’était pas coupable des infractions qui font l’objet de la demande d’extradition », ont déclaré les trois juges de la Cour fédérale, Debra Mortimer, Robert Bromwich et Stewart Anderson.
« La culpabilité ou l’innocence ne font pas partie du processus international d’extradition », ont-ils estimé, ajoutant que cette question relevait de la compétence des tribunaux chiliens.
Le Chili avait formellement demandé en 2018 son extradition à Canberra, où elle vivait depuis trente ans, travaillant comme nourrice et femme de ménage à Bondi, dans la banlieue de Sydney.
Dans une interview accordée en 2013 à la chaîne australienne SBS, elle avait clamé son innocence tout en défendant le recours à la torture au Chili sous la dictature (1973-1990).
« Il fallait qu’ils fassent parler les gens », expliquait-elle. « Cela s’est produit partout dans le monde, et pas seulement au Chili. »
Plus de 3.200 personnes sont mortes ou ont disparu pendant la dictature (1973-1990) et quelque 38.000 personnes ont été torturées.
Le général Pinochet est décédé en 2006, sans jamais avoir été jugé.
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