« Il n’y a aucune raison de douter » du fait que les vaccins actuels protègent les malades contaminés par Omicron contre les formes sévères du Covid-19, a estimé mardi, Michael Ryan, le responsable des urgences de l’OMS, dans un entretien avec l’AFP.
« Le comportement général que nous observons jusqu’à présent, ne montre aucune augmentation de la sévérité. De fait, certains endroits en Afrique australe font état de symptômes plus légers », a aussi déclaré le médecin, à l’instar de ce qu’avait dit un peu plus tôt l’éminent scientifique américain Anthony Fauci, également à l’AFP.
« Nous devons être très prudents dans notre façon d’analyser » ces données, a toutefois dit le docteur Ryan, prenant soin de souligner à plusieurs reprises que l’on en était au tout début des études d’un variant détecté seulement le 24 novembre par les autorités sud-africaines et qui a depuis été repéré dans des dizaines de pays.
L’apparition de ce variant a provoqué une certaine panique, notamment en Europe qui déjà en proie à une massive cinquième vague de cas de Covid-19 provoqués par le variant Delta.
« Il n’y a aucune raison de douter » du fait que les vaccins actuels protègent les malades contaminés par Omicron contre les formes sévères du Covid-19, a estimé mardi, Michael Ryan, le responsable des urgences de l’OMS, dans un entretien avec l’AFP.
« Le comportement général que nous observons jusqu’à présent, ne montre aucune augmentation de la sévérité. De fait, certains endroits en Afrique australe font état de symptômes plus légers », a aussi déclaré le médecin, à l’instar de ce qu’avait dit un peu plus tôt l’éminent scientifique américain Anthony Fauci, également à l’AFP.
« Nous devons être très prudents dans notre façon d’analyser » ces données, a toutefois dit le docteur Ryan, prenant soin de souligner à plusieurs reprises que l’on en était au tout début des études d’un variant détecté seulement le 24 novembre par les autorités sud-africaines et qui a depuis été repéré dans des dizaines de pays.
L’apparition de ce variant a provoqué une certaine panique, notamment en Europe qui déjà en proie à une massive cinquième vague de cas de Covid-19 provoqués par le variant Delta.
« Il n’y a aucune raison de douter » du fait que les vaccins actuels protègent les malades contaminés par Omicron contre les formes sévères du Covid-19, a estimé mardi, Michael Ryan, le responsable des urgences de l’OMS, dans un entretien avec l’AFP.
« Le comportement général que nous observons jusqu’à présent, ne montre aucune augmentation de la sévérité. De fait, certains endroits en Afrique australe font état de symptômes plus légers », a aussi déclaré le médecin, à l’instar de ce qu’avait dit un peu plus tôt l’éminent scientifique américain Anthony Fauci, également à l’AFP.
« Nous devons être très prudents dans notre façon d’analyser » ces données, a toutefois dit le docteur Ryan, prenant soin de souligner à plusieurs reprises que l’on en était au tout début des études d’un variant détecté seulement le 24 novembre par les autorités sud-africaines et qui a depuis été repéré dans des dizaines de pays.
L’apparition de ce variant a provoqué une certaine panique, notamment en Europe qui déjà en proie à une massive cinquième vague de cas de Covid-19 provoqués par le variant Delta.
« Il n’y a aucune raison de douter » du fait que les vaccins actuels protègent les malades contaminés par Omicron contre les formes sévères du Covid-19, a estimé mardi, Michael Ryan, le responsable des urgences de l’OMS, dans un entretien avec l’AFP.
« Le comportement général que nous observons jusqu’à présent, ne montre aucune augmentation de la sévérité. De fait, certains endroits en Afrique australe font état de symptômes plus légers », a aussi déclaré le médecin, à l’instar de ce qu’avait dit un peu plus tôt l’éminent scientifique américain Anthony Fauci, également à l’AFP.
« Nous devons être très prudents dans notre façon d’analyser » ces données, a toutefois dit le docteur Ryan, prenant soin de souligner à plusieurs reprises que l’on en était au tout début des études d’un variant détecté seulement le 24 novembre par les autorités sud-africaines et qui a depuis été repéré dans des dizaines de pays.
L’apparition de ce variant a provoqué une certaine panique, notamment en Europe qui déjà en proie à une massive cinquième vague de cas de Covid-19 provoqués par le variant Delta.
« Il n’y a aucune raison de douter » du fait que les vaccins actuels protègent les malades contaminés par Omicron contre les formes sévères du Covid-19, a estimé mardi, Michael Ryan, le responsable des urgences de l’OMS, dans un entretien avec l’AFP.
« Le comportement général que nous observons jusqu’à présent, ne montre aucune augmentation de la sévérité. De fait, certains endroits en Afrique australe font état de symptômes plus légers », a aussi déclaré le médecin, à l’instar de ce qu’avait dit un peu plus tôt l’éminent scientifique américain Anthony Fauci, également à l’AFP.
« Nous devons être très prudents dans notre façon d’analyser » ces données, a toutefois dit le docteur Ryan, prenant soin de souligner à plusieurs reprises que l’on en était au tout début des études d’un variant détecté seulement le 24 novembre par les autorités sud-africaines et qui a depuis été repéré dans des dizaines de pays.
L’apparition de ce variant a provoqué une certaine panique, notamment en Europe qui déjà en proie à une massive cinquième vague de cas de Covid-19 provoqués par le variant Delta.
« Il n’y a aucune raison de douter » du fait que les vaccins actuels protègent les malades contaminés par Omicron contre les formes sévères du Covid-19, a estimé mardi, Michael Ryan, le responsable des urgences de l’OMS, dans un entretien avec l’AFP.
« Le comportement général que nous observons jusqu’à présent, ne montre aucune augmentation de la sévérité. De fait, certains endroits en Afrique australe font état de symptômes plus légers », a aussi déclaré le médecin, à l’instar de ce qu’avait dit un peu plus tôt l’éminent scientifique américain Anthony Fauci, également à l’AFP.
« Nous devons être très prudents dans notre façon d’analyser » ces données, a toutefois dit le docteur Ryan, prenant soin de souligner à plusieurs reprises que l’on en était au tout début des études d’un variant détecté seulement le 24 novembre par les autorités sud-africaines et qui a depuis été repéré dans des dizaines de pays.
L’apparition de ce variant a provoqué une certaine panique, notamment en Europe qui déjà en proie à une massive cinquième vague de cas de Covid-19 provoqués par le variant Delta.
« Il n’y a aucune raison de douter » du fait que les vaccins actuels protègent les malades contaminés par Omicron contre les formes sévères du Covid-19, a estimé mardi, Michael Ryan, le responsable des urgences de l’OMS, dans un entretien avec l’AFP.
« Le comportement général que nous observons jusqu’à présent, ne montre aucune augmentation de la sévérité. De fait, certains endroits en Afrique australe font état de symptômes plus légers », a aussi déclaré le médecin, à l’instar de ce qu’avait dit un peu plus tôt l’éminent scientifique américain Anthony Fauci, également à l’AFP.
« Nous devons être très prudents dans notre façon d’analyser » ces données, a toutefois dit le docteur Ryan, prenant soin de souligner à plusieurs reprises que l’on en était au tout début des études d’un variant détecté seulement le 24 novembre par les autorités sud-africaines et qui a depuis été repéré dans des dizaines de pays.
L’apparition de ce variant a provoqué une certaine panique, notamment en Europe qui déjà en proie à une massive cinquième vague de cas de Covid-19 provoqués par le variant Delta.
« Il n’y a aucune raison de douter » du fait que les vaccins actuels protègent les malades contaminés par Omicron contre les formes sévères du Covid-19, a estimé mardi, Michael Ryan, le responsable des urgences de l’OMS, dans un entretien avec l’AFP.
« Le comportement général que nous observons jusqu’à présent, ne montre aucune augmentation de la sévérité. De fait, certains endroits en Afrique australe font état de symptômes plus légers », a aussi déclaré le médecin, à l’instar de ce qu’avait dit un peu plus tôt l’éminent scientifique américain Anthony Fauci, également à l’AFP.
« Nous devons être très prudents dans notre façon d’analyser » ces données, a toutefois dit le docteur Ryan, prenant soin de souligner à plusieurs reprises que l’on en était au tout début des études d’un variant détecté seulement le 24 novembre par les autorités sud-africaines et qui a depuis été repéré dans des dizaines de pays.
L’apparition de ce variant a provoqué une certaine panique, notamment en Europe qui déjà en proie à une massive cinquième vague de cas de Covid-19 provoqués par le variant Delta.
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