Le ministre australien de l’Education et de la Jeunesse, Alan Tudge, a été suspendu de ses fonctions dans l’attente d’une enquête sur des accusations de harcèlement formulées par une ancienne employée, a annoncé jeudi le Premier ministre Scott Morrison.
Mme Miller, qui avait révélé cette liaison l’an dernier, a dit aux journalistes avoir vécu une « relation émotionnellement et, à une occasion, physiquement abusive » marquée par un « déséquilibre de pouvoir ». Elle a notamment dit avoir reçu des coups de pied de la part de M. Tudge au cours d’une dispute.
Dans un communiqué, le ministre a « complètement et catégoriquement » nié ces accusations.
Quelques heures après les déclarations de Mme Miller, le Premier ministre a Scott Morrison a déclaré devant le Parlement que M. Tudge avait accepté sa suspension dans l’attente d’une enquête « indépendante et juste ».
Cette affaire intervient quelques jours après la publication d’une enquête officielle sur la « culture sexiste » du Parlement australien, qui a révélé que plus de la moitié des employés de l’assemblée avaient été victimes de harcèlement moral ou sexuel ou d’agressions sexuelles pendant leur travail.
En 2019, une assistante parlementaire avait accusé un ministre australien de l’avoir violée dans son bureau, déclenchant une vague nationale d’indignation et de manifestations. L’affaire est actuellement en cours d’examen par la justice.
Le ministre australien de l’Education et de la Jeunesse, Alan Tudge, a été suspendu de ses fonctions dans l’attente d’une enquête sur des accusations de harcèlement formulées par une ancienne employée, a annoncé jeudi le Premier ministre Scott Morrison.
Mme Miller, qui avait révélé cette liaison l’an dernier, a dit aux journalistes avoir vécu une « relation émotionnellement et, à une occasion, physiquement abusive » marquée par un « déséquilibre de pouvoir ». Elle a notamment dit avoir reçu des coups de pied de la part de M. Tudge au cours d’une dispute.
Dans un communiqué, le ministre a « complètement et catégoriquement » nié ces accusations.
Quelques heures après les déclarations de Mme Miller, le Premier ministre a Scott Morrison a déclaré devant le Parlement que M. Tudge avait accepté sa suspension dans l’attente d’une enquête « indépendante et juste ».
Cette affaire intervient quelques jours après la publication d’une enquête officielle sur la « culture sexiste » du Parlement australien, qui a révélé que plus de la moitié des employés de l’assemblée avaient été victimes de harcèlement moral ou sexuel ou d’agressions sexuelles pendant leur travail.
En 2019, une assistante parlementaire avait accusé un ministre australien de l’avoir violée dans son bureau, déclenchant une vague nationale d’indignation et de manifestations. L’affaire est actuellement en cours d’examen par la justice.
Le ministre australien de l’Education et de la Jeunesse, Alan Tudge, a été suspendu de ses fonctions dans l’attente d’une enquête sur des accusations de harcèlement formulées par une ancienne employée, a annoncé jeudi le Premier ministre Scott Morrison.
Mme Miller, qui avait révélé cette liaison l’an dernier, a dit aux journalistes avoir vécu une « relation émotionnellement et, à une occasion, physiquement abusive » marquée par un « déséquilibre de pouvoir ». Elle a notamment dit avoir reçu des coups de pied de la part de M. Tudge au cours d’une dispute.
Dans un communiqué, le ministre a « complètement et catégoriquement » nié ces accusations.
Quelques heures après les déclarations de Mme Miller, le Premier ministre a Scott Morrison a déclaré devant le Parlement que M. Tudge avait accepté sa suspension dans l’attente d’une enquête « indépendante et juste ».
Cette affaire intervient quelques jours après la publication d’une enquête officielle sur la « culture sexiste » du Parlement australien, qui a révélé que plus de la moitié des employés de l’assemblée avaient été victimes de harcèlement moral ou sexuel ou d’agressions sexuelles pendant leur travail.
En 2019, une assistante parlementaire avait accusé un ministre australien de l’avoir violée dans son bureau, déclenchant une vague nationale d’indignation et de manifestations. L’affaire est actuellement en cours d’examen par la justice.
Le ministre australien de l’Education et de la Jeunesse, Alan Tudge, a été suspendu de ses fonctions dans l’attente d’une enquête sur des accusations de harcèlement formulées par une ancienne employée, a annoncé jeudi le Premier ministre Scott Morrison.
Mme Miller, qui avait révélé cette liaison l’an dernier, a dit aux journalistes avoir vécu une « relation émotionnellement et, à une occasion, physiquement abusive » marquée par un « déséquilibre de pouvoir ». Elle a notamment dit avoir reçu des coups de pied de la part de M. Tudge au cours d’une dispute.
Dans un communiqué, le ministre a « complètement et catégoriquement » nié ces accusations.
Quelques heures après les déclarations de Mme Miller, le Premier ministre a Scott Morrison a déclaré devant le Parlement que M. Tudge avait accepté sa suspension dans l’attente d’une enquête « indépendante et juste ».
Cette affaire intervient quelques jours après la publication d’une enquête officielle sur la « culture sexiste » du Parlement australien, qui a révélé que plus de la moitié des employés de l’assemblée avaient été victimes de harcèlement moral ou sexuel ou d’agressions sexuelles pendant leur travail.
En 2019, une assistante parlementaire avait accusé un ministre australien de l’avoir violée dans son bureau, déclenchant une vague nationale d’indignation et de manifestations. L’affaire est actuellement en cours d’examen par la justice.
Le ministre australien de l’Education et de la Jeunesse, Alan Tudge, a été suspendu de ses fonctions dans l’attente d’une enquête sur des accusations de harcèlement formulées par une ancienne employée, a annoncé jeudi le Premier ministre Scott Morrison.
Mme Miller, qui avait révélé cette liaison l’an dernier, a dit aux journalistes avoir vécu une « relation émotionnellement et, à une occasion, physiquement abusive » marquée par un « déséquilibre de pouvoir ». Elle a notamment dit avoir reçu des coups de pied de la part de M. Tudge au cours d’une dispute.
Dans un communiqué, le ministre a « complètement et catégoriquement » nié ces accusations.
Quelques heures après les déclarations de Mme Miller, le Premier ministre a Scott Morrison a déclaré devant le Parlement que M. Tudge avait accepté sa suspension dans l’attente d’une enquête « indépendante et juste ».
Cette affaire intervient quelques jours après la publication d’une enquête officielle sur la « culture sexiste » du Parlement australien, qui a révélé que plus de la moitié des employés de l’assemblée avaient été victimes de harcèlement moral ou sexuel ou d’agressions sexuelles pendant leur travail.
En 2019, une assistante parlementaire avait accusé un ministre australien de l’avoir violée dans son bureau, déclenchant une vague nationale d’indignation et de manifestations. L’affaire est actuellement en cours d’examen par la justice.
Le ministre australien de l’Education et de la Jeunesse, Alan Tudge, a été suspendu de ses fonctions dans l’attente d’une enquête sur des accusations de harcèlement formulées par une ancienne employée, a annoncé jeudi le Premier ministre Scott Morrison.
Mme Miller, qui avait révélé cette liaison l’an dernier, a dit aux journalistes avoir vécu une « relation émotionnellement et, à une occasion, physiquement abusive » marquée par un « déséquilibre de pouvoir ». Elle a notamment dit avoir reçu des coups de pied de la part de M. Tudge au cours d’une dispute.
Dans un communiqué, le ministre a « complètement et catégoriquement » nié ces accusations.
Quelques heures après les déclarations de Mme Miller, le Premier ministre a Scott Morrison a déclaré devant le Parlement que M. Tudge avait accepté sa suspension dans l’attente d’une enquête « indépendante et juste ».
Cette affaire intervient quelques jours après la publication d’une enquête officielle sur la « culture sexiste » du Parlement australien, qui a révélé que plus de la moitié des employés de l’assemblée avaient été victimes de harcèlement moral ou sexuel ou d’agressions sexuelles pendant leur travail.
En 2019, une assistante parlementaire avait accusé un ministre australien de l’avoir violée dans son bureau, déclenchant une vague nationale d’indignation et de manifestations. L’affaire est actuellement en cours d’examen par la justice.
Le ministre australien de l’Education et de la Jeunesse, Alan Tudge, a été suspendu de ses fonctions dans l’attente d’une enquête sur des accusations de harcèlement formulées par une ancienne employée, a annoncé jeudi le Premier ministre Scott Morrison.
Mme Miller, qui avait révélé cette liaison l’an dernier, a dit aux journalistes avoir vécu une « relation émotionnellement et, à une occasion, physiquement abusive » marquée par un « déséquilibre de pouvoir ». Elle a notamment dit avoir reçu des coups de pied de la part de M. Tudge au cours d’une dispute.
Dans un communiqué, le ministre a « complètement et catégoriquement » nié ces accusations.
Quelques heures après les déclarations de Mme Miller, le Premier ministre a Scott Morrison a déclaré devant le Parlement que M. Tudge avait accepté sa suspension dans l’attente d’une enquête « indépendante et juste ».
Cette affaire intervient quelques jours après la publication d’une enquête officielle sur la « culture sexiste » du Parlement australien, qui a révélé que plus de la moitié des employés de l’assemblée avaient été victimes de harcèlement moral ou sexuel ou d’agressions sexuelles pendant leur travail.
En 2019, une assistante parlementaire avait accusé un ministre australien de l’avoir violée dans son bureau, déclenchant une vague nationale d’indignation et de manifestations. L’affaire est actuellement en cours d’examen par la justice.
Le ministre australien de l’Education et de la Jeunesse, Alan Tudge, a été suspendu de ses fonctions dans l’attente d’une enquête sur des accusations de harcèlement formulées par une ancienne employée, a annoncé jeudi le Premier ministre Scott Morrison.
Mme Miller, qui avait révélé cette liaison l’an dernier, a dit aux journalistes avoir vécu une « relation émotionnellement et, à une occasion, physiquement abusive » marquée par un « déséquilibre de pouvoir ». Elle a notamment dit avoir reçu des coups de pied de la part de M. Tudge au cours d’une dispute.
Dans un communiqué, le ministre a « complètement et catégoriquement » nié ces accusations.
Quelques heures après les déclarations de Mme Miller, le Premier ministre a Scott Morrison a déclaré devant le Parlement que M. Tudge avait accepté sa suspension dans l’attente d’une enquête « indépendante et juste ».
Cette affaire intervient quelques jours après la publication d’une enquête officielle sur la « culture sexiste » du Parlement australien, qui a révélé que plus de la moitié des employés de l’assemblée avaient été victimes de harcèlement moral ou sexuel ou d’agressions sexuelles pendant leur travail.
En 2019, une assistante parlementaire avait accusé un ministre australien de l’avoir violée dans son bureau, déclenchant une vague nationale d’indignation et de manifestations. L’affaire est actuellement en cours d’examen par la justice.
Discussion à ce sujet post