Le 14 juillet dernier, une femme d’une quarantaine d’année, administratrice de projet pour une compagnie d’électricité chargée d’installer l’éclairage d’une partie de l’Opéra, était arrivée complétement ivre sur son lieu de travail. Elle a été immédiatement viré, décision dont elle a fait appel. Hier, elle a remporté son bras de fer.
Deux vomis sur le bar, multiples avances sexuelles à des employés de l’Opéra puis insultes en tous genre… Son apparition à l’Opéra de Sydney était resté à l’époque dans les mémoires. La sécurité avait même été appelé en renfort pour l’expulser du lieu.
« Je n’ai jamais été aussi bourrée de toute ma vie » avait-elle confié honteuse avant de poursuivre pour se défendre : « Cet été a été compliqué pour moi…Je souhaite me racheter, je trouve cela cruel qu’on me condamne de la sorte sans une seconde chance. De plus, je ne pardonne pas à mon directeur la surenchère dont il a fait preuve à mon égard »
Elle a en effet déposé une plainte auprès de la Fair Work Commission contre son employé Ryan Wilks. Selon elle, elle n’aurait que « régurgité » du vin contrairement à ce qu’affirme son directeur qui parle de vomi à proprement parlé.
Constatant qu’elle n’avait pas encore fait d’écart jusque là, le commissaire à l’équité au travail, Ian Cambridge, a jugé le licenciement trop « déraisonnable » mais a rejeté la plainte de l’employé. La société a déclaré qu’elle ferait appel de la décision. Ryan Wilks a estimé qu’il ne l’aurait pas renvoyé si elle n’avait pas été agressive avec des clients de la société.
Source : News.com.au
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