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Home » AFP » Australie: un poids lourd du gouvernement dément des accusations de viol

Australie: un poids lourd du gouvernement dément des accusations de viol

AFP AFP
mars 1, 2022
Temps de lecture: 3 mins
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L’Attorney general australien Christian Porter, poids lourd du gouvernement conservateur, a révélé mercredi en pleurs qu’il était le ministre visé par des accusations anciennes de viol, et les a catégoriquement rejetées.

Cela faisait une semaine que tout le pays se demandait qui pouvait bien être ce membre du gouvernement qui se trouvait rattrapé par des accusations de viol, qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et aujourd’hui décédée.

En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.

M. Porter, 50 ans, a coupé court aux rumeurs qui le ciblaient en annonçant devant la presse qu’il était bien la personne visée par ces accusations, qu’il a démenties en pleurs: « Ces allégations ne se sont jamais produites. »

Ancien procureur, M. Porter est un poids lourd du gouvernement puisqu’il en est l’Attorney general (procureur général), soit le principal conseiller juridique.

M. Porter a affirmé qu’il ne démissionnerait pas, mais annoncé qu’il prendrait quelques jours pour tenter de se remettre du stress généré par cette affaire.

« J’en ai parlé avec le Premier ministre. Après consultation de mon médecin, je prendrai une petite période de congé pour évaluer et je l’espère, améliorer ma santé mentale. »

L’affaire avait éclaté la semaine dernière, quand plusieurs parlementaires avaient été les destinataires d’accusations selon lesquelles M. Porter aurait violé en 1988 l’adolescente de 16 ans, qui s’est suicidée l’an passé sans avoir jamais porté plainte.

– « Pas suffisamment de preuves » –

Elu de l’Etat d’Australie-Occidentale, M. Porter a dit être la victime d’une « campagne de calomnie » menée par les médias.

« A toutes les familles et amis bienveillants qui me posent depuis une semaine la question de savoir si je vais bien, je dois répondre: +je n’en sais vraiment rien+ », a-t-il dit en fondant en larmes.

Mardi, la police, qui avait lancé des investigations préliminaires, a annoncé qu’il n’y avait « pas suffisamment de preuves recevables pour poursuivre » l’enquête.

Lundi, le Premier ministre Scott Morrison s’était refusé à limoger le ministre mis en cause, expliquant que celui-ci avait rejeté les accusations et que l’affaire relevait de la police.

Cette nouvelle affaire a éclaté alors que l’exécutif a déjà été ébranlé le mois dernier par d’autres accusations de viol.

Une ancienne employée du gouvernement affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre, avant d’être lâchée par sa hiérarchie.

Alors âgée de 24 ans, Brittany Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Linda Reynolds, qui était alors ministre de l’Industrie de défense et est devenue depuis ministre de la Défense.

Elle a affirmé mi-février avoir été violée en 2019 par un collègue masculin dans le bureau de la ministre au Parlement après une soirée arrosée avec d’autres collègues du Parti libéral.

Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie.

M. Morrison avait initialement défendu la façon dont son gouvernement avait géré cette affaire, avant de présenter ses excuses.

De son côté, la sénatrice Verte Sarah Hanson-Young a aussi révélé ce week-end avoir porté à la connaissance de la police des accusations de viol visant un député travailliste dont elle avait été informée.

Ces révélations interviennent alors que plusieurs affaires d’agression sexuelle, d’intimidation et de harcèlement ont ces dernières années jeté une lumière crue sur la place des femmes dans le monde politique australien.

L’Attorney general australien Christian Porter, poids lourd du gouvernement conservateur, a révélé mercredi en pleurs qu’il était le ministre visé par des accusations anciennes de viol, et les a catégoriquement rejetées.

Cela faisait une semaine que tout le pays se demandait qui pouvait bien être ce membre du gouvernement qui se trouvait rattrapé par des accusations de viol, qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et aujourd’hui décédée.

En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.

M. Porter, 50 ans, a coupé court aux rumeurs qui le ciblaient en annonçant devant la presse qu’il était bien la personne visée par ces accusations, qu’il a démenties en pleurs: « Ces allégations ne se sont jamais produites. »

Ancien procureur, M. Porter est un poids lourd du gouvernement puisqu’il en est l’Attorney general (procureur général), soit le principal conseiller juridique.

M. Porter a affirmé qu’il ne démissionnerait pas, mais annoncé qu’il prendrait quelques jours pour tenter de se remettre du stress généré par cette affaire.

« J’en ai parlé avec le Premier ministre. Après consultation de mon médecin, je prendrai une petite période de congé pour évaluer et je l’espère, améliorer ma santé mentale. »

L’affaire avait éclaté la semaine dernière, quand plusieurs parlementaires avaient été les destinataires d’accusations selon lesquelles M. Porter aurait violé en 1988 l’adolescente de 16 ans, qui s’est suicidée l’an passé sans avoir jamais porté plainte.

– « Pas suffisamment de preuves » –

Elu de l’Etat d’Australie-Occidentale, M. Porter a dit être la victime d’une « campagne de calomnie » menée par les médias.

« A toutes les familles et amis bienveillants qui me posent depuis une semaine la question de savoir si je vais bien, je dois répondre: +je n’en sais vraiment rien+ », a-t-il dit en fondant en larmes.

Mardi, la police, qui avait lancé des investigations préliminaires, a annoncé qu’il n’y avait « pas suffisamment de preuves recevables pour poursuivre » l’enquête.

Lundi, le Premier ministre Scott Morrison s’était refusé à limoger le ministre mis en cause, expliquant que celui-ci avait rejeté les accusations et que l’affaire relevait de la police.

Cette nouvelle affaire a éclaté alors que l’exécutif a déjà été ébranlé le mois dernier par d’autres accusations de viol.

Une ancienne employée du gouvernement affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre, avant d’être lâchée par sa hiérarchie.

Alors âgée de 24 ans, Brittany Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Linda Reynolds, qui était alors ministre de l’Industrie de défense et est devenue depuis ministre de la Défense.

Elle a affirmé mi-février avoir été violée en 2019 par un collègue masculin dans le bureau de la ministre au Parlement après une soirée arrosée avec d’autres collègues du Parti libéral.

Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie.

M. Morrison avait initialement défendu la façon dont son gouvernement avait géré cette affaire, avant de présenter ses excuses.

De son côté, la sénatrice Verte Sarah Hanson-Young a aussi révélé ce week-end avoir porté à la connaissance de la police des accusations de viol visant un député travailliste dont elle avait été informée.

Ces révélations interviennent alors que plusieurs affaires d’agression sexuelle, d’intimidation et de harcèlement ont ces dernières années jeté une lumière crue sur la place des femmes dans le monde politique australien.

L’Attorney general australien Christian Porter, poids lourd du gouvernement conservateur, a révélé mercredi en pleurs qu’il était le ministre visé par des accusations anciennes de viol, et les a catégoriquement rejetées.

Cela faisait une semaine que tout le pays se demandait qui pouvait bien être ce membre du gouvernement qui se trouvait rattrapé par des accusations de viol, qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et aujourd’hui décédée.

En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.

M. Porter, 50 ans, a coupé court aux rumeurs qui le ciblaient en annonçant devant la presse qu’il était bien la personne visée par ces accusations, qu’il a démenties en pleurs: « Ces allégations ne se sont jamais produites. »

Ancien procureur, M. Porter est un poids lourd du gouvernement puisqu’il en est l’Attorney general (procureur général), soit le principal conseiller juridique.

M. Porter a affirmé qu’il ne démissionnerait pas, mais annoncé qu’il prendrait quelques jours pour tenter de se remettre du stress généré par cette affaire.

« J’en ai parlé avec le Premier ministre. Après consultation de mon médecin, je prendrai une petite période de congé pour évaluer et je l’espère, améliorer ma santé mentale. »

L’affaire avait éclaté la semaine dernière, quand plusieurs parlementaires avaient été les destinataires d’accusations selon lesquelles M. Porter aurait violé en 1988 l’adolescente de 16 ans, qui s’est suicidée l’an passé sans avoir jamais porté plainte.

– « Pas suffisamment de preuves » –

Elu de l’Etat d’Australie-Occidentale, M. Porter a dit être la victime d’une « campagne de calomnie » menée par les médias.

« A toutes les familles et amis bienveillants qui me posent depuis une semaine la question de savoir si je vais bien, je dois répondre: +je n’en sais vraiment rien+ », a-t-il dit en fondant en larmes.

Mardi, la police, qui avait lancé des investigations préliminaires, a annoncé qu’il n’y avait « pas suffisamment de preuves recevables pour poursuivre » l’enquête.

Lundi, le Premier ministre Scott Morrison s’était refusé à limoger le ministre mis en cause, expliquant que celui-ci avait rejeté les accusations et que l’affaire relevait de la police.

Cette nouvelle affaire a éclaté alors que l’exécutif a déjà été ébranlé le mois dernier par d’autres accusations de viol.

Une ancienne employée du gouvernement affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre, avant d’être lâchée par sa hiérarchie.

Alors âgée de 24 ans, Brittany Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Linda Reynolds, qui était alors ministre de l’Industrie de défense et est devenue depuis ministre de la Défense.

Elle a affirmé mi-février avoir été violée en 2019 par un collègue masculin dans le bureau de la ministre au Parlement après une soirée arrosée avec d’autres collègues du Parti libéral.

Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie.

M. Morrison avait initialement défendu la façon dont son gouvernement avait géré cette affaire, avant de présenter ses excuses.

De son côté, la sénatrice Verte Sarah Hanson-Young a aussi révélé ce week-end avoir porté à la connaissance de la police des accusations de viol visant un député travailliste dont elle avait été informée.

Ces révélations interviennent alors que plusieurs affaires d’agression sexuelle, d’intimidation et de harcèlement ont ces dernières années jeté une lumière crue sur la place des femmes dans le monde politique australien.

L’Attorney general australien Christian Porter, poids lourd du gouvernement conservateur, a révélé mercredi en pleurs qu’il était le ministre visé par des accusations anciennes de viol, et les a catégoriquement rejetées.

Cela faisait une semaine que tout le pays se demandait qui pouvait bien être ce membre du gouvernement qui se trouvait rattrapé par des accusations de viol, qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et aujourd’hui décédée.

En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.

M. Porter, 50 ans, a coupé court aux rumeurs qui le ciblaient en annonçant devant la presse qu’il était bien la personne visée par ces accusations, qu’il a démenties en pleurs: « Ces allégations ne se sont jamais produites. »

Ancien procureur, M. Porter est un poids lourd du gouvernement puisqu’il en est l’Attorney general (procureur général), soit le principal conseiller juridique.

M. Porter a affirmé qu’il ne démissionnerait pas, mais annoncé qu’il prendrait quelques jours pour tenter de se remettre du stress généré par cette affaire.

« J’en ai parlé avec le Premier ministre. Après consultation de mon médecin, je prendrai une petite période de congé pour évaluer et je l’espère, améliorer ma santé mentale. »

L’affaire avait éclaté la semaine dernière, quand plusieurs parlementaires avaient été les destinataires d’accusations selon lesquelles M. Porter aurait violé en 1988 l’adolescente de 16 ans, qui s’est suicidée l’an passé sans avoir jamais porté plainte.

– « Pas suffisamment de preuves » –

Elu de l’Etat d’Australie-Occidentale, M. Porter a dit être la victime d’une « campagne de calomnie » menée par les médias.

« A toutes les familles et amis bienveillants qui me posent depuis une semaine la question de savoir si je vais bien, je dois répondre: +je n’en sais vraiment rien+ », a-t-il dit en fondant en larmes.

Mardi, la police, qui avait lancé des investigations préliminaires, a annoncé qu’il n’y avait « pas suffisamment de preuves recevables pour poursuivre » l’enquête.

Lundi, le Premier ministre Scott Morrison s’était refusé à limoger le ministre mis en cause, expliquant que celui-ci avait rejeté les accusations et que l’affaire relevait de la police.

Cette nouvelle affaire a éclaté alors que l’exécutif a déjà été ébranlé le mois dernier par d’autres accusations de viol.

Une ancienne employée du gouvernement affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre, avant d’être lâchée par sa hiérarchie.

Alors âgée de 24 ans, Brittany Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Linda Reynolds, qui était alors ministre de l’Industrie de défense et est devenue depuis ministre de la Défense.

Elle a affirmé mi-février avoir été violée en 2019 par un collègue masculin dans le bureau de la ministre au Parlement après une soirée arrosée avec d’autres collègues du Parti libéral.

Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie.

M. Morrison avait initialement défendu la façon dont son gouvernement avait géré cette affaire, avant de présenter ses excuses.

De son côté, la sénatrice Verte Sarah Hanson-Young a aussi révélé ce week-end avoir porté à la connaissance de la police des accusations de viol visant un député travailliste dont elle avait été informée.

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Cela faisait une semaine que tout le pays se demandait qui pouvait bien être ce membre du gouvernement qui se trouvait rattrapé par des accusations de viol, qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et aujourd’hui décédée.

En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.

M. Porter, 50 ans, a coupé court aux rumeurs qui le ciblaient en annonçant devant la presse qu’il était bien la personne visée par ces accusations, qu’il a démenties en pleurs: « Ces allégations ne se sont jamais produites. »

Ancien procureur, M. Porter est un poids lourd du gouvernement puisqu’il en est l’Attorney general (procureur général), soit le principal conseiller juridique.

M. Porter a affirmé qu’il ne démissionnerait pas, mais annoncé qu’il prendrait quelques jours pour tenter de se remettre du stress généré par cette affaire.

« J’en ai parlé avec le Premier ministre. Après consultation de mon médecin, je prendrai une petite période de congé pour évaluer et je l’espère, améliorer ma santé mentale. »

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Lundi, le Premier ministre Scott Morrison s’était refusé à limoger le ministre mis en cause, expliquant que celui-ci avait rejeté les accusations et que l’affaire relevait de la police.

Cette nouvelle affaire a éclaté alors que l’exécutif a déjà été ébranlé le mois dernier par d’autres accusations de viol.

Une ancienne employée du gouvernement affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre, avant d’être lâchée par sa hiérarchie.

Alors âgée de 24 ans, Brittany Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Linda Reynolds, qui était alors ministre de l’Industrie de défense et est devenue depuis ministre de la Défense.

Elle a affirmé mi-février avoir été violée en 2019 par un collègue masculin dans le bureau de la ministre au Parlement après une soirée arrosée avec d’autres collègues du Parti libéral.

Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie.

M. Morrison avait initialement défendu la façon dont son gouvernement avait géré cette affaire, avant de présenter ses excuses.

De son côté, la sénatrice Verte Sarah Hanson-Young a aussi révélé ce week-end avoir porté à la connaissance de la police des accusations de viol visant un député travailliste dont elle avait été informée.

Ces révélations interviennent alors que plusieurs affaires d’agression sexuelle, d’intimidation et de harcèlement ont ces dernières années jeté une lumière crue sur la place des femmes dans le monde politique australien.

L’Attorney general australien Christian Porter, poids lourd du gouvernement conservateur, a révélé mercredi en pleurs qu’il était le ministre visé par des accusations anciennes de viol, et les a catégoriquement rejetées.

Cela faisait une semaine que tout le pays se demandait qui pouvait bien être ce membre du gouvernement qui se trouvait rattrapé par des accusations de viol, qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et aujourd’hui décédée.

En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.

M. Porter, 50 ans, a coupé court aux rumeurs qui le ciblaient en annonçant devant la presse qu’il était bien la personne visée par ces accusations, qu’il a démenties en pleurs: « Ces allégations ne se sont jamais produites. »

Ancien procureur, M. Porter est un poids lourd du gouvernement puisqu’il en est l’Attorney general (procureur général), soit le principal conseiller juridique.

M. Porter a affirmé qu’il ne démissionnerait pas, mais annoncé qu’il prendrait quelques jours pour tenter de se remettre du stress généré par cette affaire.

« J’en ai parlé avec le Premier ministre. Après consultation de mon médecin, je prendrai une petite période de congé pour évaluer et je l’espère, améliorer ma santé mentale. »

L’affaire avait éclaté la semaine dernière, quand plusieurs parlementaires avaient été les destinataires d’accusations selon lesquelles M. Porter aurait violé en 1988 l’adolescente de 16 ans, qui s’est suicidée l’an passé sans avoir jamais porté plainte.

– « Pas suffisamment de preuves » –

Elu de l’Etat d’Australie-Occidentale, M. Porter a dit être la victime d’une « campagne de calomnie » menée par les médias.

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Mardi, la police, qui avait lancé des investigations préliminaires, a annoncé qu’il n’y avait « pas suffisamment de preuves recevables pour poursuivre » l’enquête.

Lundi, le Premier ministre Scott Morrison s’était refusé à limoger le ministre mis en cause, expliquant que celui-ci avait rejeté les accusations et que l’affaire relevait de la police.

Cette nouvelle affaire a éclaté alors que l’exécutif a déjà été ébranlé le mois dernier par d’autres accusations de viol.

Une ancienne employée du gouvernement affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre, avant d’être lâchée par sa hiérarchie.

Alors âgée de 24 ans, Brittany Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Linda Reynolds, qui était alors ministre de l’Industrie de défense et est devenue depuis ministre de la Défense.

Elle a affirmé mi-février avoir été violée en 2019 par un collègue masculin dans le bureau de la ministre au Parlement après une soirée arrosée avec d’autres collègues du Parti libéral.

Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie.

M. Morrison avait initialement défendu la façon dont son gouvernement avait géré cette affaire, avant de présenter ses excuses.

De son côté, la sénatrice Verte Sarah Hanson-Young a aussi révélé ce week-end avoir porté à la connaissance de la police des accusations de viol visant un député travailliste dont elle avait été informée.

Ces révélations interviennent alors que plusieurs affaires d’agression sexuelle, d’intimidation et de harcèlement ont ces dernières années jeté une lumière crue sur la place des femmes dans le monde politique australien.

L’Attorney general australien Christian Porter, poids lourd du gouvernement conservateur, a révélé mercredi en pleurs qu’il était le ministre visé par des accusations anciennes de viol, et les a catégoriquement rejetées.

Cela faisait une semaine que tout le pays se demandait qui pouvait bien être ce membre du gouvernement qui se trouvait rattrapé par des accusations de viol, qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et aujourd’hui décédée.

En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.

M. Porter, 50 ans, a coupé court aux rumeurs qui le ciblaient en annonçant devant la presse qu’il était bien la personne visée par ces accusations, qu’il a démenties en pleurs: « Ces allégations ne se sont jamais produites. »

Ancien procureur, M. Porter est un poids lourd du gouvernement puisqu’il en est l’Attorney general (procureur général), soit le principal conseiller juridique.

M. Porter a affirmé qu’il ne démissionnerait pas, mais annoncé qu’il prendrait quelques jours pour tenter de se remettre du stress généré par cette affaire.

« J’en ai parlé avec le Premier ministre. Après consultation de mon médecin, je prendrai une petite période de congé pour évaluer et je l’espère, améliorer ma santé mentale. »

L’affaire avait éclaté la semaine dernière, quand plusieurs parlementaires avaient été les destinataires d’accusations selon lesquelles M. Porter aurait violé en 1988 l’adolescente de 16 ans, qui s’est suicidée l’an passé sans avoir jamais porté plainte.

– « Pas suffisamment de preuves » –

Elu de l’Etat d’Australie-Occidentale, M. Porter a dit être la victime d’une « campagne de calomnie » menée par les médias.

« A toutes les familles et amis bienveillants qui me posent depuis une semaine la question de savoir si je vais bien, je dois répondre: +je n’en sais vraiment rien+ », a-t-il dit en fondant en larmes.

Mardi, la police, qui avait lancé des investigations préliminaires, a annoncé qu’il n’y avait « pas suffisamment de preuves recevables pour poursuivre » l’enquête.

Lundi, le Premier ministre Scott Morrison s’était refusé à limoger le ministre mis en cause, expliquant que celui-ci avait rejeté les accusations et que l’affaire relevait de la police.

Cette nouvelle affaire a éclaté alors que l’exécutif a déjà été ébranlé le mois dernier par d’autres accusations de viol.

Une ancienne employée du gouvernement affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre, avant d’être lâchée par sa hiérarchie.

Alors âgée de 24 ans, Brittany Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Linda Reynolds, qui était alors ministre de l’Industrie de défense et est devenue depuis ministre de la Défense.

Elle a affirmé mi-février avoir été violée en 2019 par un collègue masculin dans le bureau de la ministre au Parlement après une soirée arrosée avec d’autres collègues du Parti libéral.

Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie.

M. Morrison avait initialement défendu la façon dont son gouvernement avait géré cette affaire, avant de présenter ses excuses.

De son côté, la sénatrice Verte Sarah Hanson-Young a aussi révélé ce week-end avoir porté à la connaissance de la police des accusations de viol visant un député travailliste dont elle avait été informée.

Ces révélations interviennent alors que plusieurs affaires d’agression sexuelle, d’intimidation et de harcèlement ont ces dernières années jeté une lumière crue sur la place des femmes dans le monde politique australien.

L’Attorney general australien Christian Porter, poids lourd du gouvernement conservateur, a révélé mercredi en pleurs qu’il était le ministre visé par des accusations anciennes de viol, et les a catégoriquement rejetées.

Cela faisait une semaine que tout le pays se demandait qui pouvait bien être ce membre du gouvernement qui se trouvait rattrapé par des accusations de viol, qui aurait été commis en 1988 sur une adolescente alors âgée de 16 ans et aujourd’hui décédée.

En raison des lois australiennes très strictes contre la diffamation, le nom du mis en cause ne pouvait être révélé, à moins que celui-ci ne le fasse lui-même.

M. Porter, 50 ans, a coupé court aux rumeurs qui le ciblaient en annonçant devant la presse qu’il était bien la personne visée par ces accusations, qu’il a démenties en pleurs: « Ces allégations ne se sont jamais produites. »

Ancien procureur, M. Porter est un poids lourd du gouvernement puisqu’il en est l’Attorney general (procureur général), soit le principal conseiller juridique.

M. Porter a affirmé qu’il ne démissionnerait pas, mais annoncé qu’il prendrait quelques jours pour tenter de se remettre du stress généré par cette affaire.

« J’en ai parlé avec le Premier ministre. Après consultation de mon médecin, je prendrai une petite période de congé pour évaluer et je l’espère, améliorer ma santé mentale. »

L’affaire avait éclaté la semaine dernière, quand plusieurs parlementaires avaient été les destinataires d’accusations selon lesquelles M. Porter aurait violé en 1988 l’adolescente de 16 ans, qui s’est suicidée l’an passé sans avoir jamais porté plainte.

– « Pas suffisamment de preuves » –

Elu de l’Etat d’Australie-Occidentale, M. Porter a dit être la victime d’une « campagne de calomnie » menée par les médias.

« A toutes les familles et amis bienveillants qui me posent depuis une semaine la question de savoir si je vais bien, je dois répondre: +je n’en sais vraiment rien+ », a-t-il dit en fondant en larmes.

Mardi, la police, qui avait lancé des investigations préliminaires, a annoncé qu’il n’y avait « pas suffisamment de preuves recevables pour poursuivre » l’enquête.

Lundi, le Premier ministre Scott Morrison s’était refusé à limoger le ministre mis en cause, expliquant que celui-ci avait rejeté les accusations et que l’affaire relevait de la police.

Cette nouvelle affaire a éclaté alors que l’exécutif a déjà été ébranlé le mois dernier par d’autres accusations de viol.

Une ancienne employée du gouvernement affirme avoir été violée en 2019 dans le bureau au Parlement d’une ministre, avant d’être lâchée par sa hiérarchie.

Alors âgée de 24 ans, Brittany Higgins travaillait depuis plusieurs mois pour Linda Reynolds, qui était alors ministre de l’Industrie de défense et est devenue depuis ministre de la Défense.

Elle a affirmé mi-février avoir été violée en 2019 par un collègue masculin dans le bureau de la ministre au Parlement après une soirée arrosée avec d’autres collègues du Parti libéral.

Mme Reynolds est actuellement en arrêt maladie.

M. Morrison avait initialement défendu la façon dont son gouvernement avait géré cette affaire, avant de présenter ses excuses.

De son côté, la sénatrice Verte Sarah Hanson-Young a aussi révélé ce week-end avoir porté à la connaissance de la police des accusations de viol visant un député travailliste dont elle avait été informée.

Ces révélations interviennent alors que plusieurs affaires d’agression sexuelle, d’intimidation et de harcèlement ont ces dernières années jeté une lumière crue sur la place des femmes dans le monde politique australien.

Tags: gouvernementviol
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