Les mesures de quarantaine et les contrôles aux frontières ont fait chuter le Produit intérieur brut (PIB) australien de 1,9% au troisième trimestre par rapport au trimestre précédent, selon des statistiques officielles publiées mercredi, une chute moins forte qu’anticipée.
Cette première baisse depuis la première moitié de 2020 reflète selon l’institution les « quarantaines prolongées » instaurées dans les Etats les plus peuplés du pays.
De grandes villes comme Sydney, Melbourne et Canberra étaient toutes sous cloche pendant une bonne partie du trimestre, ce qui a considérablement freiné les dépenses des ménages en services.
Les dépenses en hôtels, cafés et restaurants ont diminué de 21%, et celles en transports de 40%.
Les économistes avaient prévu une chute de la croissance d’environ 2,8%, mais l’augmentation des exportations semble être venue à la rescousse, soutenue par les prix élevés du charbon et du gaz.
Le Canada, l’Inde, le Japon ou les Etats-Unis ont au contraire vu une croissance de leur PIB sur la même période.
L’économie devrait rebondir au dernier trimestre 2021 selon les attentes des analystes, malgré les inquiétudes posées par le variant Omicron du coronavirus.
Selon Moody’s Investor Service, ce variant « pose de nouveaux risques pour la croissance économique mondiale » et augmente « les perspectives d’inflation ».
L’Australie fait partie des pays qui ont instauré des restrictions de voyages pour lutter contre ce nouveau variant très contagieux.
Les mesures de quarantaine et les contrôles aux frontières ont fait chuter le Produit intérieur brut (PIB) australien de 1,9% au troisième trimestre par rapport au trimestre précédent, selon des statistiques officielles publiées mercredi, une chute moins forte qu’anticipée.
Cette première baisse depuis la première moitié de 2020 reflète selon l’institution les « quarantaines prolongées » instaurées dans les Etats les plus peuplés du pays.
De grandes villes comme Sydney, Melbourne et Canberra étaient toutes sous cloche pendant une bonne partie du trimestre, ce qui a considérablement freiné les dépenses des ménages en services.
Les dépenses en hôtels, cafés et restaurants ont diminué de 21%, et celles en transports de 40%.
Les économistes avaient prévu une chute de la croissance d’environ 2,8%, mais l’augmentation des exportations semble être venue à la rescousse, soutenue par les prix élevés du charbon et du gaz.
Le Canada, l’Inde, le Japon ou les Etats-Unis ont au contraire vu une croissance de leur PIB sur la même période.
L’économie devrait rebondir au dernier trimestre 2021 selon les attentes des analystes, malgré les inquiétudes posées par le variant Omicron du coronavirus.
Selon Moody’s Investor Service, ce variant « pose de nouveaux risques pour la croissance économique mondiale » et augmente « les perspectives d’inflation ».
L’Australie fait partie des pays qui ont instauré des restrictions de voyages pour lutter contre ce nouveau variant très contagieux.
Les mesures de quarantaine et les contrôles aux frontières ont fait chuter le Produit intérieur brut (PIB) australien de 1,9% au troisième trimestre par rapport au trimestre précédent, selon des statistiques officielles publiées mercredi, une chute moins forte qu’anticipée.
Cette première baisse depuis la première moitié de 2020 reflète selon l’institution les « quarantaines prolongées » instaurées dans les Etats les plus peuplés du pays.
De grandes villes comme Sydney, Melbourne et Canberra étaient toutes sous cloche pendant une bonne partie du trimestre, ce qui a considérablement freiné les dépenses des ménages en services.
Les dépenses en hôtels, cafés et restaurants ont diminué de 21%, et celles en transports de 40%.
Les économistes avaient prévu une chute de la croissance d’environ 2,8%, mais l’augmentation des exportations semble être venue à la rescousse, soutenue par les prix élevés du charbon et du gaz.
Le Canada, l’Inde, le Japon ou les Etats-Unis ont au contraire vu une croissance de leur PIB sur la même période.
L’économie devrait rebondir au dernier trimestre 2021 selon les attentes des analystes, malgré les inquiétudes posées par le variant Omicron du coronavirus.
Selon Moody’s Investor Service, ce variant « pose de nouveaux risques pour la croissance économique mondiale » et augmente « les perspectives d’inflation ».
L’Australie fait partie des pays qui ont instauré des restrictions de voyages pour lutter contre ce nouveau variant très contagieux.
Les mesures de quarantaine et les contrôles aux frontières ont fait chuter le Produit intérieur brut (PIB) australien de 1,9% au troisième trimestre par rapport au trimestre précédent, selon des statistiques officielles publiées mercredi, une chute moins forte qu’anticipée.
Cette première baisse depuis la première moitié de 2020 reflète selon l’institution les « quarantaines prolongées » instaurées dans les Etats les plus peuplés du pays.
De grandes villes comme Sydney, Melbourne et Canberra étaient toutes sous cloche pendant une bonne partie du trimestre, ce qui a considérablement freiné les dépenses des ménages en services.
Les dépenses en hôtels, cafés et restaurants ont diminué de 21%, et celles en transports de 40%.
Les économistes avaient prévu une chute de la croissance d’environ 2,8%, mais l’augmentation des exportations semble être venue à la rescousse, soutenue par les prix élevés du charbon et du gaz.
Le Canada, l’Inde, le Japon ou les Etats-Unis ont au contraire vu une croissance de leur PIB sur la même période.
L’économie devrait rebondir au dernier trimestre 2021 selon les attentes des analystes, malgré les inquiétudes posées par le variant Omicron du coronavirus.
Selon Moody’s Investor Service, ce variant « pose de nouveaux risques pour la croissance économique mondiale » et augmente « les perspectives d’inflation ».
L’Australie fait partie des pays qui ont instauré des restrictions de voyages pour lutter contre ce nouveau variant très contagieux.
Les mesures de quarantaine et les contrôles aux frontières ont fait chuter le Produit intérieur brut (PIB) australien de 1,9% au troisième trimestre par rapport au trimestre précédent, selon des statistiques officielles publiées mercredi, une chute moins forte qu’anticipée.
Cette première baisse depuis la première moitié de 2020 reflète selon l’institution les « quarantaines prolongées » instaurées dans les Etats les plus peuplés du pays.
De grandes villes comme Sydney, Melbourne et Canberra étaient toutes sous cloche pendant une bonne partie du trimestre, ce qui a considérablement freiné les dépenses des ménages en services.
Les dépenses en hôtels, cafés et restaurants ont diminué de 21%, et celles en transports de 40%.
Les économistes avaient prévu une chute de la croissance d’environ 2,8%, mais l’augmentation des exportations semble être venue à la rescousse, soutenue par les prix élevés du charbon et du gaz.
Le Canada, l’Inde, le Japon ou les Etats-Unis ont au contraire vu une croissance de leur PIB sur la même période.
L’économie devrait rebondir au dernier trimestre 2021 selon les attentes des analystes, malgré les inquiétudes posées par le variant Omicron du coronavirus.
Selon Moody’s Investor Service, ce variant « pose de nouveaux risques pour la croissance économique mondiale » et augmente « les perspectives d’inflation ».
L’Australie fait partie des pays qui ont instauré des restrictions de voyages pour lutter contre ce nouveau variant très contagieux.
Les mesures de quarantaine et les contrôles aux frontières ont fait chuter le Produit intérieur brut (PIB) australien de 1,9% au troisième trimestre par rapport au trimestre précédent, selon des statistiques officielles publiées mercredi, une chute moins forte qu’anticipée.
Cette première baisse depuis la première moitié de 2020 reflète selon l’institution les « quarantaines prolongées » instaurées dans les Etats les plus peuplés du pays.
De grandes villes comme Sydney, Melbourne et Canberra étaient toutes sous cloche pendant une bonne partie du trimestre, ce qui a considérablement freiné les dépenses des ménages en services.
Les dépenses en hôtels, cafés et restaurants ont diminué de 21%, et celles en transports de 40%.
Les économistes avaient prévu une chute de la croissance d’environ 2,8%, mais l’augmentation des exportations semble être venue à la rescousse, soutenue par les prix élevés du charbon et du gaz.
Le Canada, l’Inde, le Japon ou les Etats-Unis ont au contraire vu une croissance de leur PIB sur la même période.
L’économie devrait rebondir au dernier trimestre 2021 selon les attentes des analystes, malgré les inquiétudes posées par le variant Omicron du coronavirus.
Selon Moody’s Investor Service, ce variant « pose de nouveaux risques pour la croissance économique mondiale » et augmente « les perspectives d’inflation ».
L’Australie fait partie des pays qui ont instauré des restrictions de voyages pour lutter contre ce nouveau variant très contagieux.
Les mesures de quarantaine et les contrôles aux frontières ont fait chuter le Produit intérieur brut (PIB) australien de 1,9% au troisième trimestre par rapport au trimestre précédent, selon des statistiques officielles publiées mercredi, une chute moins forte qu’anticipée.
Cette première baisse depuis la première moitié de 2020 reflète selon l’institution les « quarantaines prolongées » instaurées dans les Etats les plus peuplés du pays.
De grandes villes comme Sydney, Melbourne et Canberra étaient toutes sous cloche pendant une bonne partie du trimestre, ce qui a considérablement freiné les dépenses des ménages en services.
Les dépenses en hôtels, cafés et restaurants ont diminué de 21%, et celles en transports de 40%.
Les économistes avaient prévu une chute de la croissance d’environ 2,8%, mais l’augmentation des exportations semble être venue à la rescousse, soutenue par les prix élevés du charbon et du gaz.
Le Canada, l’Inde, le Japon ou les Etats-Unis ont au contraire vu une croissance de leur PIB sur la même période.
L’économie devrait rebondir au dernier trimestre 2021 selon les attentes des analystes, malgré les inquiétudes posées par le variant Omicron du coronavirus.
Selon Moody’s Investor Service, ce variant « pose de nouveaux risques pour la croissance économique mondiale » et augmente « les perspectives d’inflation ».
L’Australie fait partie des pays qui ont instauré des restrictions de voyages pour lutter contre ce nouveau variant très contagieux.
Les mesures de quarantaine et les contrôles aux frontières ont fait chuter le Produit intérieur brut (PIB) australien de 1,9% au troisième trimestre par rapport au trimestre précédent, selon des statistiques officielles publiées mercredi, une chute moins forte qu’anticipée.
Cette première baisse depuis la première moitié de 2020 reflète selon l’institution les « quarantaines prolongées » instaurées dans les Etats les plus peuplés du pays.
De grandes villes comme Sydney, Melbourne et Canberra étaient toutes sous cloche pendant une bonne partie du trimestre, ce qui a considérablement freiné les dépenses des ménages en services.
Les dépenses en hôtels, cafés et restaurants ont diminué de 21%, et celles en transports de 40%.
Les économistes avaient prévu une chute de la croissance d’environ 2,8%, mais l’augmentation des exportations semble être venue à la rescousse, soutenue par les prix élevés du charbon et du gaz.
Le Canada, l’Inde, le Japon ou les Etats-Unis ont au contraire vu une croissance de leur PIB sur la même période.
L’économie devrait rebondir au dernier trimestre 2021 selon les attentes des analystes, malgré les inquiétudes posées par le variant Omicron du coronavirus.
Selon Moody’s Investor Service, ce variant « pose de nouveaux risques pour la croissance économique mondiale » et augmente « les perspectives d’inflation ».
L’Australie fait partie des pays qui ont instauré des restrictions de voyages pour lutter contre ce nouveau variant très contagieux.
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